anecdote [410 resultados]
Document | Fragment | Otros temas del fragmento | Sumario |
D-001 | A02 | école | Une fois, à l’école, le maître dut sortir et les enfants changèrent l’heure de la pendule. |
D-001 | A03 | accident | En guise de dîner, il aimait prendre du lait froid accompagné de galettes. Une fois, le lait était encore chaud et il le laissa à l’extérieur de la fenêtre pour qu’il refroidît. Ensuite, il grimpa pour voir s’il avait refroidi et tous deux tombèrent par la fenêtre, la tasse d’abord, lui ensuite. |
D-001 | A04 | Le jour où il se mit à pleurer parce qu’ils emportèrent le porcelet. | |
D-001 | A05 | alimentation: gâteaux | Un jour où sa mère s’en était allée à San Sebastian acheter de la toile, elle apporta aussi des gâteaux. Elle les laissa sur la table et il en mangea un, en faisant croire que c’était la faute du chat. |
D-001 | A06 | Le jour où il perdit le fromage dans la pente. | |
D-001 | A07 | contrebande | Ce qui leur arriva un jour où ils se livraient à la contrebande. |
D-001 | A08 | contrebande | Une fois, alors qu’ils avançaient avec les paquets, on leur tira dessus et ils détachèrent les paquets pour s’enfuir en courant. |
D-001 | A09 | danse: ezpata dantza | Les habitants des deux côtés de la rivière étaient toujours en conflit, jusqu’au jour où ils firent la paix. Pour célébrer l’événement, ils décidèrent qu’ils danseraient la danse de l’épée, chacun sur le parapet du côté adverse. Depuis, cette coutume demeure durant les fêtes de la San Fermin. |
D-004 | A01 | voleurs | Présentation. La femme raconte comment les voleurs de Beruete attaquèrent le grand-père après avoir vendu les boeufs. |
D-004 | A02 | voleurs | Ces mêmes voleurs de Beruete tuèrent également un jeune homme. Finalement, la Garde Civile les arrêta et ils terminèrent sur la chaise électrique à Pampelune. Leurs tombes sont alignées au cimetière. |
D-004 | A03 | Elle raconte les vols commis par ces mêmes voleurs de Beruete et la terreur qu’ils semaient. | |
D-007 | A01 | chanson - école - euskara/espagnol | Souvenirs d’école. Chanson sur la maîtresse et sa fille (00:00:39”). Organisation en fonction de l’âge et du sexe. Difficultés avec les langues (euskara - castillan). Anecdote du credo avec l’évêque Remigio Múgica. |
D-007 | A02 | pêche | Espiègleries de jeunesse: Olentzero, à la chasse aux nids d’oiseaux, à la pêche. |
D-007 | A06 | école | Cours du soir et anecdote concernant un événement qui se produisit avant Noël. |
D-007 | A07 | Anecdote du bonbon. | |
D-007 | A08 | Farce faite à "Zortxiko". | |
D-013 | A01 | Amérique - indiens | Trois histoires de Basques revenus d’Amérique. Histoire survenue à la famille d’un homme rentré au pays après s’être enrichi en Amérique. Ce qui est arrivé à la famille lorsque cet homme mourut. Comment chacun des trois frères dépensa le million reçu en héritage. Comment l’un de ces hommes, revenu d’Amérique, trompa tout son monde pour parvenir à se marier. |
D-016 | A02 | Guerre civile | Anecdote se rapportant à l’époque de la Guerre Civile: ils jouaient du tambour à la porte de l’église habillés en soldats. |
D-016 | A06 | Guerre civile | Souvenirs de la Guerre Civile: ils s’échappèrent. Quelques anecdotes. |
D-017 | A02 | incendie | L’homme raconte l’incendie qui se produisit dans la maison à l’époque du fauchage, alors que les adultes étaient en train de faucher et les jeunes occupés à jouer. |
D-022 | A02 | village: Leitza - village: Leitza, musiciens | Anecdotes se rapportant au joueur de txistu et au joueur de tambour de Leitza : quand le ttun-ttun et le tambour tombèrent, l’histoire du crapaud, quand le pot de chambre se renversa sur l’âne du voisin, quand ils lui enlevèrent les vêtements, l’histoire de celui qui apprit à jouer du tambour pour ouvrir le ban, l’épisode de la ferme de Maxurrenea. |
D-025 | A01 | Présentation. Il présente et situe géographiquement Berroeta. Anecdote concernant sa mère et Almandoz. | |
D-026 | A01 | Présentation. Ce qui advint à Lutxi dans le poulailler : le chien était en train de tuer les poules. | |
D-028 | A02 | Guerre carliste - moulin | Deux histoires de jeunesse: d’un côté, le grand-père, au lieu d’accomplir son service militaire, était demeuré caché au moment de la guerre carliste. D’autre part, la grand-mère avec deux autres filles, allait aux fêtes de la San Fermin gagner un peu d’argent. |
D-032 | A01 | Mattinmotela | Anecdotes se rapportant à Mattinmottel. |
D-033 | A04 | Ils se déguisèrent en Rois Mages emmenant avec eux trois ânes, et ils circulèrent ainsi, non seulement à Etxarri-Aranatz, mais aussi à Arbizu. | |
D-035 | A10 | Amérique | Ils avaient un long chemin à faire pour se rendre à l’école, et sur la route il y avait un chien qui les effrayait. C’est ainsi qu’un jour, ils ne parvinrent pas à l’école. |
D-035 | A02 | Guerre carliste | Histoires de l’époque où le grand-père participa à la guerre carliste en tant que postier. |
D-035 | A05 | contrebande - Guerre civile - moulin - faim | Anecdote datant de l’époque où ils faisaient de la contrebande. Objets passés en contrebande. Eux aussi souffrirent de la faim car les derniers moulins furent fermés. Il partit comme soldat à l’âge de 20 ans. |
D-035 | A08 | Guerre civile - faim | A présent Encarnacion débute sa présentation. Comment elle vécut pendant la Guerre Civile : à sept ans, ils durent l’emmener dans une autre ferme. Anecdote se rapportant au moment où ils retournèrent à l’école. Ils affrontèrent la famine en rassemblant de la nourriture entre tous. |
D-037 | A01 | sorcellerie | Deux histoires des sorcières d’Arruzpi: il manque un morceau de la carde et l’enfant qui ne cessait de pleurer. |
D-037 | A02 | sorcellerie | Autre histoire de sorcières: celle dont on pensait qu’elle était une sorcière devait dormir un peu et elle cessa de respirer. |
D-037 | A03 | sorcellerie | Autre histoire de sorcières: on disait que la fiancée et sa mère étaient sorcières et il put le vérifier de ses yeux. |
D-037 | A06 | sorcellerie | L’histoire d’un homme que l’on soupçonnait d’être sorcier. |
D-037 | A08 | sorcellerie | Dans une ferme apparut une chouette et, comme elle leur parut suspecte, ils la capturèrent. Mais elle s’échappa. Le lendemain matin, en allant au jardin, ils virent que tous les piments leur avaient été volés. Ils disaient que la chouette pourrait bien être une sorcière déguisée. |
D-038 | A01 | croyances: apparitions | Un jour, alors qu’il rentrait à la maison, voici ce qui arriva au frère de Dolores: on lui suspendit six lumières à chaque pointe de son parapluie, lumières qui s’éteignirent lorsqu’il entra dans la maison. Le jour suivant, son défunt oncle lui apparut. Ils lui offrirent une messe et il ne réapparut plus. |
D-038 | A02 | croyances: apparitions | Dans la ferme de Mantxintxa, certains jours une lumière circulait ici ou là. Finalement l’homme l’interrogea et la lumière lui répondit qu’elle était sa mère en quête d’une messe. Ils lui offrirent une messe et ils ne la virent plus. |
D-038 | A03 | croyances: apparitions | Teresa de la ferme d’Artantxu aussi voyait en tous lieux une lumière après la mort de son mari. Celui-ci finit même par lui apparaître. Et cette fois également ils le firent disparaître en lui offrant une messe. |
D-038 | A04 | croyances: apparitions | Voici ce qui arriva à Bautista de Bekitxe, alors qu’il rentrait chez lui: deux femmes de trois mètres environ, vêtues de blanc, lui apparurent, et elles ne laissaient ni avancer, ni reculer. Finalement, il parvint à s’échapper et à rentrer chez lui. |
D-038 | A05 | croyances: apparitions | A un autre, c’est un animal qui apparut, qui avait l’apparence d’un chien. |
D-039 | A02 | Le curé les dénonça pour avoir dansé avec des filles et ils furent emprisonnés. | |
D-039 | A03 | mode de vie - vers | Lorsqu’il était jeune, le mode de vie était beaucoup plus joyeux qu’aujourd’hui. Ils étaient toujours en train de chanter et de danser. Ils buvaient toujours du vin, les jeunes aussi. Anecdote de Peio Jose de Larraun : après avoir travaillé pendant un an en montagne, il était dans le bar et ils vinrent le chercher parce que sa femme avait eu un bébé. La chanson qu’il lui chanta en arrivant à la maison (8.20” - 8.37”). Il avait coutume de chanter des vers avec Xalbador, Mattin et Uztapide. |
D-039 | A05 | Deux anecdotes survenues à Eugi: quand la femme était en train d’accoucher, chaque fois qu’elle se plaignait, le mari buvait du vin. Dans la seconde anecdote, on raconte ce que l’homme ivre dit au curé. Aurevoir. | |
D-043 | A01 | chanson | Chanson (0.22” - 00.35”). Anecdote. |
D-043 | A02 | sorcellerie | Une histoire de sorcières et ce qui se disait à leur propos. |
D-043 | A04 | Anecdotes sur son père : il volait un pain toutes les nuits. Le jour où il s’en fut acheter des espadrilles. Un jour ils mangèrent au restaurant de Mentxaga. L’histoire des navets. Ce qui arriva avec l’entrepreneur. Un jour il dit que dans le train il y avait un homme qui avait la variole. Anecdotes du temps où il travaillait dans les mines. Une fois ils voulaient aller à San Sebastian et il raconte ce qui leur arriva en route et une fois arrivés là-bas. | |
D-043 | B01 | Guerre civile | En revenant de Ronceveaux, au col d’Ibañeta, il rencontre quatre chanoines et il leur dit ce que le secrétaire de Ziordia avait fait. Ce qui advint lorsqu’il posa seulement un genou à terre durant la messe. Histoires de la Guerre Civile. Le bâton servait de siège, de bâton et pour tirer des coups de feu. |
D-046 | A01 | sorcellerie | Ce qui arriva à celui qui prétendait ne pas croire aux sorcières |
D-046 | A03 | sorcellerie | Ce que provoqua le fait d’avoir mal prononcé le sortilège. |
D-057 | A26 | voleurs | Pour dérober à un jeune l’argent qu’il portait sur lui, ils le frappèrent à la tête et le jetèrent dans une grotte. Finalement il fut retrouvé et les malfaiteurs emprisonnés à la prison de Pampelune. Là ils les tuèrent. A la suite de quoi Beruete garda à Pampelune la réputation d’un village de malfaiteurs. |
D-061 | A01 | hommes/femmes | Les filles de Goizueta appréciaient les garçons d’Arano, c’est pourquoi les garçons de Goizueta étaient fâchés. Ils décidèrent de les effrayer sur le chemin et installèrent une citrouille avec une voile pour les empêcher de passer. Mais elles mirent la citrouille en miettes. |
D-061 | A02 | hommes/femmes | Un samedi soir, les filles étaient en train de danser sur la place et bien que les garçons leur aient demandé de danser avec eux, il n’y avait pas moyen. Ceux-ci se rendirent alors à l’écurie des mules et ils mirent des mouches à chevaux dans des poches qu’ils déposèrent sur le sol de la place. Les filles qui étaient en train de danser crevèrent les poches avec leurs pieds et les mouches volèrent sous leurs jupes. La place se vida. |
D-061 | A03 | Une autre fois, alors que deux personnes du village discutaient au bar du village, voici ce qu’elles se racontèrent à propos des parties génitales. | |
D-061 | A04 | sorcellerie | Deux personnes d’une même famille étaient sur le chemin, discutant de l’existence ou non des sorcières: la peur que connut ce jour-là celui qui n’y croyait pas. |
D-061 | A05 | sorcellerie | Il ne croyait pas aux sorcières et la peur qu’ils lui infligèrent. |
D-061 | A06 | Le curé allait tous les ans bénir les terres, de maison en maison. Mais une année, il ne le fit pas. Et quand un jour à l’église le curé, s’adressant à une femme, lui dit que les poulets qu’elle lui offrait chaque année ne lui étaient pas parvenus, voici ce qu’elle lui répondit. | |
D-061 | A07 | Histoire entre ceux d’Arano et ceux de Goizueta. | |
D-063 | A01 | mode de vie | Quand son père mourut, alors qu’elle avait neuf ans, elle dut aller travailler dans une maison comme domestique. Elle dût d’ailleurs enlever ses escarpins et marcher et travailler pieds nus jusqu’à ce qu’ils lui aient fait des sandales de cuir. Un jour, elle s’enfuit chez ses grand-parents où elle vécut avec la famille de son oncle. |
D-063 | A03 | Elle se trouva également très bien à Arano. Les espiègleries qu’ils firent là-bas. | |
D-063 | A04 | Comment ils répondaient à leur mère quand elle les appelait alors qu’ils étaient dans la rue. | |
D-064 | A03 | Les espiègleries des enfants. Ils le trouvèrent en train de fumer une cigarette. Ils n’arrêtaient pas de molester les filles. | |
D-064 | A06 | fêtes | Ils faisaient aussi les fêtes : celles de San Fermin, le jour de San Fernando, les fêtes du village. Le jour où il courut devant les taureaux et déchira ses pantalons. Revenant chez lui ivre, il perdit une espadrille et c’est son père qui la retrouva le lendemain. Le jour où les filles les accueillirent à coups de pierres. |
D-064 | A07 | Amérique: ranch | Les péripéties du voyage en Amérique. Une fois là-bas, ils se retrouvèrent avec son frère et quelques biscayens. L’anecdote de la première nuit. Lui resta au ranch à s’occuper des moutons, des cheveux et des autres animaux durant ce rude hiver. Au printemps, les animaux montaient pour s’accoupler. |
D-064 | B02 | Amérique - élevage: transhumance | En hiver, ils emmenaient les brebis dans le désert et les dirigeaient à partir des chevaux. C’était un trajet vraiment long depuis le ranch. Les noms de tous les endroits par lesquels ils passaient. L’épisode avec les indiens. |
D-064 | B03 | Le danger des serpents à sonnettes et l’anecdote qui lui arriva à lui. | |
D-066 | A10 | Anecdotes de l’époque où il était sacristain. Les gens du village les aimait. | |
D-067 | A03 | mode de vie - boucherie | Après être revenu de la guerre, il commença comme charpentier avec son oncle. Ensuite, il laissa ce métier et ouvrit une boucherie : il faisait des filets et allait tuer les cochons. Un jour, il se planta un crochet dans la main et il se retrouva suspendu. Ils avaient aussi des dettes mais il gagna à la loterie et ils s’en sortirent ainsi (jusqu’à 7’44”).Ils voulaient que leurs fils fassent mieux et ils suivirent tous des études universitaires. Eux prirent leur retraite et à présent ils se joignent à la famille pour tuer le cochon et les agneaux. |
D-067 | A04 | Histoires de son enfance : un jour, il ferma le cadenas de la bicyclette de son père, la fit passer entre les voitures et la cassa. A l’école, l’instituteur donnait le nombre de kilomètres jusqu’à la lune et ils le croyaient. Le jour où son cousin donna un coup de pied au chat de deux vieilles filles. Ce que le cousin répondit à deux hommes qui se moquèrent de lui alors qu’il était tombé. | |
D-068 | A11 | chasse | Le frère aîné aimait la chasse et il voulait un fusil. Mais le père ne voulait pas lui acheter. Il sortit alors l’argent qu’il possédait et se paya le fusil. Il s’en fut à la montagne, un jour, pour chasser, les gendarmes sortirent et lui enlevèrent.Ensuite, il s’en fut à la guerre où il mourut.Ils punissaient la fille aînée parce qu’elle aimait montrer ses seins et qu’elle lisait la nuit. Le plus jeune entra dans un camion qui était en train de décharger et son père le punit, lui aussi. |
D-068 | A12 | surnoms | Les surnoms qu’ils se donnaient mutuellement. Quand elle était petite, la mère criait après les autres, pas après elle. |
D-069 | A03 | L’histoire de celui qui voulait apprendre le métier de forgeron. Il fit une figure d’Adam et Eve, et ce que lui dit le petit-fils. Il fit une exposition de ses oeuvres. Il plaça un dessus-de-lit fait main sous les oeuvres. Ce qui en advint. D’autres “oeuvres culturelles”. L’histoire de l’oeuvre des gardes-civils et du contrebandier. | |
