Orreaga Ibarra
I-006
- Titre:
- Date d´entregistrement: 1989-9-8
- Propiétaire: Euskarabidea-mediateka
- Informateur / informatrice: María Zubieta
- Chercheur / chercheuse: Orreaga Ibarra
- Thème principal: Discussion libre.
- Temas: anecdote, divers, euskara, grammaire: phonétique, morts
- Vue autorisée: Libre
- Publication autorisée: Limitée
- Qualité du son: Normal
Ville | Dialectes | Cartes |
Fragment | Durée | Temas | Sumario |
A1 | 00:00:00 00:04:45 |
morts | Autrefois mouraient plus de gens qu’actuellement, du fait que l’on ne savait pas guérir les maladies que les gens attrapaient. La vie d’un frère qui mourut. L’histoire de deux autres frères qui moururent. Quatre de ses frères moururent et il en resta dix. A présent, il n’en reste que trois. |
A3 | 00:13:42 00:14:31 |
divers | Ils évoquent Jenovia Oskotz. Il l’enregistra et elle leur montra comment faire le fil, les couvre-lits et les fichus. Elle vit seule. |
A5 | 00:19:55 00:22:11 |
euskara | A Ultzama il y a maintenant une ikastola et ils sont fiers d’être Basques, mais jusqu’à présent ils parlaient en castillan. Il y a à Ultzama plus de gens venus de Pampelune qu’à Basaburua. Le médecin et d’autres aussi parlaient castillan. |
A6 | 00:22:11 00:26:20 |
grammaire: phonétique | La frontière de prononciation de la graphie /j/ se trouve entre Larraun et Arrarats et Itsaso. Long, fils, bras, coude, je m’en vais, juments, mains, main, canard, veaux, génisses, langue, gros, maigre, tais-toi, dire, voir, apporter, couper, donner, connaître, riche, animaux. |
B2 | 00:01:58 00:13:42 |
anecdote | Le cousin qui était médecin, Andrés Labaien, mourut subitement. Comment il apprit sa mort, une amie le vit dans le journal et elle crut que ce n’était pas lui. Aux obsèques il y avait beaucoup de monde, les gens l’aimaient beaucoup parce que c’était un homme bon. Il était basque et il parlait toujours en euskara. Comment il le salua un jour qu’ils se trouvèrent à Pampelune. C’était un homme très simple, pas du tout prétentieux. Sa femme était de Zaragoza, car il étudiait là-bas. Ils étaient avec un autre couple, les autres étaient très élégants et lui était vêtu on ne peut plus simplement. Aux obsèques, il y avait beaucoup de monde. Cela fait de la peine de voir les gens mourir ainsi. Mais "zaharrek eskaporik ez eta gazteek ordu ziurrik ez" (les anciens n’ont pas d’échappatoire et les jeunes n’ont pas d’heure exacte). |
B4 | 00:14:31 00:19:55 |
anecdote | Une femme qui se trouve dans la résidence a quatre vingt quinze ans. Elle a des problèmes avec la nourriture. Ils l’opérèrent d’une jambe. Son mari mourut. Il était français et ils se rencontrèrent sur un bateau. Ils n’avaient pas d’enfants. Ils avaient un appartement à Arre. Elle a beaucoup d’argent, mais il restera pour la miséricorde. Des neveux vont lui rendre visite, qui jusque là ne lui prêtaient aucune attention. L’argent perd les gens. |
B5 | 00:19:30 00:26:03 |
divers | Alors qu’ils commencent à fumer, ils passent à Maria, comme elle se trouve bien. Son avis sur Barcelone (où elle vit). Transport. Pour les personnes âgées tout est gratuit là-bas. Elle a quatre vingt trois ans, le huit décembre elle en aura quatre vingt quatre. Le médecin (une femme) lui dit qu’elle est comme une jeune fille. Autrefois ils ne savaient pas ce que c’était que de fumer. Qui fume dans sa famille. Ce que font ses petits-enfants, études et professions. |
B6 | 00:26:03 00:32:01 |
anecdote | Autrefois, on ne pouvait rien faire et maintenant il y a trop de liberté. Travailler et devoir être à la maison, rien de plus. Maintenant, ne pas pouvoir rentrer à la maison. Anecdote : à propos des permissions durant les carnavals. |
Pista | Écoutez le fichier | Durée |
I-006-A | 32:05 | |
I-006-B | 32:07 |