mode de vie [130 resultados]
Document | Fragment | Otros temas del fragmento | Sumario |
D-001 | A01 | Après être sortis de l’école, ils rassemblaient du bois, ils étaient avec les cochons ou travaillaient la terre avec le bétail. | |
D-003 | A01 | lessive | Mode de vie. Comment ils faisaient la lessive. Explication du mot “kuela” (semblable à une barrique de bois). Comment ils nettoyaient le linge de couleur. |
D-003 | A02 | travaux ménagers | Distribution des tâches ménagères: qui faisait quoi, et quand. |
D-003 | A03 | faire son marche - échange | Pour faire les courses, outre l’argent, on avait recours au système de troc. |
D-007 | A05 | émigration | Mode de vie. Possibilités: l’université, travailler ou émigrer en Argentine, à Cuba ou en Amérique du nord. |
D-017 | A03 | lessive: jet | La lessive se faisait au lavoir : on utilisait du bois de hêtre qui ne déteignait pas sur le linge comme le chêne. On plaçait un torchon sur le lavoir, le plus épais possible afin que la cendre ne passe pas, et il s’imprégnait de cendre. L’eau était chauffée dans le chaudron, de plus en plus chaud, et on la jetait à maintes reprises dans le lavoir de façon à ce qu’elle sortît par le trou qui se trouvait dessous. Après le linge blanc, on nettoyait le linge de couleur. On procédait de la même façon pour le nettoyage de la vaisselle d’apparât. |
D-024 | A01 | Présentation. Mertxe leur dit qu’ils devraient aller aux fêtes de la San Fermin ou aux Carnavals, car c’est à ce moment là qu’il y a de l’ambiance. Ses habitudes quotidiennes | |
D-025 | A02 | travaux ménagers | Vie quotidienne : petit-déjeuner, monter rejoindre les brebis, la visite du curé. Expressions utilisées : "belarra hil" (faucher), "bizarra hil" (faire la barbe), et "amodioa hil" (en finir avec un amour). Ramasser le foin, semer le mais, recueillir l’orge, ramasser les châtaignes sont les tâches à accomplir selon les saisons. |
D-035 | A01 | Dans une même demeure vivaient de nombreux membres d’une même famille. | |
D-035 | A06 | mariage | La noce et le mode de vie qui s’en suivait. |
D-037 | A05 | accouchement | Autrefois, les enfants naissaient dans les fermes, avec l’aide d’une sage-femme qui se rendait à domicile. |
D-039 | A01 | Présentation. Questions personnelles (âge). Mode de vie de l’époque de sa jeunesse (école) et questions relatives aux changements dans le village. Ils durent déménager quand l’eau du barrage atteignit leur ferme. Il travailla à la fabrication du charbon. | |
D-039 | A03 | anecdote - vers | Lorsqu’il était jeune, le mode de vie était beaucoup plus joyeux qu’aujourd’hui. Ils étaient toujours en train de chanter et de danser. Ils buvaient toujours du vin, les jeunes aussi. Anecdote de Peio Jose de Larraun : après avoir travaillé pendant un an en montagne, il était dans le bar et ils vinrent le chercher parce que sa femme avait eu un bébé. La chanson qu’il lui chanta en arrivant à la maison (8.20” - 8.37”). Il avait coutume de chanter des vers avec Xalbador, Mattin et Uztapide. |
D-040 | A01 | jeu: osselets - jeu: corde | La vie quotidienne et la routine de l’époque où l’interlocutrice avait douze ans : tous les jours ils allaient à l’école, y compris le samedi, catéchisme, jeux, et avant de se coucher ils écoutaient ce que leurs parents leur racontaient. Selon qu’il s’agissait de garçons ou de filles, le père ou la mère leur enseignant les différentes tâches ménagères. Le dimanche, grand-messe, repas familial, vêpres, et avec la peseta qu’on leur donnait, ils s’achetaient des bonbons. Ils devaient rentrer pour huit heures à la maison. Jeux : corde, osselets |
D-044 | A01 | Ressources économiques du village : autrefois, ceux qui ne travaillaient pas dans le balnéaire travaillaient à la ferme (bétail, herbages et autres). Ensuite, ils installèrent une usine et aujourd’hui la quasi-totalité des gens y travaillent. Lui, il travaille à la ferme. | |
D-053 | A01 | lessive | Lessive : d’abord on savonnait le linge à la fontaine et on descendait à la maison. On posait sur la pierre une toile très épaisse, sur laquelle on étalait de la cendre. Puis on arrosait d’eau de plus en plus chaude, eau chauffée auparavant dans le chaudron. Cette eau sortait par le jet pour être à nouveau chauffée. Le jour suivant, on ramenait le linge à la fontaine pour le rincer. |
D-055 | A01 | métiers: pâtre - métiers: charbonnier | Vie quotidienne: il débuta comme berger mais comme cela rapportait peu d’argent, il devint charbonnier. Il raconte ses journées dans l’une et l’autre profession. |
