Guerre [57 resultados]
Document | Fragment | Otros temas del fragmento | Sumario |
D-064 | A01 | Souvenirs du début de la guerre. | |
D-067 | A02 | Il s’en fut à la guerre comme soldat et eut de la chance car il en revint sain et sauf. | |
I-030 | A03 | Sur les quatre frères, un se libéra de la guerre. | |
I-030 | B07 | Durant la guerre il n’y avait personne pour travailler dans les maisons. Aurevoir. | |
I-057a | A09 | Le bascophones qui se trouvent là et aux alentours.A propos des enregistrements qu’ils ont faits.Quand il était à la guerre il avait des difficultés à comprendre les biscayens. Il fut soldat à Ceuta et Tetuan. Il partit en septembre 1938. Il fut en première ligne. | |
I-095b | B19 | Où ils résidèrent durant la guerre. | |
A04 | contrebande | Durant la guerre, ils travaillaient aussi de nuit. Il y avait plus de travail parce que ceux d’Orbaitzeta aussi allaient là. La nuit ils faisaient aussi un peu de contrebande. | |
IR-005 | B08 | faim | A l’époque de la guerre ils connurent la famine durant trois ans. On leur donnait du pain rationné. Elle a eu une vie difficile. Mais le plus dur fut l’époque de la guerre. Des soldats vivaient dans le village et ils travaillèrent aussi pour eux. |
IR-011a | A07 | Durant la guerre on vivait avec ce qu’on récoltait chez soi. | |
IR-016 | A05 | Comme son père mourut quand il avait quatre ans, ils préparaient les papiers pour qu’il n’aille pas au service militaire mais la guerre ne respecte rien et il dut y aller. Il apprit à se défendre lui-même. Il fut à Santander, Teruel et Castellon de la Plana. | |
IR-016 | A06 | anecdote | Anecdote. Ils lui concédèrent un permis de dix jours pour aller à Donostia-San Sebastian et là-bas il y avait un casino pour les riches. Là un homme lui montra une salle où quelqu’un pouvait se suicider s’il le voulait après avoir tout perdu, plus haut une corde pour se pendre et enfin un endroit pour qui voudrait sauter. Ils le payaient deux pesetas et demi par jour, ils avaient de la musique après manger et un laisser-passer pour assister à tous les spectacles gratuitement. |
IR-018 | A05 | Il fut soldat à Madrid au bataillon de télégraphistes. Là il devint aussi sergent de l’armée. Il partit à Tetuan. Souvent il lui arriva d’aller avec Franco. Eux ne pouvaient pas se protéger, car étant télégraphistes, ils devaient tout voir pour pouvoir le raconter. Il participa à la guerre de l’Espagne contre le Maroc. Même s’ils avaient peur, il fallait s’accoutumer à tout. Il n’a pas de bons souvenirs à raconter. | |
IR-018 | A08 | métiers: télégraphiste | Les dernières opérations de la fin de la guerre se produisirent à Melilla. Un autre lui demanda de le laisser partir. Et ainsi il se libéra. Ensuite vint le temps d’être libéré. Même si on leur demanda, ils ne restèrent pas davantage. Ils l’avaient très mal vécu. En tant que télégraphiste, il avait beaucoup de responsabilités. Ils avaient toujours les charges les plus importantes. |
IR-021 | A02 | Durant la guerre il travailla dans un parc d’ingénieurs à Donostia-San Sebastian. Il était maréchal-ferrant, mais il n’y avait pas grand chose à faire. C’est lui qui organisait. Il y resta trois ans et revint à vingt huit ans. Chaque fois qu’il le souhaitait il allait à la maison voir la famille, sa femme et son fils.Il réussit l’examen de maréchal-ferrant et pouvait devenir maître. Quand il en eut assez d’être à Donostia-San Sebastian, il partit à Lleida. Ensuite il alla à Guadalajara. Finalement, il savait quelque chose et pour qu’il ne le dise pas, ils l’envoyèrent à la maison comme malade. | |
IR-023a | A01 | mode de vie - divers | Son nom et celui de la maison. Ils ont changé le repas du soir et la façon de danser. Ce qu’ils mangèrent ce soir là. Il débuta comme berger à six ans et ensuite travailla à Irati. Il travailla comme muletier avec six mulets transportant du charbon. Il fut trois ans à la guerre en Espagne, à Ceuta et Tetuán. Il fut aussi à Madrid. Il avait des taureaux et à la demande du gouvernement il alla à Madrid avec eux et y resta un an. Quand il rentra de la guerre, il se maria et se fit une maison et une bergerie. Il a été aussi à Paris. |