D-070 | A02 | Les bêtises de jeunesse. Ce qu’ils firent à un homme qui les piquait toujours. Un jour qu’il venait à cheval, ils piquèrent un peu le cheval et l’homme tomba. | |
D-071 | A03 | Il dit qu’il était charpentier et ils l’envoyèrent placer une vitre. Mais la vitre se brisa. Ils les envoyèrent travailler le foin et en chemin, ils virent des oranges. Ils voulurent en cueillir et un homme apparut. | |
D-071 | A04 | Au service militaire ils avaitent des poux et ils dormaient à même le sol, sur la paille. Là il commença le travail de charpentier et quand il revint il travailla à Irati. | |
D-079 | A04 | voleurs | Une histoire que racontait son père. Le grand-père fabriquait des chaises et ensuite il allait les livrer à pied aux auberges de Belate. Un jour il croisa des voleurs mais ils ne lui dérobèrent rien. |
I-001 | A12 | école | Les farces qu’ils lui faisaient à elle et à ses amis, à l’école. |
I-001 | A16 | élevage: brebis | Un jour, il leur manqua trois brebis. Ils étaient en train de les chercher avec un autre homme, mais trois frères les avaient attrapées. |
I-001 | A17 | assassinat | A une autre occasion, ces trois frères tuèrent un jeune homme pour lui voler son argent, et ils le jetèrent dans une grotte. Ils furent arrêtés, emprisonnés à Pampelune et ils les tuèrent. |
I-001 | B01 | maladie | Comment mourut le père. Ils prétendirent qu’il s’agissait d’une grippe, mais il souffrait d’une autre maladie, une pleurésie, mais quand ils en furent certains, il était trop tard. Son frère à la guerre avait beaucoup de fièvre et le médecin prétendait qu’il avait la grippe. Mais elle lui raconta ce qui était arrivé au père et il fut hospitalisé. Il y demeura de nombreux mois et finalement ils lui enlevèrent deux côtes. |
I-001 | B12 | accident | Elle raconte qu’une voiture l’a renversée alors qu’elle avait quatre-vingt six ans. |
I-002a | A06 | foyer du vieillards | Martina est à présent dans la résidence San Francisco. Elle a beaucoup vieilli et entend très peu.Anecdote dans la résidence. |
I-002b | B10 | Manuela était plus âgée, une femme d’un certain âge avec deux dents. Pour voir les deux dents qu’elle avait, on lui donnait du café le soir. | |
I-002b | B11 | fil à coudre - métiers: chaussette | Maintenant les jeunes sont fascinés par d’autres choses. Elle rêvait de "txoratila" (?). C’était pendant la guerre. Une fois, alors qu’elle se rendait chez Luis, lui se trouvait dans la cuisine en train de filer pour faire des chaussettes.Ils en faisaient pour la maison et pour l’extérieur. Et bien qu’on lui demande de les faire plus jolies qu’autrefois, il ne veut pas, il a beaucoup de tendresse pour celles d’autrefois et il continue à les faire ainsi. |
I-002b | B12 | Mexico | Tous ceux qui n’avaient pas de papiers allaient être emprisonnés. A ceux qui en avaient, on leur prit puis on leur rendit un mois plus tard. Elle dit à Pedro qu’il parte au Mexique, ce qu’il fit. Il y a deux ans ils sont allés là-bas. Au lieu d’une carte, on leur en donna deux. Il y avait plus de basques là-bas. |
I-002b | B09 | Alimentation: Répas | Quelques histoires: le mari de la petite-fille de Martina, le capucin gagna à la loterie, les soûleries de Manuel. |
I-013 | A04 | euskara | A propos du travail que souhaite faire Orreaga sur le basque d’Ultzama. Les enregistrements qu’il a réalisés. L’enregistrement du curé. |
I-017 | B05 | Anecdotes: à propos des gens du village. Anecdote sur le costume de communion. Sur la noce. | |
I-018 | A01 | divers - accident | Le petit-fils parle des femmes, il dit qu’elles sont très travailleuses.Les vaches.L’accident qui arriva à un autre. |
I-019c | B05 | Un frère mourut dans l’église d’Etxaleku alors qu’il était en train de travailler. | |
I-021 | B03 | euskara: usage | Entre eux ils ne parlent absolument pas en euskara. Certains ont honte de cet état de fait. Quand ils étaient petits et qu’ils allaient à l’école, ils parlaient et étaient punis parce qu’ils devaient parler en castillan. A Alkotz, on leur donnait un poids d’horloge et ils devaient reste après la classe.Anecdote : une fois, une petite fille qui ne savait pas l’euskara resta après la classe avec le poids. |
I-028 | A10 | meule | Ces mêmes frères confessèrent avoir tué onze personnes. Ils jetèrent l’une d’elles vivante dans une meule à charbon. Comment se fait une meule à charbon.Autre anecdote : alors qu’ils travaillaient à Belate, ils descendirent à Burutain et tuèrent un autre garçon. Ils tuaient pour voler de l’argent. |
I-028 | A09 | fêtes | Pendant les fêtes, ils allaient à Jauntsarats à bicyclette. Ils mettaient les filles sur la bicyclette et allaient à Itsaso. Anecdote. Ceux de Beruete avaient très mauvaise réputation. Les filles de là-bas ne voulaient pas aller avec les garçons du village. Ils étaient très stupides. Anecdote : ils tuèrent un garçon pour lui voler son argent. |
I-029 | B06 | église: San Urbano | L’église San Urbano de Gaskue. Ils allaient à pied, écoutaient la messe, mangeaient et descendaient à Gaskue. Ils dansaient tout l’après-midi et revenaient en courant à la maison. Il y avait un chemin. Beaucoup de gens passaient par là, y compris les autobus. Ils allaient à la confession de Pâques. Autrefois c’était un jour fixe et les villages alentour organisaient des processions la veille. |
I-033a | A04 | fêtes | Le frère du secrétaire mourut alors qu’il posait une bombe. Ils placèrent une très grande pancarte et les danseurs ainsi que tous les gens qui jusque là avaient l’habitude d’y aller, reculèrent et plus personne ne vint. C’est ainsi que le village perdit son ambiance : les danseurs venaient de Pampelune, les gens étaient venus voir les championnatsA l’heure actuelle il y a toujours des rencontres de sports basques et des championnats de pelote.Les fêtes à Gartzaron ont lieu le quinze août.A Gerendiain le huit octobre. |
I-033a | B03 | euskara | Ils évoquent quelques personnes. Anecdote: la petite-fille utilisait le tutoiement pour s’adresser à sa grand-mère |
I-033a | B08 | euskara | L’euskara fut très déprécié. Anecdote: ce que dit une femme dans un magasin à propos des agriculteurs. On riait d’eux parce qu’ils parlaient en euskara ou un euskara différent. |
I-034 | A03 | agriculture: herbes | Quand il pleuvait, ils laissaient l’herbe sécher.Ils montaient finalement l’herbe à l’aide d’un palan au grenier.Comment ils travaillaient avec le tracteur. |
I-034 | B07 | contrebande | Il dut aller à la caserne pendant quinze jours. Il prétend qu’il n’avait rien fait mais que eux voulaient qu’il avoue. Ils étaient impliqués dans la contrebande. |
I-038 | A09 | Trois frères de Beruete firent, croit-on, ce que dit le proverbe, "tu as été taillé à la hache pendant que le Seigneur faisait la sieste"; mais cette fois avec l’intention de voler.A Lantz aussi ils tuèrent quelqu’un. | |
I-060b | B06 | fêtes | Il passa trois ans à la guerre dans la partie biscayenne.Les fêtes de Beorburu ont lieu à la San Bartolomé. Ils étaient motivés mais après deux jour ils devaient travailler à ramasser le blé. Anecdotes. |
I-071 | A08 | plantes - arbre - alimentation: champignons | Noms d’arbres et de plantes : hêtre, chêne, peuplier, tilleul, buis, frêne, houx, chêne, ortie. Anecdote. Camomille, thé, aubépine. Champignons: amanites, girolles, russules, agarics, champignons de hêtre, champignons feuilles mortes. |
I-080 | A10 | euskara | Autrefois toutes les bergeries étaient pleines mais plus personne ne travaille dans la montagne à présent. Anecdote concernant un homme qui ne savait pas le castillan. |
I-080 | A08 | vol | Situation actuelle: voleurs. Anecdotes: on le cambriola la veille de la San Fermin, autre vol. Le cambriolage d’une banque pendant les fêtes de la San Fermin. |
I-090b | B07 | euskara: sentiment vers l´euskara | Autrefois les hommes se réunissaient au café pour chanter. On ressentait très fort la chanson et dans le même temps la langue. Ces choses sont perdues à présent. Anecdote : il alla acheter quelque chose à Saint-Jean-Pied-de-Port et bien que les sept personnes réunies dans le magasin soient bascophones, ils parlaient tous en français. |
I-095b | B14 | Anecdote: ce qui advint un jour où il s’en fut à la bergerie s’occuper des vaches en hiver. | |
IR-005 | A01 | mode de vie | Présentation. Comment était le village lorsqu’il était jeune : pas de route, pas d’eau. Quelques anecdotes : le loquet se rompit et ils restèrent à l’intérieur. Quelqu’un provoqua un incendie. Ils faisaient fondre la neige dans une jarre pour obtenir de l’eau. Ce que les enfants faisaient dans la crémaillère. L’enfant jeta le chien par la fenêtre.Ils travaillaient beaucoup alors, les enfants aussi. |
IR-007 | A06 | Elle a beaucoup pleuré à cause de la nervosité que provoquait chez elle son travail. Anecdote. | |
IR-007 | B01 | danse | Comment elles apprirent à danser : elles allaient dans différentes maisons le dimanche après-midi. Seules s’y rendaient les filles. Un groupe de garçons apprit aussi à danser dans la bergerie. Anecdote. Comme aller au rosaire était obligatoire, ils profitaient du fait d’être sortis de la maison et ne revenaient pas ensemble. Pendant les carnavals, à Noël et à la San Pedro, on faisait venir de la bonne musique. Ils allaient de maison en maison en faisant la ronde. Ils prenaient les airs des musiciens d’alors pour ensuite les chanter et danser. |
IR-009 | A01 | Présentation : Lazaro, d’Oderitz, bien qu’il vive à Zumarraga. Anecdote de l’âne et du costume. | |
IR-012 | A04 | grammaire: lexique - agriculture: pommes de terre | Il raconte - mélangées - l’anecdote, l’entrée et l’évolution de la situation de la pomme de terre. Il raconte le voyage qu’ils firent au Pays basque nord pour vendre des pommes de terre. Quand la pomme de terre apparut on retira les brebis parce que celles-ci nécessitaient beaucoup d’herbe et que l’on ne pouvait pas les garder en même temps que les pommes de terre. Sur le chemin du retour ils se perdirent. (17.44") L’enquêtrice fait une incise à propos de certains mots utilisés : au lieu de dire Donibane, ils emploient toujours San Juan. De même pour l’emploi de France au lieu de Pays basque nord. (18.39") Bien que s’étant perdus sur le chemin, ils arrivèrent bien au village. |
IR-012 | A05 | euskara: usage | L’usage de l’euskara. Au Pays basque nord il lui fut très utile. Et quand ils allaient chez le médecin à Biarritz, ils parlaient en euskara. Anecdote : ambiguité des mots "espagnol" et "euskaldun". Selon où l’on se trouve, nous varions le qualificatif d’origine.Deux de ses enfants parlent l’euskara et les deux autres non. Quand eux étaient jeunes on parlait davantage l’euskara. |
IR-013 | A02 | euskara | Anecdote : le petit-fils ne veut pas parler avec elle mais avec les amis il parle très bien. Honoria dit avec qui et où elle parle en euskara. |
IR-013 | A04 | euskara | Quand elle fut hospitalisée, le médecin était basque, d’Etxegarai. Le petit-fils porta un cadre qui plut à tout lemonde. Anecdote avec l’infirmière. Il faut apprendre l’euskara sans blesser personne. |
IR-016 | A11 | Un homme chantait les dix commandements en euskara. Un jour, alors qu’il était en train de chanter dans la rue, le curé de Leitza nota ce qu’il était en train de chanter. | |
IR-016 | A13 | religion: enfant de choeur | Il fut enfant de choeur jusqu’à l’âge de quatorze ans. Alors il commença à fumer. Parce qu’il aidait toute la semaine on lui donnait huit centimes, et le paquet en valait dix. |
IR-016 | A06 | Guerre | Anecdote. Ils lui concédèrent un permis de dix jours pour aller à Donostia-San Sebastian et là-bas il y avait un casino pour les riches. Là un homme lui montra une salle où quelqu’un pouvait se suicider s’il le voulait après avoir tout perdu, plus haut une corde pour se pendre et enfin un endroit pour qui voudrait sauter. Ils le payaient deux pesetas et demi par jour, ils avaient de la musique après manger et un laisser-passer pour assister à tous les spectacles gratuitement. |
IR-016 | A08 | voitures - métiers: médecin | Alors il n’y avait pas de voitures. Un jour il arriva que sa femme se retrouva au lit avec une hémorragie et il alla chercher le médecin à Bizkarreta-Gerendiain. Là le médecin lui dit que s’il ne trouvait pas de voiture, il n’irait pas. Le médecin se rendit chez lui seulement quand il eut trouvé une voiture. |
IR-016 | B06 | Quand les femmes lavaient la pierre, comme elles aimaient bavarder, le travail leur semblait moins dur.Le grand-père de Gabriel était joueur de “ttun-ttun”. Quand il mourut le tambour était dans la maison et une nuit où sa mère n’était pas là il le sortit par la fenêtre. L’un sifflant et l’autre jouant du tambour, ils ne laissaient dormir personne. | |
IR-018 | A06 | Après avoir passé trois mois dans le campement, quand il descendit à la ville, toutes les femmes avaient le visage voilé. Il y avait trois quartiers / Celui des Maures, celui des Hébreux, et celui occupé par les Espagnols. Il était interdit aux femmes de parler avec eux. Un jour, trois sergents allèrent dans une pâtisserie et ils durent sortir en courant à cause de ce que l’un d’eux avait dit à la femme. Alors qu’ils se retrouvaient dans la rue, un général arrivait, et dans une de ces rues étroites, ils les firent saluer comme il se devait. Pensant qu’ils les corrigeraient, ils décidèrent que d’abord ils se divertiraient et ils allèrent au bar. | |
IR-018 | A07 | rançon | Ils emprisonnèrent le Général Navarro et ils le libérèrent contre une caution. |
IR-018 | B03 | école | Le premier jour à l’école l’instituteur commença à montrer l’alphabet. Lui l’avait déjà appris à la maison avec ses frères. Et ils arrivèrent à la lettre "s", mais l’instituteur zozotait. Et quand il lui demanda de répéter, pour obéir il dit trois fois la lettre à la manière de l’instituteur et celui-ci se fâcha, et il commença à pleurer. Un frère alla vers lui et lui dit à l’oreille comment il devait prononcer. Il avait cinq ou six ans. |
IR-018 | B04 | Souvenir de quand il avait trois ans : à un cousin qui allait partir en Amérique, en guise d’aurevoir ils donnèrent une ou plusieurs pommes. Et il se souvient très bien comment le cousin leur distribua les pommes comme à des petits oiseaux. Il ne devait pas encore avoir trois ans. | |
IR-018 | B05 | Comment il se fit la cicatrice qu’il porte sur le visage : les trois frères étaient montés sur un escalier par un échafaudage, lui était au milieu et celui qui était au-dessus lui écrasa la main et il lâcha l’escalier. Il tomba et le frère qui se trouvait au-dessous le soutint à l’aide de sa jambe, mais il n’avait pas assez de force et finalement il tomba. Il n’alla pas chez le médecin. Son père n’avait pas de bons rapports avec le médecin et il prépara un mélange de vinaigre et de sel et pendant qu’il nettoyait la blessure avec ce remède, il disait à sa fille qu’elle prépare une aiguille et du fil. Les deux frères le soutenaient , le père le soignait et la soeur cousait. | |
IR-022a | A02 | Quand son père prit sa retraite une lettre lui parvint pour toucher la pension. Il avait droit à cette pension parce qu’il payait chaque mois. | |
IR-022a | A06 | Une fois on lui fit une commande de Bilbao parce que dans toute l’Espagne ils n’avaient trouvé personne qui fît des cuillères entièrement à la main. Ils lui en demandèrent vingt, parce que c’était l’époque où ils allaient ouvrir le "Corte Inglés" et ils avaient des invités. Il pouvait en faire quatre ou cinq par jour, mais ce n’est pas facile de trouver du bon matériel. Ils vinrent les chercher et lui demandèrent à lui quand il voulait que fut l’inauguration. Ils prendraient ce qui ne serait pas vendu ce jour là. Ce fut sa première exposition. | |