D-060 | A01 | autobiographie | A l’âge de douze ans seulement, il fut berger dans différents endroits. Plus tard, il dut s’occuper de sa mère qui était malade et resta alitée pendant deux ans. Il raconte comment il changeait le lit sans en faire bouger sa mère. Du fait d’être resté sans travailler, il se retrouva pauvre célibataire, mais parvint à se marier et à avoir des enfants. Finalement, le maire lui offrit d’être tambour de ville, car il jouait du tambour, et cela leur fut d’une grande aideAujourd’hui, ils vivent très bien : la fille est mariée, les deux fils travaillent et lui est à la maison avec sa femme. La vie autour du tambour : il apprit tout petit, en tant que soldat il faisait partie de la fanfare, avec un contrat à Maya, et c’est ainsi qu’il joua dans de nombreux endroits : trente sept ans dans le Baztan, dans le groupe "Baztandarren Biltzarra" il resta vingt-huit ans consécutifs. Lui ne donne pas vraiment d’importance à son travail, alors que les autres lui donnent de la valeur. |
D-063 | A01 | anecdote | Quand son père mourut, alors qu’elle avait neuf ans, elle dut aller travailler dans une maison comme domestique. Elle dût d’ailleurs enlever ses escarpins et marcher et travailler pieds nus jusqu’à ce qu’ils lui aient fait des sandales de cuir. Un jour, elle s’enfuit chez ses grand-parents où elle vécut avec la famille de son oncle. |
D-063 | A02 | A quatorze ans, elle se trouva très bien dans une maison remplie d’or, placée comme domestique. | |
D-063 | A05 | Où ils emmenèrent ses frère et soeur: la soeur à Hernani et le frère à la ferme. | |
D-063 | A06 | Elle se maria et eut deux enfants. Mais quand elle se retrouva veuve, elle partit à Pampelune s’occuper d’un enfant. Elle resta là-bas jusqu’à ce que ses frères reviennent de la guerre. Mais l’un d’entre eux mourut peu de temps après en travaillant dans la montagne. Elle retourna chez elle à trente trois ans et eut cinq autres enfants. Aujourd’hui elle a quatre-vingt huit ans et des petits-enfants. | |
D-066 | A09 | religion: Sacristain | Il raconte ce que fut sa vie: au départ ce qu’on lui donnait dans les maisons lui suffisait. Ensuite, il travaillait aussi au jardin et il recevait un petit salaire. Progressivement il abandonna la fonction de sacristain et devint boulanger, après s’être marié. |
D-067 | A01 | Mode de vie durant sa jeunesse : ils travaillaient à la montagne, dans le bois, la nourriture (galettes et lait), ils vivaient avec peu d’argent. Les gens pratiquaient beaucoup la contrebande. | |
D-067 | A03 | anecdote - boucherie | Après être revenu de la guerre, il commença comme charpentier avec son oncle. Ensuite, il laissa ce métier et ouvrit une boucherie : il faisait des filets et allait tuer les cochons. Un jour, il se planta un crochet dans la main et il se retrouva suspendu. Ils avaient aussi des dettes mais il gagna à la loterie et ils s’en sortirent ainsi (jusqu’à 7’44”).Ils voulaient que leurs fils fassent mieux et ils suivirent tous des études universitaires. Eux prirent leur retraite et à présent ils se joignent à la famille pour tuer le cochon et les agneaux. |
D-069 | A01 | Il commença à travailler avec son père quand il quitta l’école à treize ans. Il parle de la dure vie d’alors. Ils mangeaient des haricots et des pommes de terre et ils n’avaient même pas un lit pour dormir. | |
D-070 | A01 | pêche | Journées de jeunesse : l’école, le catéchisme en basque, chanter à l’église et écouter les explications du curé, manger, retour à l’école. Pour terminer, ils allaient au fronton et jouaient à la pelote. D’autres fois, ils prenaient l’âne et allaient chercher du bois jusqu’à la tombée de la nuit. Parfois ils allaient pêcher à la main. Ou ils coupaient l’herbe et les fougères avec la faux. S’occuper des vaches. Travailler la terre avec la charrue. Ils marchaient beaucoup. |
D-071 | A01 | Présentation. Questions personnelles. Enfants, ils n’allaient pas à l’école, ils ne faisaient que travailler. | |
D-076 | A01 | Présentation. Questions personnelles sur sa vie, son travail, l’école, le basque et autres. | |
D-080 | A01 | Présentation. (1’55”) Quand il était petit il vivait dans une ferme avec ses frères et soeurs. Son père était charpentier. La mère s’occupait des six enfants et faisait les tâches domestiques ainsi que les travaux de la ferme. La vie était très dure, il y avait peu d’argent et quand ils le pouvaient ils partaient travailler à l’extérieur. | |