M-009 | A03 | Il fut en Afrique pendant la guerre. Ils payèrent sept mille pesetas pour qu’il rentre à la maison et trouver un remplaçant. Quand les papiers lui permettant de rentrer à la maison lui parvinrent, ce fut le plus beau jour de sa vie. Il passa trois jours dans un train de marchandise parti d’Algeciras et arriva de nuit à Pampelune. Il la peur et la joie qu’il donna à ses parents. | |
M-010 | A01 | anecdote | A la guerre il récitait le rosaire tous les jours avec ses amis. Le curé en fut informé et il le laissa réciter le rosaire à la messe. Par la suite, le curé le fait à six heures et lui à huit heures, et lui, à la différence du curé, remplissait l’église. Pour tout cela ils lui donnèrent une récompense : il alla à San Sebastian un mois, tout payé. Mais en plus de cela, un soir il dîna juste à côté du général Franco. |
N-068 | A04 | anecdote - euskara | Il resta trois ans à la guerre. Il partit au Maroc et en Espagne; On ne pouvait pas parler en euskara sous peine d’aller en prison. Ils accueillirent dans le village Don Salvador Napal et il disait aux femmes - car il n’y avait pas d’hommes - que parler en euskara était un péché. Et toutes pleuraient parce qu’elles ne savaient pas d’autre langue. |
N-072 | B03 | anecdote | Ses deux frères furent volontaires à la guerre. Ceux qui partirent ensemble du village moururent tous. Dans le village même les filles étaient habillées en phalangistes. Lui partit à Azkoitia. Ce qui se passa là-bas avec l’infirmière et le sergent. Les Marguerites. |
N-072 | B04 | anecdote | Le sanctuaire de Loiola fut rempli de bombes. L’anecdote du jeune qui se préparait à être curé. |
N-072 | B05 | anecdote | Quand commencèrent les tirs au-dessus d’Eskoriatza, il les envoyèrent à la montagne. Il reçut une balle alors qu’il portait les bombes. Ils l’envoyèrent à l’hôpital. |
PP-009 | B24 | anecdote | Son grand-père fut à la guerre. Il y eut une loi qui disait que s’il était marié avant dix-huit ans, il n’irait pas à la guerre. Anecdote. |
I-016b | A01 | anecdote | Histoires de l’époque où il était soldat. Il fut envoyé ici et là : Huesca, Andalousie, Bilbao… Il partit quand il avait dix huit ans et il revint à l’âge de vingt-cinq ans. Qui faisait les travaux de la maison pendant ce temps. (6.30")Comment et quand ils furent à Teruel en 1937. Là-bas étaient les bataillons internationaux. De Teruel beaucoup de gens partit en France. Anecdote à propos de Gartziandia. |
I-050 | A02 | anecdote | L’homme resta à la guerre. Chez lui, sa soeur faisait les travaux, elle était mariée et vivait là. Quelques anecdotes relatives à l’époque où il était à la guerre. |
I-005 | A03 | Ils partirent à la guerre, à Tolosa, en tant que volontaires. Les deux autres frères y allèrent et lui se libéra. Le travail qu’ils effectuaient à la maison durant cette période de guerre. Dans le secteur montagnard, l’influence de la guerre ne fut pas aussi dure que dans la Ribera. | |
I-056 | A07 | Durant la guerre, ils se servirent de son camion comme d’une ambulance. Les blessés qu’il emmena à l’hôpital militaire de Pampelune. Au sujet de quelques personnes. Comment ils réquisitionnèrent son camion : ils l’appelèrent au téléphone en lui disant de se présenter à Pampelune avec le camion et qu’il prévienne les autres chauffeurs de camion du village. A ce moment là, peu de gens avaient le permis de conduire. D’abord il fut à Behobia, à Jaca en tant que soldat, à Guadalajara, à Madrid, à Lérida, à Balaguer, à Barcelone et pour finir à Madrid. Ils avaient des permissions pour rentrer chez eux. Ils perdirent Huesca et Teruel plusieurs fois. Dans les maisons, c’était les femmes qui faisaient tous les travaux en plus de faire des tricots pour ceux du front. Sept hommes d’Olague moururent. | |