IR-022a | A07 | Trois ans plus tard ils ouvrirent un site d’artisanat et il dut alors faire quatre vingt six pièces. Après dîner, il dut toutes les signer. | |
IR-022b | B10 | contrebande | Alors que lui et son frère emmenaient des mules de contrebande en France, l’une d’elles leur échappa. Le brouillard fit son apparition et ils se perdirent. Finalement ils trouvèrent les autres qui s’étaient aussi perdus et ils firent l’échange. Ce qui se passa au retour. |
IR-022b | B11 | fabrique: de gaz | Il travailla dans une usine de gaz de Cortes de Navarra. Ils étaient en groupe et le gaz était très fort et ils se brûlèrent tous sauf lui. Ils devaient porter des vêtements de gomme. Finalement lui aussi se brûla et une ampoule apparut dans sa main. Il se rendit où se trouvaient les vêtements de gomme et il fit un trou dans le gant. Le jour suivant à la visite médicale, ce fut ce qui le sauva. Ils lui crevèrent l’ampoule et le liquide en sortit et alors qu’il lui tombait sur la jambe apparut une autre ampoule. Il resta deux mois sans travailler. |
IR-022b | B02 | Anecdote : une vache glissa et ne pouvant sortir, elle renonça et ils durent la porter jusqu’à la bergerie. | |
IR-022b | B06 | Quand il alla pour la première fois à Pampelune, ils prirent le chemin le plus long pour aller à un bar. | |
IR-022b | B08 | Quand ils firent les contrôles de tuberculose en France, ils envoyèrent tous les animaux en Espagne parce qu’ici il n’y avait pas de contrôle. Ils les vendaient à l’usine Mina de Pampelune et de là-bas ceux d’ici renvoyaient les camions plein de chorizo en France | |
IR-023g | B03 | religion: miracle | La première fois qu’ils firent l’ermitage de San Esteban, ceux qui voulaient y aller, ils étaient en train de préparer la pierre et un seigneur du village alla avec les boeufs sortir le bois. Alors qu’il était en train de sortir le bois avec les boeufs, le sol s’ouvrit et les boeufs périrent en tombant contre le bois. Quand les gens y allèrent, ils trouvèrent les boeufs en train de paître hors du trou, avec le bois. Plus tard ils firent l’ermitage. |
IR-023g | B04 | plantes: asphodèle | Ils allaient cueillir des asphodèles pour les donner aux cochons en hiver. Ils allaient toujours à l’endroit où l’ermitage s’était écroulé. Sur le sol il y avait une plaque de fer carrée de San Esteban. Ils avaient coutume de prier ce Saint. Beaucoup de gens allaient à cet endroit. On y emmenait les nouveaux nés, ainsi qu’à Roncevaux et à San Joaquin. |
IR-023g | B05 | Durant la guerre, ils emmenèrent les fils d’un homme à la guerre et lui alla à l’ermitage de San Esteban, et il jura que si ses fils revenaient sains et saufs de la guerre, il reconstruirait l’ermitage. Les fils revinrent sains et saufs et l’ermitage que l’on voit aujourd’hui est celui que construit cet homme. | |
M-006 | A02 | euskara | Ergoiena a toujours été un village basque et actuellement il l’est toujours. Mais les jeunes d’aujourd’hui parlent un euskara différent, qu’elle prétend ne pas comprendre, le basque étant sa langue maternelle. Tout ce qu’elle a fait en castillan fut le peu qu’elle apprit à l’école, et à cause de cela elle ne sait ni lire ni les chiffres en euskara. Anecdotes arrivées avec le curé du village. |
M-009 | A02 | métiers: entrepreneur | Pour un entrepreneur, et avec trois autres hommes, ils firent des travaux de démolition d’une usine. |
M-010 | A01 | Guerre | A la guerre il récitait le rosaire tous les jours avec ses amis. Le curé en fut informé et il le laissa réciter le rosaire à la messe. Par la suite, le curé le fait à six heures et lui à huit heures, et lui, à la différence du curé, remplissait l’église. Pour tout cela ils lui donnèrent une récompense : il alla à San Sebastian un mois, tout payé. Mais en plus de cela, un soir il dîna juste à côté du général Franco. |
N-023 | A04 | contrebande | Ils ne l’attrapèrent jamais, mais il lui arriva de tomber et de se casser la clavicule. Il y avait souvent des coups de fusil et ils tuèrent deux hommes. |
N-067 | A02 | lecture | Elle se maria à vingt-cinq ans avec un espagnol.Après avoir passé le baccalauréat, elle partit chez une tante qui avait un bar à Saint-Jean-Pied-de-Port. Elle manquait toujours de liberté et elle devait rentrer à la maison à dix heures. Elle rentrait dans son lit mais quand ses parents dormaient, elle avait une petite lampe et elle lisait. La lecture a toujours été une passion pour elle. |
N-067 | A04 | euskara | Maintenant elle veut apprendre l’euskara unifié avec les enfants d’Espinal. Son mari ne sait pas l’euskara, mais son fils oui. Sa fille alla en France apprendre le français et elle sait l’euskara que lui apprit son grand-père,mais comme il est différent, elle ne veut pas parler avec les gens d’Espinal. Quand elle arriva au village, seuls les anciens parlaient en euskara et elle parlait avec eux parce qu’elle se débrouillait mieux en euskara qu’en castillan, c’est pourquoi ils se moquaient d’elle. Un jour, le curé, basque, la trouva en pleurs. Ce que lui dit le bon curé. |
N-067 | A06 | accident | A Noël, elle tomba et elle se fit mal au bras. Elle était sur une plaque de neige, un chien sortit devant elle et elle tomba. Elle a peur des médecins et ne va jamais les voir, maintenant non plus. |
N-068 | A03 | argent | En tant que gardes, ils devaient aussi travailler le dimanche jusqu’à midi. Comment ils demandaient de l’argent le jour de l’Assomption. |
N-068 | A04 | Guerre - euskara | Il resta trois ans à la guerre. Il partit au Maroc et en Espagne; On ne pouvait pas parler en euskara sous peine d’aller en prison. Ils accueillirent dans le village Don Salvador Napal et il disait aux femmes - car il n’y avait pas d’hommes - que parler en euskara était un péché. Et toutes pleuraient parce qu’elles ne savaient pas d’autre langue. |
N-072 | A01 | mode de vie | A dix-douze ans, l’homme travaillait dans le bois ou gardait les boeufs. Ce qu’il faisait quand il devait commencer à travailler même de nuit. Ensuite ils commencèrent à faire la route. La maison appelée "La cadena de Lizaso" (la chaîne de Lizaso). Ils prenaient l’eau à la fontaine mais lorsqu’il n’y en avait plus, ils la prenaient à la rivière. Une fois qu’il sortait avec la charrette, il dut aider la vache à mettre bas. Ce qui se passa avec le veau. La femme aussi dut aider son père à travailler avec la charrette. |
N-072 | B01 | divers | Mode de vie, histoires de jeunesse : anecdote des fêtes de la San Fermin, ils allaient sans lanterne ni rien. |
N-072 | B03 | Guerre | Ses deux frères furent volontaires à la guerre. Ceux qui partirent ensemble du village moururent tous. Dans le village même les filles étaient habillées en phalangistes. Lui partit à Azkoitia. Ce qui se passa là-bas avec l’infirmière et le sergent. Les Marguerites. |
N-072 | B04 | Guerre | Le sanctuaire de Loiola fut rempli de bombes. L’anecdote du jeune qui se préparait à être curé. |
N-072 | B05 | Guerre | Quand commencèrent les tirs au-dessus d’Eskoriatza, il les envoyèrent à la montagne. Il reçut une balle alors qu’il portait les bombes. Ils l’envoyèrent à l’hôpital. |
PP-001 | B06 | Une femme de Larrearen borda était également malade et ne voulait pas qu’on entre dans sa chambre parce qu’elle était contagieuse. Mais il alla discuter avec elle et ne fut pas contaminé. | |
PP-001 | A02 | moulin | Beltsoko borda : ce fut un moulin. Antonia mourut, restèrent son mari et ses trois fils. C’était une femme très bonne, mais elle souffrait du coeur et un matin elle alla aux toilettes, et c’est là qu’ils la trouvèrent. |
PP-001 | A03 | Anecdotes à propos du fait de fumer. | |
PP-001 | A07 | Anecdotes sur le curé et autres. Il avait coutume d’avoir les gens debout. Il resta à Pampelune et à Santesteban. | |
PP-009 | B16 | maison: noms | Apezenea : le curé n’y vivait pas. Celui qui épousa la bonne du curé s’appropria la maison. Le curé avait autant de maisons parce que sa belle-soeur les lui laissa. Anecdote. |
PP-009 | B17 | maison: noms | Oienea : le propriétaire est de son âge et ils ont toujours été ensemble. Le frère fut joueur de pelote. Anecdote à propos de la femme de celui-ci. |
PP-009 | B24 | Guerre | Son grand-père fut à la guerre. Il y eut une loi qui disait que s’il était marié avant dix-huit ans, il n’irait pas à la guerre. Anecdote. |
PP-009 | B25 | Guerre | Le soldats français étaient du côté d’Arroalde, et le grand-père de son père était en train d’attraper des poules et quand il y parvint, il dut dire "viva, viva!". Les soldats arrivèrent, lui tirèrent dessus et le tuèrent. |
PP-009 | B06 | maison: noms | Erremendaltegia : celle-ci aussi appartenait au curé. Anecdote : ils lui disaient qu’il devrait changer de maison. Anecdote du domestique. |
PP-009 | A10 | maison: noms - Cuba | Etxe handia : ils la démolirent. Histoires de Cuba et comment ils y faisaient de l’argent. Autres anecdotes. |
PP-009 | A11 | maison: noms | Sagastinea : celle de la place. Le dernier propriétaire était un Basque revenu d’Amérique. Anecdotes concernant le moment de l’achat de la maison. Ils avaient l’argent à la banque et comment ils le perdirent. |
PP-009 | A22 | maison: noms | Oxenea. Aranaldea : anecdote. |
PP-025 | A12 | vers | Histoire et vers. |
PP-025 | B12 | Anecdote à propos d’un couple de Goizueta. | |
PP-025 | B13 | Anecdote à propos d’un autre couple. | |
PP-025 | B14 | Anecdote à propos du curé et de la fille pendant les fêtes. | |
PP-025 | B06 | Anecdotes. | |
S-007a | A06 | Encore quelques anecdotes. | |
S-014a | A14 | mode de vie | Chanson. |
SA-003 | A01 | Présentation de Gerardo du point de vue des autres : on devrait faire un tunnel sous la montagne, quand le soleil apparaissait il y avait un homme qui attendait pour l’emporter là où il devait être le lendemain à l’aube, les histoires de la télévision. | |
SA-003 | A13 | sorcellerie - croyances: Gaueko | Une femme demanda de l’argent aux gens d’une maison et ensuite il y eut une dispute pour savoir si elle l’avait rendu. C’est que, même si elle ne faisait de mal à personne, les choses disparaissaient dans les maisons.La même femme servit dans une maison et là aussi il se passa quelque chose."Gaua gaukoendako, eguna egunezkoentzako eta Kattalin guretzako" ("la nuit à ceux qui sont de la nuit, le jour pour ceux qui sont du jour et Kattalin pour nous") et la fille disparut. |
SA-003 | A14 | croyances: apparitions | Tout le village se réunissait près de Blasenea. Une histoire locale. Ceux qui voyaient la Vierge. Comment ils apprirent la mort de leurs parents d’Amérique. |
SA-003 | A16 | médecine: remèdes | Alors qu’elle faisait le pain à la maison, une voix venue de la cheminée dit à Maria “Maria, un peu, Maria un peu”. Et quand elle le dit à son mari, il lui dit quoi faire pour faire disparaître la voix. |
SA-003 | A17 | Le mari de Maria était commerçant et une nuit, alors qu’il cherchait une pension, il frappa à une porte et on lui demanda qui il était. Ce qu’il répondit. | |
SA-003 | A18 | Dictons de Lakuntza : l’un des deux amis qui vendaient avec des charrettes faisaient des messes à tous les saints et ce qu’il répondit quand on lui demanda comment il payait tout cela. | |
SA-003 | A19 | Un jour où ils allèrent à Aralar ils trouvèrent sous la charrette un grand-père curieux (moitié guérisseur) et les paroles qu’ils prononcèrent quand ils le sortirent de là. | |
SA-003 | A02 | Le chef voulait recevoir son salaire. Il était chasseur et très habile. Commentaires à son sujet. | |
SA-003 | A20 | Il rentra à la maison déjeuner et demanda qu’est-ce qu’il y avait à manger et les autres lui dirent qu’il y avait de tou. Ce que le premier lui répondit. | |
SA-003 | A23 | Le père de Puri chassait les loups en leur montrant ses deux dents et à l’aide du feu. | |
SA-003 | A24 | Une belette tua onze brebis du boucher, mais une nuit ils firent du feu et elle ne revint plus. | |
SA-003 | A25 | ||
SA-003 | A26 | Le père avait une réputation de voleur, un jour il arriva avec quatre cornes. La conversation qu’ils eurent lorsque sa femme vit cela. | |
SA-003 | A27 | Histoire d’une famille dans laquelle la fille frappait la mère. La relation qu’eut Puri avec cette famille. L’appartement qu’ils avaient loué. Le jour où la fille vit sortir sa mère de la maison de Puri. Puri donnait à manger à cette femme. La famille de Puri voyait ce qui se passait dans l’autre maison par la fenêtre. | |
SA-003 | A03 | Histoires de l’oncle Emilio : jeune il partit comme domestique dans une maison. Les voleurs s’y rendirent et il en vit de toutes les couleurs pour s’enfuir sain et sauf. | |
SA-003 | A04 | A l’heure de manger, les plus grands cochons écartaient les petits et lui les frappait à coups de bâton. Ce qu’il faisait pour distribuer les betteraves. Il semblait comprendre le langage des cochons. Anecdote du chat. | |
SA-003 | A05 | Il allait vendre le veau mais finalement il ne le vendit pas. | |
SA-003 | A06 | Pour voir sa fiancée il passait par dessus la porte pour que la porte ne fasse pas de bruit. | |
SA-003 | A07 | mariage | Noces : foire des célibataires. Celle qui se remuait le plus était la mère du fiancé. Il n’y avait pas de présentations. Ce qui advint dans une autre maison et finalement tous se firent moines et religieuses. Il allait voir sa fiancée uniquement le samedi et s’ils sortaient tard, ils sortaient par dessus la porte pour ne pas faire de bruit. |
SA-003 | A08 | Il arriva à l’un d’eux de ne pas savoir laquelle des deux soeurs était la sienne | |
SA-003 | A09 | Anecdote à propos de celui qui ne savait pas bien faire de la bicyclette. | |
SC-002b | A02 | Il y avait trois Basques qui travaillaient à Uron et l’un d’eux vendit les maillets à un autre. Le vendeur voulait aller à San Francisco et le troisième lui dit qu’il l’emmènerait dans la charrette. Mais on ne sut plus rien du vendeur. Par la suite on apprit que l’autre l’avait tué et lui avait dérobé son argent. | |
SD-004b | B02 | médecin de campagne | Puri avait de l’arthrose et, conseillée par une autre, elle alla à Logroño voir le Père Marcelino au couvent. Il ne pouvait même pas lever les bras. Quand elle entra là où il était, il passa ses mains autour d’elle sans la toucher vers le haut et vers le bas. Tout ce qu´elle ressentit fut son ventre remuait en haut et en bas quand il passait ses mains. Depuis lors elle n’a plus jamais ressenti de douleur. |
SD-004b | B07 | Cesar, un garçon de dix-neuf ans, eut un malaise à une heure et demi du matin. Ils l’emmenèrent à Pampelune mais là-bas ils ne virent rien Au retour, ils l’interrogent pensant que cela pouvait être de la léthargie. Il n’a été conscient de rien. Il se réveilla quand arriva le médecin de Pampelune, il ne se souvient pas du reste. Il ne semble pas que ce soit de la léthargie.Son petit frère fut le premier à le voir.Il crachait de la mousse par la bouche, remuait les bras avec force et émettait des sons comme s’il s’étouffait. Quand le médecin et le curé arrivèrent, il semblait être inconscient. Quand le médecin prit sa main pour lui prendre le pouls, il ouvrit les yeux pour la première fois. | |
SH-003 | A11 | Il raconte un jour où il s’en fut faire une cabane. Il tomba de la cabana et alla à San Miguel, et là ils le soignèrent. | |
SH-003 | A12 | Une autre fois ils allèrent chercher du bois, et ils enlevèrent toutes les branches d’un châtaignier. Il commença à rouler tout entier, jusqu’à ce qu’enfin il s’arrête. | |
SH-003 | A13 | Une autre fois il eut aussi un accident semblable. | |