I-046 | A03 | L´histoire de l´un de ses frères : il fut blessé trois fois à la guerre. A propos de sa vie. Lui passa onze mois à la guerre, mais sans être envoyé au front. Ils montaient la garde à Sorogain. | |
I-047 | A02 | anecdote | Ceux de son âge au village. Les histoires des uns et des autres. Les souvenirs de guerre. Lui fut envoyé sur le front de Madrid, dans le village appelé Coslada de Barajas. Ils chassaient dans une réserve de chasse abandonnée qui avait appartenu à un marquis. |
SM-005b | A05 | anecdote | Pendant la Guerre, elle et Trinidad étaient considérés comme des nationalistes. Ils vendaient du pain à Erratzu quand ils furent arrêtés et interrogés. Ceux qui firent cela étaient de Burgos et ils se rendirent compte que tout ce qu´on avait pu leur raconter sur lui n´était que mensonges, et ils le remirent en liberté. |
SM-005b | A06 | anecdote | L´affaire des boutons : pour avoir eu des boutons, ils lui fermèrent son magasin pendant trois mois. (27.05") L´histoire de "Arriba España" et l´affaire du mulet. (27.50") Trinidad dit à un malade que Julia, la soeur de Perpetua était médecin. (30.05") Ce que Trinidad dit Trinidad quand il fut à l´hôpital pour son oeil et sa jambe. |
I-040 | A01 | anecdote | Durant la guerre, il circula dans toute l´Espagne. Il y resta trois ans, la guerre commença quand il avait vingt ans et avant qu´on ne l´appelle, il se présenta comme volontaire de manière à toucher davantage, le double. Là-bas, ils étaient une douzaine de Basques et ils prenaient un accordéoniste pour eux, et ils passaient ainsi huit jours. A Benicarlo ils avaient un orchestre et ils avaient bal deux jours par semaine. Quand la guerre fut terminée, ils envoyèrent les soixante-dix navarrais aux fêtes de Pampelune. Ils y allèrent en train et y restèrent trois jours. |
II-034a | A01 | anecdote | Présentation : il participa à la guerre de 1940. Ils le firent prisonnier et il connut de nombreux pays. (02.45") Très vite ils les emmenèrent prisonniers. Une centaine d´hommes partit en Suisse avec trois cents chevaux. Ensuite ils passèrent en Pologne. Ils étaient trois mille hommes avec un seul commandant. L´achat de nourriture. La neige. Ils furent aussi en Russie. (17:45") Ils passèrent sept jours dans le bateau en route pour la Turquie. Là ils obtinrent des cigarettes. Quand ils retournèrent à Marseille ils furent libérés, les Allemands s´étaient déjà retirés. Ils laissèrent les chevaux en Allemagne, ensuite ils faisaient les voyages à pied. Les gens de ces pays. Le voyage sur le bateau. Ils se douchèrent et se lavèrent, car ils étaient pleins de poux. (24.25") La neige et les montagnes. |
II-034a | A02 | métiers: pâtre | Quand il fut prisonnier en Allemagne, il fut berger pendant un an et demi. Ils savaient qu´il était berger et c´est pour cela qu´ils le choisirent. Les vaches et les brebis étaient à l´intérieur et elles sortaient en avril. |
II-034a | A03 | (36:43") Il a oublié facilement les souvenirs, bien que certaines choses ne soient pas faciles à oublier. La façon de faire la guerre a changé. Ce qu´il n´oubliera jamais, c´est la misère des habitants de la Pologne. Ici il n´y avait pas autant de misère, ici on mangeait du pain blanc. (43:00") Quand il rentra, il travailla comme berger, il n´alla pas au col. Il passa quatre hivers sur place. (46:50") Aurevoir. | |
SD-008a | A01 | anecdote | Il entra au couvent en 1955 avec cinquante enfants. Quand il était jeune, il travailla dans un élevage de vaches jusqu´à l´âge de quinze ans. Il portait tous les jours douze litres de lait au ministre Romanones, car en été il vivait dans le palais d´Oiartzun. A quinze ans, il commença à travailler à la fabrique de papier. Ensuite, il fut soldat en Afrique. C´est alors qu´éclata la guerre. Avant la guerre d´Espagne, il continuait à travailler à la fabrique de papier. Puis la guerre débuta et ils le renvoyèrent chez lui. Il s´unit aux Basques car, et lorsqu´ils