SH-003 | A14 | Aucun arbre ne l’a attrapé mais ce fut le cas de quelques autres. Autre anecdote. | |
SH-003 | A02 | Il travaillait au moulin jusqu’à ce qu’il ait l’infarctus. Comment il monta le moulin avec l’aide du secrétaire de Uharte-Arakil. Histoires à propos de l’autre moulin et d’autres personnes. | |
SH-003 | A21 | Anecdote : le jour où un ami voulut acheter une vache. | |
SH-003 | A03 | forêt: achats | Il travailla dans les champs avant de travailler au moulin. Il achetait et vendait aussi des bois. Histoires sur le bois et les forêts. |
SH-003 | A04 | Plazaola | Histoires de Plazaola. Modes de paiment. |
SH-003 | A08 | Il connaissait les dolmens et les grottes d’Urbasa. A l’époque de la guerre civile il fit du négoce. Histoire de l’homme qui extrayait de la pierre. | |
SH-003 | A09 | Le jour où ils allèrent voir la grotte des “gentiles” (personnages de la mythologie basque). | |
SM-002 | A01 | Le vent des âmes : en passant devant une maison, une fille ressentit un fort vent. Effrayée elle le raconta au curé et celui-ci lui répondit que chaque fois qu’elle passerait par là elle devrait dire la chose suivante : "onen partetik bada, mintzo zaitez eta bestela fundi zaitezela" (si c’est au nom du bien, parle, sinon disparais). Ce qu’elle fit et le vent répondit. Il lui dit qu’il était sa soeur et qu’elle prenne bien les mesures et les poids. Et le fait est que bien que la maison ne fut pas un magasin, on y vendait des pommes de terre et d’autres choses. | |
SM-002 | A10 | sorcellerie | A Arrosa aussi, un berger trouva une hyène sur une brebis et avec la hache il lui coupa une patte. Le jour suivant, ils disaient qu’une femme était mal et finalement elle sortit avec un bras coupé. |
SM-002 | A11 | sorcellerie | (En castillan) Celle d’un galicien : dans une maison qui se trouve entre Navarre et Aragon, ils demanda l’hébergement pour la nuit mais il reçut une réponse négative. Finalement, après avoir supplié, ils le laissèrent dormir dans la cuisine. Ils lui servirent le dîner et s’en allèrent. Ensuite il entendit une femme qui disait à sa fille qu’elle regarde s’il dormait. Il avait peur qu’ils lui enlèvent tout. Il prit peur et fit semblant de dormir. Alors la mère et la fille se dénudèrent jusqu’à la ceinture, sortirent une marmite de sous une brique et s’enduirent le corps de l’onguent qu’elles avaient. Elles dirent : "Por encima de las matas y arbustos al campo mar te vaya a parar" (par dessus buissons et arbustes qu’il t’emporte à la mer). Il vit quelle brique c’était et il décida de faire la même chose pour voir si c’était vrai. Il s’attacha au banc et se passa l’onguent en prononçant les paroles. Il entra dans la cheminée mais le banc ne le laissait pas monter. Il enleva l’onguent avec un mouchoir et finalement tomba sur le sol. Il partit de cette maison le plus vite qu’il pût. |
SM-002 | A13 | croyances: apparitions | Ce qui arriva à la soeur de la grand-mère : le mari mourut sans avoir eu l’extrême onction, parce qu’il n’en voulait pas. Elle se retrouva très mal et partit en Amérique. Au retour elle raconta la première nuit qu’elle passa en Amérique. Elle ne pouvait pas dormir et se rendit compte qu’il y avait quelqu’un dans la chambre. Il lui caressa le visage comme le faisait son défunt mari et elle lui attrapa la main. Comme elle était tiède elle pensa qu’il n’était pas en enfer. |
SM-002 | A14 | sorcellerie | Le jour de la Trinité, veille de Fête Dieu, la soeur de sa grand-mère tomba comme morte et resta trois jours sans parler. Au troisième jour, une autre femme vint la visiter et la malade dit de but en blanc : "Atera ezazue andre hau etxe honetatik ! Sorgina !" (Sortez cette femme de cette maison ! Sorcière !). Ils la sortirent brutalement de la maison. |
SM-002 | A16 | sorcellerie | Dans une famille de Mezkiritz six nouveaux nés moururent. Et la grand-mère de Perpetua, qui faisait office d’accoucheuse, dit à la femme que désormais ils baptiseraient les enfants en l’église de la Trinité et qu’ils ne mourraient pas. |
SM-002 | A02 | croyances: apparitions | Elles savonnaient le linge à la maison mais elles devaient le laver dans le bassin, car dans les maisons il n’y avait pas d’eau. Chaque fois qu’elles y allaient, elles voyaient une lumière au-dessus de la fontaine à droite. C’était de la taille d’un poing et cela brillait. Une fois, alors qu’elle était au lit, la lumière lui apparut. Elle lui dit ce que le curé avait dit à l’autre fille de dire, et elle ne la vit plus jamais. Par la suite elle entendit qu’à Bizkarreta-Gerendiain parmi les carabiniers il y avait un garde civil qui avait coutume de terroriser les gens. |
SM-002 | A23 | Quand ils allèrent retirer les dents à un homme mort qui avait des dents en or, ils s’aperçurent qu’il ne les avait déjà plus. | |
SM-002 | A25 | Histoire de Juan de Atarrabia : il sortait beaucoup et sa mère était inquiète parce qu’il rentrait tard. Un jour où il rentra très tard et comme elle lui demandait où il avait été, il lui dit qu’il y avait de la neige à Ibañeta. La mère ne le croyait pas car localement il faisait très beau. Et Juan dit que si c’était vrai le coq chanterait en suivant, et il en fut ainsi. | |
SM-002 | A26 | Une autre fois il était très effrayé en apprenant que le Pape était avec les diables. Il s’en fut voir le Pape. Il lui dit de mesurer la table et les deux diables qui se trouvaient là disparurent. | |
SM-002 | A27 | Sa mort : alors qu’il était avec son sacristain sa tête frappa quelque chose de métallique et il mourut sur le coup, parce qu’il disait qu’autrement il ne pourrait pas aller au ciel. | |
SM-002 | A28 | croyances: Juif errant | Juif errant : son défunt père ayant travaillé le bois dans la montagne, il s’approcha de lui et demanda du pain et celui-ci lui donna et lui demanda de s’arrêter. Mais l’autre dit qu’il ne pouvait pas et il partit. |
SM-002 | A03 | croyances: apparitions | N’importe quand une lumière passait d’un côté à l’autre. C’était celle de son défunt frère. La grand-mère racontait que son frère à vingt-cinq ans, au lieu d’aller jouer à la pelote alla à l’église et dit au curé qu’il voulait se confesser car il ne se sentait pas bien. Le curé ne fit pas attention à lui et il commença à jouer à la pelote et brusquement, il tomba. |
SM-002 | A04 | croyances: apparitions | Une histoire intervenue plus tard : un homme mourut et il apparut un soir au père de Perpetua sur le chemin, mais celui-ci lui parla et l’homme ne lui prêta pas attention. Sans que son père dise quoi que ce soit, il apparut aussi à un autre homme. |
SM-002 | A05 | croyances: apparitions | Raconté par une femme qui appelait beaucoup sa grand-mère : quand son mari mourut, elle entendit des coups. Elle offrit une messe à l’âme du mari et tout disparut. |
SM-002 | A06 | religion - jour: des morts | Jour des morts : on emmenait des pains d’une livre ou d’une demi-livre au meunier. Ensuite on les donnait aux enfants à l’école. A la messe du soir certains essayaient d’entrer les premiers dans l’église. Le catéchisme était à neuf heures du soir. Jusqu’à dix huit ans elle allait aider le curé à enseigner le catéchisme. Anecdote : les trois frères sortirent une fois avec des draps sur la tête pour effrayer les gens. Ils disaient que les âmes sortaient cette nuit là à la recherche de prières. Dans le cimetière on voyait des lumières. Mais elle ne croit pas à ces choses et elle croit que c’était des allumettes. |
SM-002 | A07 | croyances | Les bruits des maisons : une grande carafe tomba dans les escaliers du dernier étage de sa maison et elle monta voir qui avait pu la jeter. Elle ne croit pas à ces choses mais les gens disaient qu’il y avait des bruits en quête de messes. |
SM-002 | A08 | croyances: apparitions | Le troisième jour des fêtes de Mezkiritz, alors que la nuit n’était pas encore tombée, près de sa maison il y avait une grande lumière dans l’air. Ils étaient en train de dîner et tous sortirent pour la voir. Elle ne sait pas ce que c’était. |
SM-002 | A09 | sorcellerie - religion | Celle d’Arrosa : ses deux grands-pères étaient fabricants de cuillères. En hiver ils quittaient la montagne pour venir au village. Une fois, un de ses grands-pères leur raconta que huit jours auparavant le curé d’Arrosa avait fait un sermon contre les sorcières. |
SM-007b | B11 | contrebande | Une fois ils les virent et les arrêtèrent. Ils jetèrent les paquets mais ils ne les attrapèrent pas. Certains réussirent à sauver les paquets. |
SM-007b | B12 | contrebande | Ce qui arriva au père d’une femme qui faisait de la contrebande, un jour où ils lui tirèrent dessus. Ce sont des moments difficiles. |
SM-007b | B08 | fêtes | Une autre fois, au retour de Pampelune, il commença à vomir et passa les quatre jours de fête alité. Autrefois les fêtes avaient lieu le 10 huillet mais maintenant elles sont le premier dimanche d’août, ils changèrent la date en raison de l’époque des foins. |
SM-011 | A10 | Le village était divisé en deux groupes. Don Julian voulait installer l’électricité dans le village, mais l’autre groupe ne voulait pas, parce qu’ils étaient fâchés. Ce que dut faire Don Julian pour emporter le vote. | |
SM-011 | A11 | Pour “mettre le mai”, il y avait deux groupes, parce que les garçons étaient divisés. Ils formaient deux groupes sur la place et ceux de Don Julian apportèrent l’arbre le plus haut. | |
SM-011 | A14 | Anecdote : la baraque brûla. | |
SM-011 | A18 | Son père annonça la date de sa mort et cela se confirma. Il fut malade, alité pendant quatorze mois, il dit quel jour il allait mourir et il mourut ce jour là. Ses deux soeurs allèrent à la messe et avant de partir il leur fit ses adieux car il ne les reverrait plus. | |
SM-011 | A27 | Anecdote : ils renvoyèrent le curé pour avoir dansé. | |
SM-011 | A32 | contrebande | Ils venaient de nuit avec les lumières éteintes pour que les carabiniers ne les voient pas. Quelqu’un allait au devant pour prévoir la situation. Ils utilisaient le cri du hibou comme signal.Ils avaient pour habitude de cacher la contrebande dans une maison et le contrebandier dans une autre. Ainsi ils ne trouvaient jamais rien. Ils avaient besoin du papier du secrétaire et quand le secrétaire arrivait à la maison, le messager était arrivé à la maison où se trouvait la marchandise et ils la changeaient d’endroit. |
SM-011 | A04 | A la naissance de son père, sa grand-mère tomba malade. Quand son père avait quatorze ans, sa mère lui dit qu’elle avait toujours une promesse à tenir, promesse qu’elle fit à la Vierge des Remèdes de Luquin, et que c’est lui qui devrait la tenir à sa place. Quand il eut dix-huit ans et qu’il apprit quand avaient lieu les fêtes de Luquin, il fit le voyage. Il fit ce que sa mère lui avait dit et ensuite se rendit à la place. Il avait très soif et il vit une fontaine, mais l’eau était très chaude. Finalement, il revint sans rien boire, et sans même voir les fêtes. | |
SM-011 | A07 | enclos | “Artegiak” (une espèce de bergerie) : tout autour on fait un mur sec de pierres, d’un peu plus d’un mètre et demi de haut. Devant et derrière il était plus haut pour faire la pointe du toit. On laissait une fente pour que l’air entre. Dans la partie de devant on faisait l’entrée. On plaçait les "côtes" et par dessus des branches, plutôt en travers, et "zuzturrak" (des racines ?). Par dessus on plaçait des bois, et sur la pointe aussi. Anecdote : une nuit une bergerie de ce type qui n’était pas achevée fut emportée par le vent. |
SR-009 | A02 | Le jour où ils allèrent en train à Lakuntza sans argent. | |
SR-009 | A05 | métiers: maître | Son maître d’école était Don Cleto Rojo. Il allait à l’école avec sa guitare. Et quand il apprit que Fernanda devait partir à Tolosa, il alla chez elle et il dit à sa mère de ne pas l’envoyer, qu’elle méritait de faire des études. Le jour suivant Fernanda partit en train à Tolosa. |
SR-009 | A06 | nostalgie | A Tolosa le soir quand les autres allaient se coucher elle nettoyait son linge. Un jour où il neigeait, elle sortit au balcon et sentit le mal du pays, mais elle resta là-bas trois ans sans voir personne de la famille. |
SR-009 | A08 | accident | Ils eurent un accident avec la machine à couper les foins. |
SR-009 | B01 | métiers: cuisinière | Une fois, son père alla à la foire de Pampelune et il mangea dans une pension. Il dit à la femme de la pension qu’il avait une fille qui voulait apprendre à cuisiner et elle lui dit de lui envoyer. Et c’est ainsi que Fernanda partit à Pampelune. Le premier jour, ils lui demandèrent de tuer une poule et elle lui coupa le cou. Ensuite, ils lui dirent de jeter les pattes dans le pot au feu et elle le fit sans les nettoyer. C’est ainsi qu’elle apprit à cuisiner. Le secrétaire de la Députation était là-bas comme pensionnaire et il voulait se marier avec elle, mais Fernanda ne voulait pas. |
SR-009 | B02 | Une fois, un grand-père à elle voulait construire une maison, mais pour cela il devait abattre un arbre et avait besoin d’une autorisation. Le garde lui dit qu’il pouvait attendre trois mois. Fernando lui obtint le jour même. | |
SR-009 | B03 | théâtre | Il y avait aussi dans la pension un homme qui s’appelait Carmelo et c’est lui qui publia dans le "Pensamiento Navarro" (Pensée Navarraise) le retour de Fernanda au village. Le même homme l’emmena au théâtre ainsi que les propriétaires. Elle resta six mois à Pampelune. |
SR-009 | B04 | alimentation | A Martxonea, sa maison, une quinzaine d’amis se réunirent pour dîner et elle leur prépara le repas : soupe, viande en ragoût avec des pommes de terre et gâteau. |
SR-009 | B09 | église | Quand ils commencèrent à construire la nouvelle église il y eut deux responsables qui mangeaient aussi à la maison. Elle faisait alors un repas spécial, tous les jours différent : soupe, croquettes de viande, côtes de boeuf. Le grand-père faisait partie de l’assemblée de l’église et finalement ils accueillirent les onze ouvriers à la maison : onze dans la salle à manger et les sept de la maison qui mangeaient à la cuisine. Ce fut ainsi pendant un an. La photo où l’on voit la voiture de l’évêque stationnée devant sa maison. |
SU-005 | A01 | Introduction. Age. Episode : pour montrer combien il était agile, a soixante dix ans il se pendit par les pieds, tête en bas, à une branche du châtaigner de la place. | |
SU-005 | A10 | Etant donné qu’il travaillait à Améscoa il rentra le dimanche à la maison et vit trois fois le cheval. La fois suivante il marqua tous les arbres pour ne pas se perdre. | |
SU-005 | A11 | Il a eu énormément de contrariétés. Quand il se perdit dans la neige et se retrouva avec la jambe cassée, huit hommes voulaient le frapper. L’un d’eux voulait aller au bal et lui ne voulait pas parce qu’il n’aimait pas ça et qu’il n’irait pas, alors ils commencèrent à le frapper. | |
SU-005 | A16 | Avec les animaux on faisait des "ipurtatsak". Ce que les loups firent au grand-père de sa mère.Son grand-père en attrapa un dans un piège. Et avec l’aide d’un ami à lui d’Ataun, avec les pattes attachées et bâillonné il l’emmena à la maison. Sa mère avait quatre ans et cette nuit là le loup sauta jusqu’à en mourir. Ensuite ils lui enlevèrent la peau et la vendirent. | |
SU-005 | A17 | Son grand-père avait quatorze ans, ils vivaient dans la maison des chèvres et il avait un chien noir. A la poursuite des chèvres, le loup apparut avec deux louveteaux. Les louveteaux montraient les dents au chien et celui-ci était effrayé. | |
SU-005 | A22 | Il la voulait comme fiancée mais ils étaient cousins, et elle ne voulait pas. Il partit en Amérique et envoya une lettre à son père, expliquant que tant qu’elle serait vivante il n’aurait pas de repos. Et il la tua avec un burin dans la montagne. | |
SU-005 | A23 | Alors qu’il était berger, un d’Iturmendi vendit un agneau pour avoir de l’argent et ensuite il l’accusa de l’avoir volé. Etant le meilleur ami de l’autre, finalement il l’accusa de quelque chose qu’il n’avait pas fait. | |
SU-005 | A24 | Au cours d’une dispute entre ceux d’Iturmendi et Urdiain, un homme mourut à Urdiain même. Mais personne ne disait la vérité et on n’emprisonna personne. | |
SU-005 | A25 | Finalement le berger d’Iturmendi qui l’avait accusé lui demanda pardon et tout s’arrangea. | |
SU-005 | A26 | Il eut des problèmes avec la machine qu’il installa pour la charpente. Il amena la machine d’Eibar mais il ne put pas la payer. Mais tout est oublié à présent. | |
SU-005 | A03 | Dans la montagne de Lokiz, alors qu’il coupait et descendait le bois, il explosa et resta coincé sous les troncs. | |
SU-005 | A05 | A vingt ans, il partit à Urbasa pour les agneaux parce qu’il avait neigé. Mais il se perdit. Il sortit le matin et il y avait beaucoup de neige. Il resta cinq jours et quatre nuits perdus dans la montagne. Il resta à Ezkiza à côté d’un chêne. Pensant que c’était un habitant d’Amescoa, les sangliers s’approchèrent de lui. Cette nuit là il pensa mourir, ou s’il ne mourait pas il pensa qu’il resterait sur place jusqu’à ce qu’il n’y eût plus de neige. Au sixième jour il pleuvait et alors que la neige fondait, il trouva un chemin de boeufs; Le soir il arriva à l’auberge et y resta six jours de plus. Anecdotes des médecins qu’il vit pour soigner ses pieds. Finalement on le soigna avec de l’urine, et il fallut lui couper un doigt. | |
SU-005 | A06 | Une autre fois, il emmena les vaches à la montagne le soir et le matin il partit les chercher et les trouva dispersées. Il avait soixante-dix sept ans. L’eau de la rivière avait débordé. L’eau emportait la vache et lui se jeta au sol. Sa vache mal en point le vit et lui urina dessus. Avec la chaleur de l’urine il se réveilla et c’est ainsi qu’il fut sauvé ce jour là. Lui croit que quelqu’un envoya cette vache. Il a toujours beaucoup prié. | |
SU-005 | A07 | Il s’habilla très élégamment pour aller faire des photos mais à côté du pommier il tomba à deux reprises. C’est à cause de cela qu’il eut un rhume quand il rentra à la maison. | |
SU-005 | A09 | Il connaissait très bien Urbasa. Mais une fois, il y avait du brouillard et il se perdit alors qu’il était berger. | |
I-066a | A6 | Anecdote de l’époque de la guerre : ils tirèrent sur le curé. | |
I-066a | A11 | Ecureuil, touron. Anecdote. | |
I-033b | A3 | Il parle d’une autre famille du village. Ils devaient être riches et l’héritage est encore aujourd’hui au nom du grand-père, les maisons et tout le reste. Sa mère mourut il y a trente ans et des courriers arrivent toujours à son nom. Ils ont une maison incroyable, mais il faut beaucoup d’argent pour l’entretenir. Ils ne l’ont pas vraiment entretenue, à l’intérieur non plus. A l’intérieur il y avait même de l’argent datant d’il y a deux cents ans. | |
I-010 | A9 | L’herbe, le coton et les aliments qu’ils donnent aux brebis. Les contrôles qui sont faits sur les brebis des éleveurs. Ils leur ont toujours menti sur la quantité, Mais s’ils ne font pas cela ils n’obtiennent pas de subvention. Anecdote. | |
I-010 | A4 | Les filles d’Igoa sont plus réputées pour être jolies et présomptueuses que pour leur euskara. Anecdotes. | |
I-010 | A6 | Ils doivent faire venir des vaches pour la viande de France, en contrebande. A Ultzama ils passent par la partie de Lantz. A Sorogain aussi il le font. Anecdote : ce qui arriva à un oncle d’Orreaga. | |
I-010 | A10 | religion: curés | Le curé est de Lizaso, très humble et bascophone. Ils parlent d’autres curés. L’autre jour Orreaga fit la connaissance des curés d’Arrarats et Lizaso. Anecdote. |
I-008b | B1 | Une femme avait trop peu d’argent pour entrer dans quelque maison de retraite que ce soit. Finalement elle se remaria avec un homme veuf lui aussi et qu’elle connaissait depuis longtemps. | |
I-008a | A4 | Elle vint à la fin du mois de juillet pour les fêtes d’Arrarats. Quand elle était jeune elle dansait toujours les jotas. Mais elles étaient “Filles de Marie” et le curé disait qu’il allait les sortir de là. | |
I-008a | A3 | Maintenant elle vit avec sa fille à Barcelone. Anecdote : ils étaient quatre générations de la même famille. | |
I-007 | B13 | Eux aussi allaient à pied à l’école d’Igoa. Les mauvais garçons d’Igoa leur enlevaient leurs jouets. | |
I-007 | B14 | école - anneau | S’ils parlaient en euskara on leur mettait un anneau. Les voisins firent une réunion et là on décida cette histoire d’anneau. Mais elles ne savaient que l’euskara et elles se passaient l’anneau des unes aux autres. La maîtresse ne la frappa jamais pour avoir parlé en euskara. Mais une fois elle dit à un garçon qu’il apporte des bâtons. Elle rompit le premier sur lui. Plus tard ce garçon devint moine. |
I-007 | A4 | Dans le fauteuil d’une fille qui était en fauteuil roulant, ils passaient de la cocaine. Ils la cachaient dans le caoutchouc des roues. | |
I-006 | B6 | Autrefois, on ne pouvait rien faire et maintenant il y a trop de liberté. Travailler et devoir être à la maison, rien de plus. Maintenant, ne pas pouvoir rentrer à la maison. Anecdote : à propos des permissions durant les carnavals. | |
I-006 | B4 | Une femme qui se trouve dans la résidence a quatre vingt quinze ans. Elle a des problèmes avec la nourriture. Ils l’opérèrent d’une jambe. Son mari mourut. Il était français et ils se rencontrèrent sur un bateau. Ils n’avaient pas d’enfants. Ils avaient un appartement à Arre. Elle a beaucoup d’argent, mais il restera pour la miséricorde. Des neveux vont lui rendre visite, qui jusque là ne lui prêtaient aucune attention. L’argent perd les gens. | |
I-003 | B9 | Anecdotes sur son nom. | |
I-006 | B2 | Le cousin qui était médecin, Andrés Labaien, mourut subitement. Comment il apprit sa mort, une amie le vit dans le journal et elle crut que ce n’était pas lui. Aux obsèques il y avait beaucoup de monde, les gens l’aimaient beaucoup parce que c’était un homme bon. Il était basque et il parlait toujours en euskara. Comment il le salua un jour qu’ils se trouvèrent à Pampelune. C’était un homme très simple, pas du tout prétentieux. Sa femme était de Zaragoza, car il étudiait là-bas. Ils étaient avec un autre couple, les autres étaient très élégants et lui était vêtu on ne peut plus simplement. Aux obsèques, il y avait beaucoup de monde. Cela fait de la peine de voir les gens mourir ainsi. Mais "zaharrek eskaporik ez eta gazteek ordu ziurrik ez" (les anciens n’ont pas d’échappatoire et les jeunes n’ont pas d’heure exacte). | |
I-003 | B7 | Il vaut mieux acheter des bonnes choses que des mauvaises. Une personne mit ce que lui demanda la nièce. | |
I-003 | B6 | La catalane l’interrogea sur sa fammile et ce qu’il lui dit ensuite. Les dessus de lit que fit le fils. Les activités manuelles qu’a faites la famille. | |
I-003 | A9 | Ils désignèrent Pedro comme maire. Son cousin s’amusa bien. Sa mère envoya deux hommes demander s’il était là. | |
I-003 | B1 | Pour mesurer le blé : mesure de “demi prière” (erregu erdi). Carder la laine. Ourlet, pli, en double. Onze frères moururent, l’aîné avait vingt-six ans, victimes d’une maladie. Deux restèrent en vie. | |
I-003 | B2 | Carlos savait bien faire les “zapinak”, chaussettes de laine. Plus tard il vit Ignacio dans la cuisine faire le fil. Les autres savaient le faire, pas lui, mais il en avait besoin, et bien qu’il les fasse. “Mandasoka”. Elle aussi se mit à en faire mais elle ne pensa même pas à nettoyer la laine. La mère arriva. Elle fit comme si elle était en train de nettoyer et quand la mère demanda qui avait fait celle-là, personne ne répondit. Ensuite elle le sut et le jour suivant elle lui prépara du fil propre et elle les fit. L’homme les vit faire dans les Asturies. Il y a une démonstration tous les ans à Axular. Elle aussi se rend dans différents endroits faire des démonstrations. | |
I-003 | B3 | Il se cassa l’os du pied. Il alla voir le guérisseur de Betelu et il le soigna bien. Une fois où il se cassa l’os, il fut hospitalisé plus d’un mois avec un plâtre, sans opération mais avec des analyses quotidiennes. Après un long mois il rentra à la maison, mais au bout d’un mois il dut revenir. | |
I-003 | A3 | Une fois elles allèrent aux fêtes de Goizueta : la nourriture, elles entrèrent dans la rivière, etc. Par la suite elles rentrèrent au village et s’en allèrent à l’église. Là elles jouèrent de l’orgue. Le curé entra en chantant le credo. Le bal. Douze filles en cercle. L’après-midi. Le secrétaire, qui était de Pampelune, était très saoûl et les filles lui chantèrent “levantate pamplonica”. Un Garde Civil leur dit qu’elles avaient du toupet et elles lui répondirent de se taire, qu’ils auraient du amener de la musique et qu’il n’y en avait pas. Elle avait alors vingt-cinq ans. Comment elles allèrent à Goizueta. | |
I-003 | A4 | Ce qui arriva un autre jour. Elles ne voulaient pas dire d’où elles étaient. Celui qui leur demanda était le célibataire du village. | |
I-003 | A7 | Un jour, alors qu’ils étaient en train de faire la route, il y a quarante ans, il y avait des gens dehors. Environ seize personnes se réunirent pour dîner. | |
I-003 | A5 | Une fois qu’il était vraiment ivre elles lui firent la “petaca” (le lit en portefeuille). | |
I-003 | A10 | stalactites et stalagmites | Son cousin trouva un autre trou. Les gens qui sont allés voir le trou. Ces trous sont des grottes. À propos de celles qui emportent des stalactites et des stalagmites pour faire des cuisines basques. Cela est interdit et les sanctions sont très fortes. Un de ses cousins, maçon, en prit pour faire sa cuisine et maintenant il va en faire une autre. |
I-003 | A11 | La mort d’une personne. Quelqu’un devait venir. Comme il était en train de rassembler le linge, il dit aux autres d’y aller un autre jour. | |
I-003 | A13 | Une catalane alla lui poser quelques questions. Ensuite, ce fut une fille d’Olite. | |
I-039 | B02 | bois | Il a beaucoup travaillé dans la montagne. Ils sortaient le bois et devaient le transporter. Ils le transportaient sur la rivière, pas sur des radeaux, mais lâchés sur l’eau. Eux suivaient à pied sur le bord de la rivière, au cas où le bois s’accrocherait quelquepart afin de pouvoir le dégager. S’il tombait à l’eau il ne savait pas nager. Un jour il tomba et réussit à sortir en s’accrochant à un bâton que lui tendit le fils du patron. |
I-043 | A08 | Le curé allait tous les jours parler avec lui en euskara. (11.05”) Les danseurs descendaient sur la place boire un verre avec eux. | |
I-043 | A09 | alimentation: fromage - alimentation: galettes | Un des frères manquait toujours au travail parce qu’il souffrait de migraines. Ils avaient du mais et avaient toujours des galettes de mais. Il y avait une famille qui n’avait pas de mais, mais ils refusaient qu’on leur donnât quoi que ce soit. Ils avaient du lait et avec ce lait ils faisaient aussi du fromage. “Marrakuka” : galettes de mais avec du lait. |
I-015 | A08 | Il raconte que Montxo Armendariz s’y rendit. | |
I-026 | B03 | divers - famille | A propos de ses neveux. Ils aiment beaucoup le village. Quelques anecdotes sur la famille : poissonnerie, études et autres péripéties. |
N-033 | A03 | euskara | Son père est de Pampelune et les parents de celui-ci étaient hispanophones. La grand-mère était d’Etxauri et quand elle parlait en castillan elle utilisait quelques mots en basque. Le grand-père était de Garisoain. La grand-mère du grand-père était de Salinas de Oro et elle enseignait le catéchisme en euskara à une soeur du grand-père. Car il y avait des personnes bascophones à cette époque là à Salinas. |
N-065 | A04 | fêtes | Du fait qu’elle était chez le curé, elle n’avait pas autant de liberté que les autres. Plus que le curé, c’était la servante qui était soupe au lait. Elles partirent aux fêtes d’Irurtzun dans la camionnette du boulanger. Au retour, la servante lui dit que ce n’était plus la peine de lui demander des autorisations. Le jour suivant, elles allèrent aux fêtes sans demander la permission. |
I-016b | B03 | euskara | Ils vont, ils sont allés, j’apporte. A Sakana, ils parlent très différemment, ils emploient les formes synthétiques. Ils évoquent certaines personnes. Quelques anecdotes. |
I-016b | A03 | ville - religion: curés | L’homme sonne les cloches à six heures et ils entrent à six heures et demi. Les personnes qui se rassemblent à la porte de l’église. Ils ont connu six curés. Il donne des explications à propos des six. Il y a cinquante ans, il y avait plus de trois cents habitants dans le village. Lui en a vu mourir une centaine. Anecdote :le même jour il y eut une communion et un décès. |
SS-016a | A01 | Don Juan racontait l’histoire d’une femme sans enfants d’Araitz. Elle alla avec des chaînes ici et là demandant des enfants et cette même année elle en eut deux. La femme avait plus de quarante ans. | |
I-011 | B02 | coopérative laitière | La coopérative laitière. Cela aide à ce que les gens restent au village. Mais tous les jeunes gens sont célibataires. Anecdotes. |
I-016b | A01 | Guerre | Histoires de l’époque où il était soldat. Il fut envoyé ici et là : Huesca, Andalousie, Bilbao… Il partit quand il avait dix huit ans et il revint à l’âge de vingt-cinq ans. Qui faisait les travaux de la maison pendant ce temps. (6.30")Comment et quand ils furent à Teruel en 1937. Là-bas étaient les bataillons internationaux. De Teruel beaucoup de gens partit en France. Anecdote à propos de Gartziandia. |
I-011 | A05 | couvre-lit | Quatre dessus de lit faits au crochet comme dot. |
I-012 | A10 | L’homme a été aventurier et il raconte quelques histoires. | |
I-050 | B01 | Elle donnait de la viande au fils le plus jeune pour qu’il la vende, et le fils revenait à la maison sans rien. Alors la mère cessa de lui en donner. | |
I-050 | A02 | Guerre | L’homme resta à la guerre. Chez lui, sa soeur faisait les travaux, elle était mariée et vivait là. Quelques anecdotes relatives à l’époque où il était à la guerre. |
I-073a | A07 | euskara: différents dialectes | Un jour où ils mangeaient à Durango, le serveur leur disait “itxoin” (attendez) et eux ne le comprenaient pas. Ils comprennent plus aisément l’euskara du Gipuzkoa que celui de Biscaye. |
I-022b | A01 | euskara - métiers: maître | Les gens du village ne comprenaient pas le castillan. Mais il y eut un instituteur dans le village qui ne les laissait pas parler en euskara et c’est à ce moment là que le castillan entra dans la vie du village. Ce fut juste après la fin de la guerre. Les jeunes d’aujourd’hui, même s’ils vont à l’ikastola, s’expriment uniquement en castillan. Le curé leur demanda comment ils disaient “moisir” en euskara. |
I-016a | A02 | L’histoire d’une mort. | |
I-024 | A02 | Elle nettoyait certaines maisons et sonnait les cloches. Elle alla sonner midi et elle trouva là un garçon caché. “Ni euskalduna naiz” (je suis basque) lui dit-il et elle répondit : “ni ere bai” (moi aussi). | |
I-004 | B10 | travaux ménagers - nostalgie | Le village est situé dans un très bel endroit. Elle éprouve de la nostalgie, elle recherche toujours un paysage semblable, mais au Nicaragua cela n’existe pas. Là-bas tout est plus sauvage. Il n’y avait pas de brebis, mais des vaches. Il y a aussi des voitures, mais pas autant qu’ici. Elle sait traire les vaches, mais pas les brebis. Jeune, elle recueillit des litres et des litres de lait. L’expérience d’Orreaga dans le domaine du bétail et des tâches domestiques. Elle raconte sa dernière expérience. Faire ce genre de travaux doit te plaire. |