entrèrent dans le village, ils s´échappèrent. Comment ils partirent et où ils allèrent. Il arriva à Hondarribia, mais là ils l´emprisonnèrent. Un ami devait connaître quelqu´un et il sortit libre. Ils allèrent à Irun et là, ils placèrent l´ikurrina (le drapeau basque) sur la porte du couvent des capucins et ils restèrent. Quelques anecdotes. Quand les troupes pénétrèrent à Hondarribia, ils voyaient Irun en flammes et dans leur tentative pour passer de l´autre côté, ils allèrent à Hendaye. Cette fois, ils se rendirent chez ceux qui, au cours de la précédente guerre, avaient fui la France pour se réfugier chez eux. Anecdote de quand il se rendit à Lourdes. Quand il revint en bateau, il arriva à Bilbao et resta chez un ami. Ensuite il s´engagea et se retrouva sur le front de Lekeitio. |
X-011a | A03 | Souvenirs de l´époque de la guerre : Manuel : Ils allaient à la ferme d´à côté passer la nuit. Les deux hommes passaient la nuit à la porte à faire le guet avec les fourches et les outils. Le lendemain matin ils repartaient chez eux. Ils avaient peur, mais ils ne souffraient pas de la faim. Etant dans une ferme, il y avait toujours quelque chose; Felipe naquit à Sunbilla en 1932 et il avait quatre ans quand éclata la guerre. Ils coupèrent les arbres et les utilisèrent pour couper la route. Ils se trouvèrent dans le besoin, mais ils n´eurent pas faim. | |
II-069a | A04 | anecdote | En 1939, il partit à la guerre. Il partit en train à Calais. Ils le firent prisonnier au début de la guerre. Les Allemands emmenèrent un grand groupe en Belgique et là il connut Mitterrand. (28:02") Mitterrand était alors sergent. Il avait dix ans de moins que lui. Il passa une quinzaine de jours avec lui. (Ce dont ils parlèrent, il le raconte en français). Après ces quinze jours, il prit le train. Mitterrand ne voulut pas le prendre. Il resta quatre ans et demi dans la maison de paysans d´Allemagne. Ensuite, il résida dans une autre maison. (41:52") Anecdote : les Russes le libérèrent en 1945. (45:00") Aurevoir. |
II-069b | A01 | Présentation. Un an après s´être marié, il partit à la guerre. Son premier fils naquit alors qu´il était à la guerre. Il fut fait prisonnier et passa presque toute la durée de la guerre prisonnier. La première semaine après avoir été libéré, il fit la connaissance de Mitterrand. Il fut envoyé dans deux camps en Allemagne, jusqu´à ce qu´arrivent les Russes qui les libérèrent. (03:00") Il dut conduire un groupe de cinquante femmes et enfants jusqu´à Varsovie, par une incroyable tempête de neige. Ensuite, ils emmenèrent ceux qui étaient soldats dans un petit village et là, ils les libérèrent. La situation là-bas. (12:05") Pour sortir de là, ils prirent le train. Le moment où ils arrivèrent en France. Les anecdotes du voyage jusqu´à la maison. Tous ceux qui furent en Russie revinrent pleins de poux. Pendant qu´il était à la guerre, il resta deux ans sans nouvelles de chez lui. (23:27") Les voisins aidaient sa femme qui avait un enfant tout petit. Le jour où il rentra à la maison était un vendredi, en juin. Depuis lors, il est resté à la maison. Sa famille ne souffrit pas beaucoup pendant la guerre, car ils parvenaient toujours à obtenir de la nourriture, ici ou là. Ses deux frères aussi partirent à la guerre. (27:30") Une fois à la maison, il s´est toujours consacré à l´agriculture. Ils avaient des brebis et ils faisaient et vendaient le fromage. Autres histoires. Après la guerre, il n´est jamais allé voir Mitterrand. | |
II-088a | A02 | A dix ans il fit la communion et quitta l´école. Il était d´une famille nombreuse et il commença à travailler. En décembre 1939, ils furent emmenés prisonniers et en mai 1940, ils furent libérés. Le 12 juillet il rentra à la maison. Ce qu´il vit à la guerre. Comment ils préparaient la nourriture : ils tuaient un cochon et le grillaient. Dans les maisons ils trouvaient des conserves. Eux n´eurent pas à tirer. Comment ils furent libérés. Il y avait sept Basques. Ils rentrèrent en train et quand ils montrèrent leurs papiers on les laissa en liberté. Ils furent les premiers soldats à entrer dans Bayonne, le 10 juillet. | |