I-004 | B03 | études | Mais elle aimait bien étudier aussi. Ses soeurs étudiaient et elle aussi voulait, mais ils ne la laissaient pas, ils lui disaient qu’elle devait rester avec la mère. Sa soeur lui dit de venir chez elle à Irurtzun au moins pour apprendre à coudre et une fois à Irurtzun, ses parents la laissèrent partir à Pampelune où elle put étudier. Elle commença à étudier dans une académie. |
I-004 | B01 | Nicaragua | Comment elle eut l’opportunité de partir au Nicaragua. Elle avait une amie qui avait été là-bas. Elle pensa que pour connaître un pays le temps des vacances était trop court et elle partit un an. D’abord elle fit des travaux de couture, puis elle se rendit dans un établissement et là elle travailla trois mois à couper le café, puis elle travailla à l’école. Tous les jours ils mangeaient des galettes de mais. Parfois cela lui coûtait de devoir aller tous les jours chercher de l’eau, ou de vivre entourée de fourmis et de scarabées etc., mais pour elle, c’était comme la vie autrefois dans le village. Elle n’apprit pas à faire les galettes, elle les achetait à des filles qui passaient pour les vendre. Les jours de repos, le samedi après-midi, elles restaient à la maison pour lire ou écrire. Beaucoup de gens venaient chez elle. Il y avait aussi une discothèque et elles allaient là-bas danser. |
I-005 | A06 | métiers: bouvier | Anecdote : un jour ils allèrent à la foire et là il y avait un homme qui le connaissait et qui lui dit qu’il était le meilleur bouvier. Lui ne connaissait pas cet homme. |
SN-007b | A03 | sorcellerie | Dans le village circulait une rumeur sur l’existence de sorcières. Sa mère leur racontait qu’un séminariste d’une bergerie avait coutume d’aller à la taverne et là on lui disait qu’il y avait des sorcières, mais lui ne lecroyait pas. Une fois, au milieu d’un vacarme incroyable, ils lui dirent : “Nous ne sommes pas les sorcières mais nous sommes leur image”. Il ne retourna plus là-bas de nuit. Sa mère prenait la quenouille et leur racontait des histoires. Une autre fois, quelqu’un alla avec le bétail et il trouva des peignes. Il les prit en pensant que quelqu’un les avait oubliés et il se trouva que les peignes parlaient. Dans une autre histoire, la sorcière faisait trois bruits à la fenêtre de la chambre. Il n’y avait pas de remèdes face à ces actes de sorcellerie. Mais les sorcières ne faisaient pas de choses mauvaises. Il n’y avait ni “lamiak” (personnages mythologiques), ni êtres nocturnes (Inguma). |
SN-007b | A02 | accident | Il était en train de ramasser des châtaignes et il tomba, mais une branche l’arrêta. Ils l’amenèrent à la maison en charrette, mais il parcourut le dernier kilomètre en marchant. Il ne semblait pas que cela fût grave, mais ils l’emmenèrent pour la reconnaissance à Pampelune. Il ne survécut pas longtemps. |
I-005 | B11 | métiers: bûcheron | Les producteurs de bois envoyaient le bois en Catalogne. Orreaga raconte pourquoi Aurizberri a plus de montagnes que Mezkiritz. |
I-005 | B08 | métiers: cuisinière | Il a deux neveux. L’un travaille au “Toro”, l’autre est cuisinier. Anecdotes à propos de ce dernier. Anecdotes au sujet de l’autre neveu. |
I-005 | A02 | Ils parlent de ceux de la venta (auberge) d’Irurita. A présent des neveux ont arrangé la maison. Anecdotes : la pinède ; ce qui advint un jour où l’autobus s’arrêta à l’auberge. | |
I-066b | A05 | assassinat - village: Beruete | Les voleurs étaient locataires à Etxebarria. Ils disaient qu’ils étaient de la race des voleurs de Lantz. Ils s’appelaient Goñi. Ils étaient cinq frères et trois soeurs. Ils durent commettre d’autres forfaits avant le dernier assassinat. Il fallait se taire.Ils tuèrent le jeune d’Ilarregi et le jetèrent dans une grotte, en conséquence de quoi ils eurent des altercations avec les jeunes du village. Ils le payèrent pour vendre le charbon, ensuite ils empruntèrent un autre chemin pour le devancer, puis le tuèrent pour le voler. A l’usine ils se rendirent compte de l’absence du garçon et ils savaient qu’il avait à faire à ceux-ci. Pour cette raison ils commencèrent à les soupçonner et ils estimèrent qu’ils étaient coupables. Jeunes, ils avaient été bergers, ainsi ils connaissaient bien les grottes dans la montagne. Ils étaient deux du village à entrer dans la grotte à leur recherche. Ensuite ils avouèrent et furent emmenés à Pampelune le jour de la Chandeleur de 1934. Ils attrapèrent les deux plus jeunes, mais l’aîné réussit à s’enfuir. Il devait rentrer chez sa femme manger clandestinement et une fois la belle-soeur fit signe à la Garde Civile qui l’attrapa sur le chemin. Elles suspendaient les draps aux fenêtres pour prévenir qu’il était libre. Par la suite ils furent condamnés à mort tous les trois, mais l’un d’eux se suicida en se jetant dans les escaliers.Sa famille quitta le village. Les gens demandèrent la grâce pour les trois, mais certains disent qu’il devait y avoir quelque chose de politique, car ils étaient Basques, et ils les tuèrent. |
SN-007a | A01 | euskara | Personne de son âge n’a parlé euskara dans le village. Chez elle, l’oncle et la mère parlaient en euskara. L’oncle ne voulait parler qu’en euskara et elle dut l’apprendre. Son père ne savait pas l’euskara et elle devait lui traduire. |
SN-007a | A03 | Le curé la salua en euskara et elle répondit. | |
I-056 | B07 | accident | L’accident qu’il eut avec la machine à bois. Ils l’emmenèrent à l’hôpital et il y resta un mois sans parler, sans connaissance. |
I-056 | B09 | guerre: soldat | Localisation des grandes baraques et leurs habitants. Ils avaient des querelles et pour cette raison on les emmenait en prison. |
I-025 | B01 | Argentina | Quand le grand-père était jeune il n’y avait pas décole dans le village et ils ne savaient pas le castillan. A cette époque nombreux sont ceux qui émigrèrent en Argentine. Le grand-père partit, et bien qu’il eût échoué, il a toujours des cousins là-bas. Le père mourut très jeune et ces cousins n’étaient pas sûrs de là où ils étaient. La fois où ils se rendirent au village. |
I-025 | B02 | L’anecdote concernant le mot “itxoin” (attendre). | |
I-046 | A04 | carrière | La carrière de Mezkiritz. A cette époque, il était maire et il se mit à travailler là-bas. Il eut un accident : la poudrière explosa. |
I-046 | A07 | Les maladies et les accidents qu´il a eus. | |
I-047 | A01 | médecine: opération | Il souffre de la hanche et il fut opéré il y a onze ans. Mais la seconde opération est plus délicate encore et ils n´osent pas lui faire subir. |
I-047 | A02 | Guerre | Ceux de son âge au village. Les histoires des uns et des autres. Les souvenirs de guerre. Lui fut envoyé sur le front de Madrid, dans le village appelé Coslada de Barajas. Ils chassaient dans une réserve de chasse abandonnée qui avait appartenu à un marquis. |
I-047 | A04 | mode de vie - faim | Ils achetaient un kilo de raisin entre les trois et ils allaient les manger dans un endroit qu´ils appelaient Kuatropea. Manuel faisait des cuillères et les vendait là-bas. Le jour il travaillait aux champs et la nuit, il fabriquait les cuillères. Ils ont connu le manque. Ils souffrirent également de la faim après la guerre. Pour étoffer le pain, ils rajoutaient des pommes de terre à la pâte. Ils avaient un grand mulet. |
SM-007b | A07 | sorcellerie | Un enfant était tombé malade et le médecin ne savait comment le soigner. Ils dirent à la mère d´aller à Pau, car là-bas se trouvait un bon médecin. Lorsque celui-ci vit l´enfant, il leur dit qu´il ne pouvait le soigner, que c´était à celui qui lui avait fait mal de le soigner. Mais eux ne savaient pas de qui il s´agissait. Le médecin leur dit de voir quelle était la messe à laquelle assistait le plus de monde dans le village, et de jeter dans le bénitier un haricot à sept pois. Celui qui lui a fait mal va commencer à travailler dur et il ne sortira de l´église que lorsqu´il aura fait trois fois trois choses. Ils firent ainsi et une femme fit ce que le médecin avait dit. A la sortie de la messe, cette femme demanda à la mère de l´enfant comment il se portait. La mère ayant répondu que l´enfant n´était pas bien, la femme lui dit qu´elle allait le soigner. Petit à petit, l´enfant guérit. Mais une année plus tard, il lui apparut qu´il fallait recommencer et elle fait la même chose. Le même médecin lui dit que tant qu´à recommencer, elle devait lui lancer une corde en forme de lasso et l´étrangler. La femme fit ainsi et quand elle l´attrapa avec la corde, elle lui dit de soigner son fils si elle ne voulait pas qu´elle l´étrangle sur le champ. Apeurée, elle lui dit qu´elle allait s´exécuter, mais elle en parla au curé. Celui-ci dit à la mère de l´enfant de demander pardon à la "sorcière". La mère se mit très en colère et fut très mal. Il lui semblait qu´elle venait de commettre le plus grave des péchés, sous prétexte de soigner son fils. Finalement, la mère de cet enfant le dit au curé et celui-ci lui répondit que la sorcière était en enfer. Mais la femme ne voulait rien entendre, affirmant qu´elle était bien vivante. Il se trouve que la sorcière était morte cet après-midi là, le jour de la Saint Sébastien. Dans l´église, il y avait sept curés et lorsque le fils de la sorcière demanda un curé parce que sa mère était en train de mourir, personne ne s´était déplacé.. |
SM-001b | A08 | sorcellerie | Les sorcières faisaient aussi du mal aux nouveaux-nés. Sa mère disait que trois de ses enfants étaient morts à cause du mauvais oeil. Un jour, alors qu´ils se trouvaient entre Irurita et Arraioze, trois cochons surgirent sur la route. Ils disparurent à l´endroit où le pont traversait la rivière. Cela commença alors que la fille avait deux mois, on la changeait et bien que le ciel soit clair, elle ruisselait. Cela se produit à de nombreuses reprises. Cela ne se produisait pas lorsqu´on lui faisait la sainte croix avec de l´eau bénite. Finalement, l´enfant eut des attaques du mardi au mercredi et du vendredi au samedi. Pas les autres jours. Le curé de Mezkiritz la vit une fois et le phénomène lui paraissant très étrange, il le raconta au curé d´Irurita. Celui-ci prétendit qu´il fallait lui dire le catéchisme, et c´est ce qu´il fit. L´enfant cessa de ruisseler. Lorsqu´elle était enceinte de cet enfant, elle allait à la messe et, sans le vouloir, elle s´opposait au curé. Une fois, alors qu´elle se confessait à un curé, elle lui confia qu´elle ne supportait pas la présence du curé. Et le curé lui répondit que l´enfant qu´elle portait dans son ventre allait donner beaucoup de travail au diable. |
SM-001b | A09 | mythologie: lamies | La grand-mère racontait qu´à Mezkiritz il y avait des "lamia". Un jour, ils se rendirent au village chercher une sage-femme. Celle-ci fit le travail mais, effrayée, elle ne leur prit rien. Mais un jour qu´ils étaient tous sortis se coiffer, elle prit un peigne et l´emporta chez elle en guise de paiement pour son travail. Les lamia la virent et il y eut toujours quelque chose dans sa maison. |
SM-005a | A07 | Au village il y avait un enfant malade. Pour le soigner, il fallait passer l´enfant à travers un chêne. Pour cela, il fallait fendre un chêne et c´est ce que fit le père de Perpetua. Ils devaient le faire le jour de la Saint Jean avant le lever du soleil. Il fallait pour cela deux boîteux et tous deux s´appelaient Jean. L´un passait l´enfant à l´autre à travers la fente du chêne en disant "To Juan" - disait l´un - "karrak Juan" - disait l´autre - "Biba San Juan" - disaient-ils ensemble, et ils le firent trois fois. L´enfant fut guéri et maintenant il est le père de six enfants. | |
SM-005a | A08 | religion: Saint Jean | Une fois, un matin de Saint Jean, elle alla se rouler nue dans la rosée. C´est ce que faisaient ceux qui avaient la gale. |
SM-005b | A01 | A propos de Trinidad Urtasun : comment elle fit sa connaissance alors qu´il était chez sa tante. Cette nuit là, cela ne lui plut pas. Comment Trinidad lui demanda la première fois de l´épouser. Elle eut six demandes en mariage. Le garçon de Bozate envoya ses parents à sa place parler avec Perpetua. Comment elle décida finalement d´accepter la demande de Trinidad. | |
SM-005b | A02 | accident | Ce qui arriva à Trinidad alors qu´il était en train de vendre du pain : il se rendait à Erratzu quand un carabinier apparut et lui dit de l´emmener à Elizondo. Ils eurent un accident et le capitaine des carabiniers apparut. |
SM-005b | A03 | Trinidad ne pouvait supporter que quiconque pût dire quelque chose contre Dieu et une fois, il intervint dans une dispute entre deux garçons et il leur dit de ne pas dire des choses pareilles. Ce qui arriva alors. | |
SM-005b | A04 | Il y avait des vers, faits par Trinidad, contre les filles d´Irurita. Et Perpetua lui demanda qu´il les brûlat. | |
SM-005b | A05 | Guerre | Pendant la Guerre, elle et Trinidad étaient considérés comme des nationalistes. Ils vendaient du pain à Erratzu quand ils furent arrêtés et interrogés. Ceux qui firent cela étaient de Burgos et ils se rendirent compte que tout ce qu´on avait pu leur raconter sur lui n´était que mensonges, et ils le remirent en liberté. |
SM-005b | A06 | Guerre | L´affaire des boutons : pour avoir eu des boutons, ils lui fermèrent son magasin pendant trois mois. (27.05") L´histoire de "Arriba España" et l´affaire du mulet. (27.50") Trinidad dit à un malade que Julia, la soeur de Perpetua était médecin. (30.05") Ce que Trinidad dit Trinidad quand il fut à l´hôpital pour son oeil et sa jambe. |
SM-006a | A04 | ville | Mezkiritz a changé. Ils sont nés là mais on les prend pour des étrangers. Il prétend que c´est par jalousie. Le problème de l´eau. Perpetua pense la même chose. Ils ne lui ont jamais de bois. Ceux du village les regardent de travers. Une femme du village lui dit qu´au village on la considérait comme folle, qu´il y a de meilleurs écrivains qu´elle et pourquoi elle se mêlait de ce qui ne la regardait pas. |
SM-006a | A06 | école - euskara | Fermin est allé peu à l´école. Le maître frappa un élève avec la règle et l´enfant mourut. Il frappa l´enfant avec la règle sur l´épaule, et il semble que le coeur sortit de sa place. Ce même instituteur frappa un autre garçon et celui-là aussi tomba malade. Le maître était d´Aezkoa et il ne connaissait pas l´orthographe. Ensuite, c´est Don Manuel, le curé, qui fit l´école. Ces deux là n´étaient pas contre l´euskara. Le suivant, Martinez, les punissait lorsqu´ils parlaient en euskara. |
SM-001b | A07 | sorcellerie | Un garçon tomba malade et aucun médecin ne trouvait ce qu´il avait. On conseilla à la mère d´aller à Pau où se trouvait un très bon médecin. Le médecin leur dit qu´il ne pouvait pas lui-même soigner l´enfant, que c´était à celui qui avait provoqué le mal de le soigner. Mais ils ne savaient pas de qui il s´agissait. Pour le savoir, il leur dit de se rendre à la messe qui rassemblait le plus de monde, et de jeter ce jour là dans l´eau bénite un haricot de sept pois. La personne concernée se mettrait alors au travail et elle ne sortirait pas de l´église avant d´avoir fait trois fois trois choses. Ils firent ainsi et une femme fit ce que le médecin avait dit. En sortant de l´église, cette femme demanda à la mère de l´enfant comment se portait celui-ci et lui dit qu´elle le allait le guérir. Petit à petit, l´enfant guérit. Mais au bout d´un an, la sorcière décida qu´elle devait en faire autant et c´est ce qu´elle fit. A ce moment là, le médecin lui dit d´étrangler la femme. La mère lui jeta une corde et alors qu´elle la tenait, elle lui ordonna de soigner son fils si elle ne voulait pas mourir étranglée sur le champ. Elle dit qu´elle allait le faire. Mais la sorcière raconta au curé ce que la femme lui avait fait et celui-ci exigea de la femme qu´elle demandât pardon à la sorcière. La pauvre femme se sentit très mal car, pour sauver son fils, elle avait fait une chose très grave, et elle décida de se confier au curé. Pour la tranquilliser, le curé lui dit que la sorcière était avec le diable, et la femme lui répondit que non, qu´elle était toujours vivante. Et il en était ainsi en effet, mais cet après-midi là, le jour de la Saint Sébastien, la sorcière mourut. Voyant que le fils de la sorcière était très mal, on alla à l´église chercher un curé. Bien qu´ils furent six, personne n´y prêta attention. |
SM-006b | A04 | Son frère tomba dans une cavité à l´âge de dix ans et il mourut. Il avait deux fils et l´un d´eux fut tué par les carabiniers : alors qu´il faisait de la contrebande, ils lui tirèrent quatre balles dans le dos. L´autre fils entra dans les toilettes pour se laver, il tomba en arrière et mourut. Il laissa quatre enfants. | |
SM-009 | A03 | Amérique - voyage | Pour aller en Amérique, ils allèrent en France en train pour prendre le bateau là-bas. Ils passèrent dix jours sur le bateau. Les quatre premiers jours, ils ne sortirent pas de leur cabine à cause du mauvais temps. En Amérique, il alla à New York, car c´est là qu´on leur donnait les billets et les laissez-passer pour les trains. Certains étaient basques. Lui se rendit dans l´Utah. Il y resta deux ans. Il fit le retour en train, en passant par Chicago et Washington, et il fit le voyage seul, il n´y avait plus personne dans les trains. A New York, il descendit du train et se joignit à un agent espagnol. Avec lui il prit le tramway et se rendit dans un hôtel appartenant à des Espagnols. A l´hôtel, il se joignit à trois Français. Ils durent attendre cinq jours avant que les bateaux ne sortent. Ils passèrent douze jours sur le bateau, jusqu´à l´arrivée à Cadiz. De là ils s´en furent à Barcelone, et de Barcelone en train jusqu´à Pampelune. |
SM-009 | A12 | maladie | Il resta un mois aveugle. Ensuite ils l´opérèrent des yeux. Il n´osait pas se faire opérer, mais finalement il le fit. Il s´en porte très bien. Il n´a été que deux fois voir le médecin. Il raconte les deux cas. La première fois, ce fut pour une infection, et la deuxième fois parce qu´un serpent l´avait piqué. Comment le médecin lui retira le venin. |
I-041 | B05 | divers | Elle n´a pas entendu parler de phénomènes étranges ou liés à la sorcellerie qui aient eu lieu dans le village. Durant la guerre, ils prétendirent avoir vu des maquis dans la forêt, mais ils ne passèrent pas par le village. Le médecin Samaniego allait au village. Ses frères naquirent à Pampelune. Sa mère fut malade et on l´emmena à l´hôpital. Avant, de nombreux enfants mouraient. |
I-091a | A02 | mariage - voyage: de noces | Comment elle connut son mari : elle était de Mezkiritz, mais elle partit à Zilbeti comme domestique dans une maison. Inozenzio aussi travaillait dans cette maison. Les deux soeurs d´Inozenzio se marièrent et Felipe, son frère, partit en Amérique : il resta donc tout seul dans la maison de ses parents. Ils se marièrent à Burlata. La soeur d´Inozenzio vivait là-bas et ils firent aussi le repas sur place. Ils allèrent en autobus à Pampelune. Pour leur voyage de noces, ils se rendirent à Donostia-San Sebastian. |
I-091a | A11 | Inozenzio tua une couleuvre avec la faux. | |
I-040 | A01 | Guerre | Durant la guerre, il circula dans toute l´Espagne. Il y resta trois ans, la guerre commença quand il avait vingt ans et avant qu´on ne l´appelle, il se présenta comme volontaire de manière à toucher davantage, le double. Là-bas, ils étaient une douzaine de Basques et ils prenaient un accordéoniste pour eux, et ils passaient ainsi huit jours. A Benicarlo ils avaient un orchestre et ils avaient bal deux jours par semaine. Quand la guerre fut terminée, ils envoyèrent les soixante-dix navarrais aux fêtes de Pampelune. Ils y allèrent en train et y restèrent trois jours. |
I-040 | B03 | divers | Il connaît Mezkiritz mais pas les gens de là-bas. Le jour précédant les fêtes, ils laissaient les vaches sur la montagne Ipete. A A propos de certaines maisons et de certaines personnes du village. A propos de quelqu´un qui est en Amérique. A propos d´un couple qui se maria et eut des enfants déficients. Les mariages entre parents. |
I-040 | B05 | danse | Ils allaient aux fêtes de Zilbeti. Là-bas se rassemblaient de bons danseurs. Ceux d´Orondritz étaient très bons danseurs. Une année, ils organisèrent un championnat de jotas et ils reçurent mille pesetas. |
I-048 | A02 | La raison pour laquelle on appelle le village de Larrasoaña "Puerto Rico" : durant les guerres carlistes, ils volaient l´or aux Français. | |
I-048 | B05 | mariage | A cette époque, les parents préparaient le mariage à leur convenance. Une fois, sa mère se rendit à un mariage à Leazkue. Le fiancé était là et ils amenèrent les deux soeurs. Quand ils lui dirent laquelle il devait épouser, le futur époux déclara qu´il aurait préféré l´autre. A Lesaka, ceux qui appartenaient aux plus grandes familles se mariaient entre eux. C´est ainsi que se produisaient des mélanges de sang. Et par conséquent, les maladies. |
I-048 | B07 | animaux: chouette | A propos d´une fille qui fut institutrice dans le village. Pour elle, il attrapa une chouette. |
I-048 | B08 | animaux: serpent | La belette. Histoire de couleuvres : un homme qui employait des travailleurs les emmenait dans un champ à la limite avec Eugi et, à un endroit, il leur disait de ne pas couper parce que la couleuvre passait par là. Mais l´un d´eux, qui était très courageux, resta à attendre la couleuvre et la tua, mais il mourut de peur. Son beau-père était fabricant de cuillères. Il se trouvait dans un bois de buis, à la limite d´Eugi, quand il vit un serpent qui bougeait et il le suivit. Quand il arriva à un hêtre, le serpent s´enroula autour de l´arbre et l´homme le coupa en quatre à l´aide de sa hache. Une autre fois, il se rendit dans une champignonnière avec son fils aîné. Il vit un serpent sur le sol, à moitié enfoui. Il prit une grosse pierre et quand il lui lança sur la queue, le serpent sortit sa tête de l´autre côté. Heureusement que son fils était à côté de lui. Quand il travaillait là-bas, les patrons étaient de Lantz. Eux donnaient un coup sur la tête des serpents et ensuite les prenaient dans leurs mains. Une fois, un serpent le mordit à la jambe, et comme il était loin du village, il fit une croix avec son couteau pour nettoyer la morsure. |
I-048 | B16 | élevage: bétail | Ils gardaient les animaux dans les bergeries en montagne. Quand ils allaient amener de la nourriture, le chemin était rude. Parfois il leur manquait des brebis. Une fois, quatre hommes partirent chercher des brebis et ils se séparèrent par deux. Ils durent faire avec la neige et la bourrasque. |
I-089 | A04 | contrebande | Quand ils circulaient dans la montagne avec les paquets, il leur arrivait aussi d´avoir mauvais temps. Il circula plus avec le bétail qu´avec les paquets. L´histoire d´un homme : il ne réussit pas avec la marchandise, il s´exila, il se fit guide. Un garde civil commença à se disputer avec un homme de Ziaurriz, celui-ci lui enleva le fusil et le garde civil commença à pleurer. Alors que des chevaux de l´armée étaient en train de passer, en provenance d´Urepel, ils se perdirent et ils commencèrent à leur tirer dessus depuis une maison. C´est cela même qui donna l´alerte et ils commencèrent à leur tirer dessus dans une pinède. Tout cela pour deux duros. Il y avait de nombreux gardes civils, mais ceux-là aussi se vendaient. D´autres fois, les gardes leur enlevaient la marchandise et quand ils dormaient, ils y allaient en catimini et la récupéraient. Ils passaient du nylon, de la dentelle et du café. Il y a toujours eu des espions pour contrôler les gardes. Anecdote à propos d´un chien espion. |
I-089 | A07 | L´homme qui était facteur à Orondritz ne s´aventurait pas à aller seul à Erro après la tombée de la nuit. On lui donna un fusil, mais qui était seulement chargé de poudre. Cet homme avait l´habitude de se rendre à Pampelune avec quelques autres et ils prenaient un plat de morue à l´ail au petit-déjeuner. Un fois, on lui dit d´emporter les restes et il les mit dans son pantalon, avec l´huile et tout. | |
I-091b | A01 | Un homme de Baigorri recueillit des balles dans la zone d´Arrola. Il en trouva deux autres dans la montagne Trona. Il est sûr qu´il y a de l´or près de Luzaide. Les carlistes sortirent une caisse pleine d´or. Tu caches quelque chose sous terre et il te semble que tu te souviendras où tu l´avais laissé, mais la terre est changeante. | |
S-014b | A02 | religion: Vierge | L´histoire de la Vierge. Le 2 juillet, on emmène la Vierge à l´église d´Altsasu pour y célébrer la messe. Ce qu´ils faisaient le jour où la Vierge se déplaçait. Anecdote survenue ce jour là : il tomba. Autres histoires relatives à la Vierge. |
S-014b | A06 | religion | Le chant de la Passion du Christ. Tous les jeunes allaient au Saint Christ apprendre ces chants. Le jour du Vendredi Saint, ils chantaient à l´église. Il y avait des livres qui rassemblaient ces chants. La mort de sa mère accompagnée par ces chants. Son père eut tant de peine qu´il mourut aussi et ils les enterrèrent le même jour. |
I-092 | A01 | croyances | La fin de l´anecdote de Basilio. Nous avons tous des croyances insensées sur tel ou tel sujet. Ceux qui sortaient peu racontaient des choses très étranges et ceux qui sortaient beaucoup en racontaient peu. |
I-092 | A08 | animaux: loup | Là-bas, il y avait aussi des loups. Quand son grand-père avait neuf ans, il laissa le chien de berger se battre avec le loup et il rentra à la maison. Pour les chiens, ils utilisaient des colliers avec des pointes afin que le loup ne les attrapât pas à la gorge. |
I-092 | A11 | maladie - lune | L´influence de la lune sur la pluie, le bois, le bois de construction, etc. Alors que son fils n´avait pas encore ses canines, il avait des vers et ne pouvait même pas ouvrir la bouche. Ils lui mirent de l´huile dans les trous des canines et il put ouvrir la bouche. |
I-092 | A12 | médecin de campagne | Alors que son fils n´avait pas encore ses canines, il avait des vers et ne pouvait même pas ouvrir la bouche. Ils lui mirent de l´huile dans les trous des canines et il put ouvrir la bouche. Il a toujours été sensibilisé aux remèdes des campagnes. |
II-111a | A05 | S´ils jouaient de l´accordéon, le curé ne leur donnait pas la communion. | |
II-111a | A06 | carnaval | Ils allaient faire la quête : le "renard" recueillait les oeufs de maison en maison quand ils allaient faire la quête. Ils font toujours la quête aujourd´hui et ensuite, ils font un repas. Anecdote : Ce qu´ils répondirent au curé quand celui-ci leur dit qu´à l´église aussi ils devraient chanter. Les "masques" sortaient avec le visage couvert ou mal vêtus. |
II-130b | A04 | carnaval - danse: Bolant dantza | Pendant les carnavals, on faisait les "Bolant dantzak" et les "masques". Certains avec le visage couvert, d´autres habillés en femmes, d´autres déguisés en animaux. Il y avait aussi deux "gorri" (rouges) et deux "bandelari" (porte-drapeaux). Actuellement, les "Bolant dantzak" se font à Pâques. Il dansa après être revenu de la guerre, comme "gorri" et comme "bolante". Les "zapurrak" : ils vont avec les haches devant les "bolante", les "zaldiko", les géants. "Atso eta tupinak" (vieilles femmes et marmites) : l´un était habillé en femme et l´autre portait une peau sur le dos et un béret couvert d´aubépine. Sur la place, on devait lui retirer son béret. (19.12") Comment ils faisaient le spectacle en essayant d´attraper le béret. D´abord, les danseurs interviennent et ensuite le roulement de tambour indique le début de cette partie du jeu. |
II-130b | A05 | coutumes: Galar hotsak | "Galar hotsak" : si un homme veuf se remariait avec une autre femme, les jeunes commençaient le scandale. Anecdote. (26.30") Anecdote à propos de Martin. Ils allaient la nuit, sous la fenêtre de celui qui s´était marié une seconde fois et là commençaient le vacarme et les tirs. Anecdote. |
SC-002c | A01 | vol - assassinat | L´histoire de l´hiver 1952 : le berger Intxauspe fut tué et on ne retrouva pas les assassins. Les gens croyaient que son patron l´avait tué, car on pensait qu´il avait une relation avec sa femme. Quelqu´un savait que l´un de ses bergers avait de l´argent dans sa bourse et il lui vola, mais lui, il le laissa tranquille. Les enquêteurs tentèrent de relier cela avec le malfaiteur de la première affaire, essayant ainsi de couvrir l´assassin. Aucune des deux affaires ne fut élucidée. |
SC-002c | A02 | accident | En décembre 1963, deux neveux et l´épouse de l´un d´eux perdirent la vie. Alors qu´ils rentraient du mariage de l´un des neveux, un camion dut griller un stop et, des trois qui se trouvaient dans la voiture, seule l´enfant survécut quand ils s´encastrèrent sous le camion, sans doute parce qu´elle était couchée. Les nouveaux mariés, ainsi qu´un autre couple se trouvaient dans la voiture de derrière, et ceux-là furent précipités contre le camion. C´est ainsi que le neveu qui venait de se marier, mourut lui aussi. Juan Cruz et son épouse prirent en charge la petite fille qui survécut. |
IR-014b | A05 | femmes | Tomasa resta célibataire et ils parlent d´elle. Quand elle était jeune, elle partit travailler à l´extérieur. Beaucoup de femmes de là-bas partaient comme bergères. Histoires d´autres femmes. |
IR-014b | A02 | fêtes | Lorsque les cloches de nuit sonnaient, ils devaient rentrer à la maison, avant la tombée de la nuit. Quand ils avaient vingt-deux ans, le père ne les laissa pas aller à la fête. Une autre fois, ils préparèrent tout et ils s´échappèrent en courant à la fête. Dans le village, il y avait de la musique tous les jours. Des garçons venaient chez elle et ils dansaient avec eux devant les parents. |
IR-014b | A01 | sorcières | Autrefois, ils vivaient dans la maison Iturburu et à présent ils vivent dans la maison Mendia. Ils s´installèrent à Mendia quand Lorenza se maria avec Emilio Arrese. Son père était très blagueur. Ils racontent des histoires de sorcières que racontait son père. Les sorcières se réunissaient sur le mont Pettiriberro que est là-bas. Une femme alla demander au curé si le sorcières existaient et à quoi elles ressemblaient, et il lui répondit qu´elles étaient comme elle. |
II-033b | A07 | contrebande | Ils passaient aussi de la laine en contrebande. Eux ne faisaient pas de contrebande, il y avait des hommes précis pour cela. Eux prenaient du pain. |
II-033b | A08 | métiers: pâturage - métiers: pâturage (future) | Cette zone de montagne a beaucoup changé. Maintenant il y a des chemins et il est facile d´arriver. Anecdote. Comment ils faisaient les voyages en haut et en bas. Ils dormaient à côté du mulet. (46.50") Aurevoir. |
II-033b | A02 | métiers: pâturage - temps: neige | Quand il neigeait il rentrait les brebis, mais même ainsi, ces brebis avaient besoin de sortir, même pour un temps très court et même s´il y avait de la neige. Anecdote : l´hiver le plus dur. |