II-088a | A04 | Ensuite, de Bayonne il rentra chez lui en train, et à pied. Ils demeurèrent dans une auberge. Comment chacun arriva chez lui ensuite. Mais la guerre n´était pas encore terminée. Il resta chez lui et de ceux qui furent libérés en même temps que lui, aucun ne fut emmené à nouveau. Avant que la guerre ne s´achève ils allèrent à Macaye. | |
II-004a | A03 | métiers: pâturage - alimentation: fromage | Ils firent des routes à Garruze-Garris et les fils allèrent à l´école à Donapaleu-Saint-Palais. Le troupeau s´agrandit selon les besoins. Les employés faisaient la même chose qu´elle. Où sont ces garçons aujourd´hui. Elle était l´unique femme à Irati. Les gens qui passaient par là. C´était l´époque de la guerre. Ce qui arriva avec les maquis : Ils virent qu´on emportait une de ses brebis à l´hôtel, mais ce n´était pas la première. Les travailleurs de la forêt passaient l´après-midi avec eux. Ils vendaient les fromages. Les enfants montaient les rejoindre pendant les vacances. En automne, ils descendaient tous. Quand et comment ils faisaient les fromages, et à qui ils les vendaient. Pendant la guerre, c´était un privilège de faire du fromage. |
SD-008b | A01 | anecdote | Il vit d’abord le front de Lekeitio. Après avoir passé la semaine sainte à Gernika, ils montèrent à Elgeta ; anecdotes du front : histoire de la croix qu’il acheta à Lourdes en 1934. (09:40”) Ils sortirent d’Elgeta et virent le bombardement de Gernika depuis le Fors. Le temps de commencer à déjeuner et en deux heures tout était détruit. De là ils partirent en Cantabrie ; événements. Ils se joignirent aux Italiens; (21:10”) Il fut prisonnier à Burgos. Ils lui enlevèrent jusqu’à la croix. Ils déposèrent. Pour lui, ce ne fut pas une situation difficile. Là, on ne tuait pas les gens et ils avaient des messes. Après être restés là cinq mois, ils les emmenèrent travailler dans une carrière d’Altsasu. Ils dormaient dans le dépôt de la gare. Ses deux frères lui rendirent visite et lui apprirent que leur mère était morte. Ensuite, on les emmena en Aragon et à Teruel pour travailler sur la voie ferrée. Sur place ils furent blessés. |
II-168a | A01 | mode de vie | Présentation. Il naquit à Barkoxe/Barcus en 1920 dans la maison Coyos. Ils étaient deux frères et deux sœurs. Il passa sept ans à l’école, jusqu’à l’âge de quatorze ans. Ensuite il commença à travailler dans l’agriculture, à la maison. Ses sœurs apprirent à coudre et à cuisiner. (06:00”) Puis la guerre éclata. Il y avait aussi d’autres jeunes de Soule. Entre Basques ils parlaient en euskara. Quand il rentra à la maison il se consacra à l’agriculture. La guerre dura jusqu’en 1945 : peu de nourriture, du pain noir… Les Allemands de la guerre. (12:55”) Durant la guerre il n’y avait pas de fêtes dans le village. Quand elle se termina en 1945, une grande fête fut célébrée. Il avait alors vingt-cinq ans. Par la suite, il s’est toujours consacré à l’agriculture et il a vu l’évolution. Il avait aussi des brebis et en été il les emmenait au port. Il se maria en 1954 alors qu’il avait trente quatre ans. Il a eu cinq fils. |
II-018a | A03 | accouchement - oficios: matrona | |
II-018a | A06 | accouchement - oficios:matrona | |
II-018a | A07 | oficios: matrona | |
II-018a | A08 | accouchement - oficios: matrona | |
II-087a | A13 | oficios:mecánico | |
II-087a | A14 | mariage | |
II-139b | B14 | élevage: brebis - ganadería:ovejas,parto - ganado: alimentación | |
II-140b | B08 | trabajo:del caserío - agricultura: maíz | |
II-060b | B26 | ||
II-061a | A10 | métiers: boucher | |
II-061a | A11 | carnaval: libertimendua - jeu: pelote, partie | |
II-061a | A18 | musique - métiers: boucher - jeu: jeu de pelote | |
II-033a | A04 | travail: des femmes - trabajos: sirvienta - colada | |
II-162b | B13 |