II-034a | A01 | Guerre | Présentation : il participa à la guerre de 1940. Ils le firent prisonnier et il connut de nombreux pays. (02.45") Très vite ils les emmenèrent prisonniers. Une centaine d´hommes partit en Suisse avec trois cents chevaux. Ensuite ils passèrent en Pologne. Ils étaient trois mille hommes avec un seul commandant. L´achat de nourriture. La neige. Ils furent aussi en Russie. (17:45") Ils passèrent sept jours dans le bateau en route pour la Turquie. Là ils obtinrent des cigarettes. Quand ils retournèrent à Marseille ils furent libérés, les Allemands s´étaient déjà retirés. Ils laissèrent les chevaux en Allemagne, ensuite ils faisaient les voyages à pied. Les gens de ces pays. Le voyage sur le bateau. Ils se douchèrent et se lavèrent, car ils étaient pleins de poux. (24.25") La neige et les montagnes. |
SD-008a | A01 | Guerre | Il entra au couvent en 1955 avec cinquante enfants. Quand il était jeune, il travailla dans un élevage de vaches jusqu´à l´âge de quinze ans. Il portait tous les jours douze litres de lait au ministre Romanones, car en été il vivait dans le palais d´Oiartzun. A quinze ans, il commença à travailler à la fabrique de papier. Ensuite, il fut soldat en Afrique. C´est alors qu´éclata la guerre. Avant la guerre d´Espagne, il continuait à travailler à la fabrique de papier. Puis la guerre débuta et ils le renvoyèrent chez lui. Il s´unit aux Basques car, et lorsqu´ils entrèrent dans le village, ils s´échappèrent. Comment ils partirent et où ils allèrent. Il arriva à Hondarribia, mais là ils l´emprisonnèrent. Un ami devait connaître quelqu´un et il sortit libre. Ils allèrent à Irun et là, ils placèrent l´ikurrina (le drapeau basque) sur la porte du couvent des capucins et ils restèrent. Quelques anecdotes. Quand les troupes pénétrèrent à Hondarribia, ils voyaient Irun en flammes et dans leur tentative pour passer de l´autre côté, ils allèrent à Hendaye. Cette fois, ils se rendirent chez ceux qui, au cours de la précédente guerre, avaient fui la France pour se réfugier chez eux. Anecdote de quand il se rendit à Lourdes. Quand il revint en bateau, il arriva à Bilbao et resta chez un ami. Ensuite il s´engagea et se retrouva sur le front de Lekeitio. |
X-011a | A05 | travail: du montagne | Felipe vécut très mal dans la montagne. Il lui arriva souvent de pleurer. Anecdote triste. |
II-064a | A03 | chasse - accident | L´accident qui survint du côté de Garazi. Un cousin tomba et se tua. Dans sa région aussi, un accident eut lieu. Un homme tomba, l´arme tira et atteignit le propriétaire, même s´il le tua pas. (35:00") Maintenant il faut aller de plus en plus haut pour voir des palombes. (38:44") Remerciements. (39:30") Chant. (43:15") Aurevoir. |
II-069a | A03 | service militaire | Il se maria avant la guerre. Ceux qui avaient fait leur service militaire devaient répondre à la mobilisation générale. Ce qu´ils apprenaient au service militaire. La nuit, il devait surveiller le gaz et le jour, il allait de maison en maison relever l´électricité et le gaz. Du service militaire, il rentra à la maison. Ensuite, son autre frère partit soldat en Algérie. Anecdote. |
II-069a | A04 | Guerre | En 1939, il partit à la guerre. Il partit en train à Calais. Ils le firent prisonnier au début de la guerre. Les Allemands emmenèrent un grand groupe en Belgique et là il connut Mitterrand. (28:02") Mitterrand était alors sergent. Il avait dix ans de moins que lui. Il passa une quinzaine de jours avec lui. (Ce dont ils parlèrent, il le raconte en français). Après ces quinze jours, il prit le train. Mitterrand ne voulut pas le prendre. Il resta quatre ans et demi dans la maison de paysans d´Allemagne. Ensuite, il résida dans une autre maison. (41:52") Anecdote : les Russes le libérèrent en 1945. (45:00") Aurevoir. |
IC-002a | A02 | service militaire | Au moment d´effectuer le service militaire, ils étaient huit amis et quatre durent partir. Il faisait partie de ceux-là, mais ils le libérèrent. Il paya pour obtenir cela. |
PP-033 | A02 | mode de vie | Quelques anecdotes à propos d´un homme qui était très amusant. Histoires de jeunesse. Les familles de cette époque étaient plus nombreuses. Anecdotes. Réparation du toit de la maison. Autres anecdotes au sujet de son père qui était charbonnier. (18:30") Histoires de l´époque de la guerre. |
PP-033 | A03 | divers | Sur la famille. Les frères et soeurs. Antonio se rendit à Errementenea comme domestique et il se maria avec une fille qui grandit avec cette famille. Ils opérèrent la femme et après être revenue à la maison, elle tomba dans les toilettes et mourut. Histoires de Feliziano, Emiliano, Hilario et leurs femmes et anecdotes sur le travail. Le plus jeune frère alla au séminaireà l´âge de vingt et un ans. Anecdotes du séminaire. |
PP-033 | B01 | divers | Sa mère vint comme servante à sept ans. La maîtresse de la maison où elle se trouvait attrapa la gangrène dans une jambe et quand ils lui dirent qu´il faudrait l´amputer, elle dit qu´elle préférait mourir. Cette femme mourut et sa mère eut à s´occuper de ses dix enfants. Elle resta dans cette maison jusqu´à ce qu´elle se marie à dix-neuf ans. Les parents de son mari avaient un domestique et une servante, mais au lieu de les aider, ils se comportèrent très mal et ne leur laissèrent rien. Davantage d´histoires au sujet de la famille. Les oncles partirent en Amérique en 1930. Comme la guerre arrivait, ils voulurent emmener leurs neveux avec eux. Mais ils ne voulurent pas laisser les parents tout seuls et l´un d´eux resta ici. Anecdotes au sujet de la famille d´ici et celle de là-bas. Les maris et les femmes des frères et soeurs. |
II-100a | A01 | Guerre: Algérie | Présentation : la guerre d´Algérie, 1954-1962. Des hommes du Pays basque y sont allés aussi. (02:15") Il avait vingt et un ans. Il partit à la guerre combattre les mauvaises actions, sans que soit jamais prononcé le mot guerre. Histoires de morts et de femmes violées. En 1956, ils descendirent du bateau. Ensuite, on les mit dans le train. L´ambiance qu´ils trouvèrent en se réveillant après avoir passé la nuit. Finalement, ils arrivèrent dans un coin de montagne et là on leur donna les armes. Anecdotes. (32:20") Anecdotes. (46:15") Aurevoir. |
SC-007a | A03 | En discutant avec Pedro Juan Etxamendi : la petite histoire du fromage qui rendait muet. L´histoire de la grand-mère à qui ils firent croire qu´elle parlait au téléphone avec son défunt mari. Une histoire des instruments de chasse de Beñardo Lakosta. | |
SC-011c | A01 | Amérique - métiers: police | Il eut des problèmes avec les papiers. La police vint le chercher chez lui et il passa la nuit au commissariat. A huit heures du matin ils l´appelèrent et voulurent l´emmener à l´aéroport mais il réussit à rester là-bas. Il se maria pour obtenir les papiers. Une fois marié avec une femme de là-bas, il devenait résident. |
I-055 | A08 | vol | Le lundi saint à la mi-journée la maison de retraite de Gerendiain fut cambriolée. Comme ils étaient en travaux, la porte de derrière était ouverte, il prit l´ascenseur du coin et monta au deuxième étage quand les femmes étaient toutes en train de manger à l´étage du bas et il entra dans les chambres. Ce devait être un homme habillé en curé. Il avait dû y aller déjà trois fois, prétendant qu´il venait d´un endroit pauvre. Histoires de voleurs. Il y avait des voleurs aussi à Beruete. Les gitans avaient une réputation de voleurs de poules. |
SD-001b | A03 | divers | A Albisturrenea, la famille vivait sans hommes. A propos de cette famille. A propos des hommes qui passèrent par cette maison. A propos d´un homme qui mourut dans la cabane et ses obsèques. |
D-072 | A01 | contrebande | Ils faisaient de la contrebande dans la zone de la Bidassoa. Anecdotes. Pour traverser la rivière Bidassoa, ils enlevaient leurs vêtements et se les attachaient au cou. |
D-012 | A05 | divers - temps: inondations | Sa soeur ouvrit le salon de coiffure et elle alla à Tolosa l´aider. L´autre soeur tenait un bar et elle resta là ensuite pendant onze ans. Après la guerre, il y eut des inondations à Tolosa et ils emmenèrent aussi les animaux. Les maisons où ils ont vécu. |
D-012 | A01 | école | Un jour où il ne pleuvait pas, elle dit à sa mère qu´elle devait aller à l´école en espadrilles. Ensuite il commença à neiger et pour ne pas abîmer les espadrilles, elle y alla pieds nus. L´époque de l´école. Quand elle fit la communion, elle apprit des prières et reçut des cadeaux. Elle quitta l´école à douze ans. Alors qu´elle avait onze ans, elle alla à Urnieta chez son oncle et sa tante et de là elle allait à l´école à Hernani. Ensuite, elle revint à la ferme. Les travaux sur place. La chaux se faisait aussi dans la montagne. |
D-012 | A04 | croyances: apparitions | Quand elle avait huit ans, la Vierge lui apparut. |
SM-001a | A04 | mûlatresse | Les mûlatresses sont le fruit de relations entre biscayens et mûlatresses. A propos de la maison "Soroa". Un homme qui fut avec lui à Burgos comme soldat. |
SM-001a | A02 | religion - Cuba | Un tableau de la Maison des Assemblées et de l´arbre de Gernika au musée de la magie et de la superstition. Il existe quelque 50 religions différentes là-bas. Lui n´a jamais été superstitieux. Il y avait trois églises ouvertes mais il n´y avait pas beaucoup de monde. A Cuba, il y a eu peu de catholicisme. |
II-110b | A05 | prison: prisonniere | (36:55") Sa soeur fut arrêtée à dix-neuf ans. D´abord elle fut à Bilbao, puis à Zornotza. A l´époque il fallait faire attention en politique et ils ont toujours été nationalistes. Ils l´accusèrent d´avoir déchiré un drapeau espagnol. Il avait onze ans quand il allait voir sa soeur en prison. Ils la voyaient à un mètre et demi de distance pendant une demi-heure, et à nouveau à la maison. Cela fut très dur. Après être restée deux ans, ils la firent passer en Conseil de guerre et elle dut accomplir une peine de quatre ans. Ensuite, elle dut rester dans une maison à Bilbao et elle devait demander l´autorisation pour passer Noel en famille. (43:05") Musique et aurevoir. |
II-123a | A03 | alimentation: champignons | C´est sous les châtaigniers qu´il a rencontré le plus de champignons. (20:55") Avant, en octobre on les ramassait pour la maison, et à présent en toutes saisons il y a toujours des gens qui cherchent les champignons. Les champignons sortent du matin au soir. Ils fleurissent sur la partie supérieure, et non sur le tronc. (28:24") Ce qui arriva avec la bicyclette. Anecdotes à propos des champignons. |
SK-001a | A01 | accident | Azkue tomba dans la rivière et un jeune homme le sortit de là. C´était un jour où il faisait froid mais il n´y avait pas de vent. L´homme pense que peut-être, il s´était approché parce qu´il avait besoin d´uriner et qu´il était tombé ainsi. L´eau qu´il avala à ce moment là provoqua une infection qui lui coûta la vie. |
SS-002b | A02 | métiers: musicien - religion: Sainte Agathe | La musique et le bal d’Urdiain disparurent quand vint le mouvement. Il se maria en 1932 et déjà le bal était fermé. Au bal, les garçons étaient d’un côté et les filles de l’autre. Après la guerre, German avait coutume de jouer du txistu sur la place, c’est ainsi qu’après la guerre on continua à jouer du txistu sur la place. (12:45") Pasodoble. (13:22") Les joueurs de tambourins étaient deux garçons et deux filles d’une quinzaine d’années et ils changeaient chaque année. (14:05") A la Sainte Agathe, on élisait deux majordomes ou rois, et ceux-ci choisissaient à leur tour les filles. La veille des rois, ils se tiraient les cartes pour élire les rois. Les joueurs de tambourins allaient demander dans les maisons où il y avait des garçons. (15:40") Les accordéonistes du village. Comment il commença à jouer de l’accordéon. IL y avait aussi des guitares dans le village. Des petites troupes de musiciens sortaient aussi pour des occasions particulières. La bande du bistrot commença à amener un piano mécanique à la Sainte Agathe. Ils amenèrent aussi les fameux accordéonistes Irisas et Jaunsaras. A l’époque de la guerre, toutes ces choses furent gelées. (26:25") Anecdote de la Sainte Agathe. Le souper de la veille : soupe, charcuterie, dessert... le repas du lendemain : soupe, potage, veau... Ils fêtaient aussi la “petite journée” de la Sainte Agathe. |
II-146a | A03 | divers | Il a écrit une centaine de vers. Ce sont ses amis qui l’ont découvert, lui écrivait pour lui-même. Il est triste que les jeunes ne sachent pas l’euskara, ni rien du Pays basque, mais plus triste encore que les adultes n’aient pour tout cela aucun intérêt. Pour lui, cela vaut la peine d’essayer de faire quelque chose. Les premiers vers qu’il sortit : il fit dix vers pour expliquer leur vie quand ils étaient prisonniers à Miranda. Il raconte comment ils sortirent. |
SD-008b | A01 | Guerre | Il vit d’abord le front de Lekeitio. Après avoir passé la semaine sainte à Gernika, ils montèrent à Elgeta ; anecdotes du front : histoire de la croix qu’il acheta à Lourdes en 1934. (09:40”) Ils sortirent d’Elgeta et virent le bombardement de Gernika depuis le Fors. Le temps de commencer à déjeuner et en deux heures tout était détruit. De là ils partirent en Cantabrie ; événements. Ils se joignirent aux Italiens; (21:10”) Il fut prisonnier à Burgos. Ils lui enlevèrent jusqu’à la croix. Ils déposèrent. Pour lui, ce ne fut pas une situation difficile. Là, on ne tuait pas les gens et ils avaient des messes. Après être restés là cinq mois, ils les emmenèrent travailler dans une carrière d’Altsasu. Ils dormaient dans le dépôt de la gare. Ses deux frères lui rendirent visite et lui apprirent que leur mère était morte. Ensuite, on les emmena en Aragon et à Teruel pour travailler sur la voie ferrée. Sur place ils furent blessés. |
II-132b | A03 | vers | Quand ils le traitèrent de misérable, Larramendi répondit. Quelques anecdotes. (34:47") Vers de Larramendi, chantés par Anjel Aintziburu. (40:23") Aurevoir. |
II-135b | A02 | Aberri eguna | (11:24") Le premier Aberri Eguna : Après la messe, ils plantèrent l’arbre. (17:35") Anecdote : ils utilisaient des matraques pour se défendre. (20:05") Il n’était pas difficile d’aller à l’Aberri Eguna, il y eut ce jour là des gens de tout le Pays basque. Comment il apprit que cela aurait lieu à Itsasu/Itxassou. Comment ils communiquaient. Anecdotes. |
IR-014a | A03 | métiers: artisan | |
IR-004 | A03 | ||
IR-020 | A07 | ||
N-001 | A06 | En hiver, à cause de la neige, il était difficile de donner à manger au bétail qui était dans les bergeries. Elle a toujours beaucoup aimé les animaux, mais quand ils sont grands elle ne les aime pas autant. Quand elle allait au rosaire, l’agneau, le chevreau et le petit chien de la maison la suivaient. Une fois, ils avaient un cochon à la maison et elle lui donnait à manger. Le jour où ils s’apprêtaient à le tuer, le cochon ne voulait pas sortir et ils l’appelèrent pour qu’elle fasse sortir le cochon. La locutrice entra et, suivant sa voix qui disait “viens, viens”, le cochon sortit. Quand il sortit, les hommes qui attendaient dehors l’attrapèrent et le tuèrent. Elle n’est toujours pas parvenue à s’en consoler. | |
N-030 | A06 | (L’enregistrement présente des coupures, ce qui explique que les phrases restent inachevées à plusieurs reprises). Les discussions dans le couple. “Fâchés le jour, en paix la nuit”. Un baztanais avait une fille à Donostia-San Sebastian, et une fois il alla lui rendre visite. Il demanda où vivait la fille et on lui répondit : un peu plus bas à San Sebastian. Chaque fois qu’il demandait, on lui répondait : “plus bas”. Ainsi il arriva à la plage, et se demanda : “Y a t’il un village encore plus bas que San Sebastian ?”. |