I-018 | B05 | A l’heure actuelle les jeunes sont différents. Elles sortaient de l’école et devaient travailler.Elles savent lire mais n’ont pas fait davantage d’études. | |
I-029 | A10 | métiers: pâtre | Dans sa jeunesse avec le lait de brebis on faisait du fromage et on le vendait. Ils allaient à cheval le vendre dans d’autres villages. Quand il était dans la montagne il vivait seul dans les cabanes. |
I-030 | A02 | Ils travaillèrent avec les vaches en montagne. | |
I-095b | B04 | Bien qu’aujourd’hui ils soient retirés, avant ils travaillaient la terre et s’occupaient des vaches. C’était des vaches de boucherie. Aujourd’hui on voit peu de vaches.Ils avaient aussi des chèvres. | |
IR-005 | A01 | anecdote | Présentation. Comment était le village lorsqu’il était jeune : pas de route, pas d’eau. Quelques anecdotes : le loquet se rompit et ils restèrent à l’intérieur. Quelqu’un provoqua un incendie. Ils faisaient fondre la neige dans une jarre pour obtenir de l’eau. Ce que les enfants faisaient dans la crémaillère. L’enfant jeta le chien par la fenêtre.Ils travaillaient beaucoup alors, les enfants aussi. |
IR-005 | A06 | A présent la conversation a lieu avec Kaxiano. Présentation. La vie d’avant était dure. Il fallait tout faire à la main et on faisait beaucoup d’heures. Il a toujours été paysan et éleveur: vaches, juments, chèvres, brebis. Maintenant les gens ne veulent pas ce travail car il leur semble très dur. | |
IR-005 | B01 | école - élevage: troupeau des vaches | Présentation : entretien avec les personnes honorées cette année : Brigida commence. Quand elle était enfant le nombre d’habitants du village était deux fois plus important. On regroupait les vaches, toutes les vaches étaient réunies en deux troupeaux et les enfants les gardaient. Il y avait un maître et les autres, qui avaient une dizaine d’années, allaient l’aider. Ils allaient peu de temps à l’école, jusqu’à douze ans seulement. Ils étaient quatre frères. |
IR-007 | A01 | Présentation (nom de la maison). A l’époque de sa jeunesse elles travaillaient à la maison. Elles nettoyaient les affaires de la femme de l’instituteur et pour cela sa mère recevait un "duro". Pour tout il fallait porter l’eau de la fontaine car à la maison il n’y en avait pas. Quand venait la camionnette des fruits, ils allaient la voir avec la grand-mère. Elles portaient l’eau dans des jarres mais elle ne la portait pas sur sa tête, comme le faisaient quelques autres. Il n’y avait pas d’argent mais il y avait beaucoup de travail. | |
IR-011a | A11 | radio: la première | Ils achetèrent la première radio en mille neuf cent quarante. Ils passaient leur temps à travailler : récolter le maïs et les haricots, égrener le maïs. S’ils avaient un peu de temps ils jouaient aux cartes. Autrefois ils n’avaient pas d’ambitions. |
IR-012 | B02 | maison: noms | Valeriana était de la maison Bejino et elle a toujours vécu au village. Un seul de ses enfants vit au village. Elle a vécu de l’agriculture et des animaux. La vie a beaucoup changé. Ils lui demandent son âge. |
IR-016 | B02 | alimentation | Présentation. Sa mère mourut quand elle avait deux ans et elle resta avec deux frères et leur père. Elle faisait les repas, la lessive, le pain. Aliments : pomme de terre, lait, agneau, cochon. |
IR-018 | B01 | Après être rentré de la guerre, il a travaillé dans son atelier de Garralda. Mais il a aussi été paysan. Ils travaillaient beaucoup et gagnaient peu. | |
IR-023a | A01 | Guerre - divers | Son nom et celui de la maison. Ils ont changé le repas du soir et la façon de danser. Ce qu’ils mangèrent ce soir là. Il débuta comme berger à six ans et ensuite travailla à Irati. Il travailla comme muletier avec six mulets transportant du charbon. Il fut trois ans à la guerre en Espagne, à Ceuta et Tetuán. Il fut aussi à Madrid. Il avait des taureaux et à la demande du gouvernement il alla à Madrid avec eux et y resta un an. Quand il rentra de la guerre, il se maria et se fit une maison et une bergerie. Il a été aussi à Paris. |
IR-024b | A04 | Même ainsi, ils étaient plus joyeux qu’aujourd’hui. Les gens se réunissaient au moulin et discutaient beaucoup, et tous se racontaient mutuellement des histoires amusantes. Ils se déguisaient, faisaient les musiciens, faisaient du feu au milieu et se plaçaient tous autour. | |
M-001 | A01 | travaux ménagers - travail: des hommes/femmes | Présentation. La femme a beaucoup travaillé à la maison, s’occupant bien des enfants, des animaux et faisant les foins. Les hommes d’Urdiain travaillaient dans les usines. Mais le salaire était bas et les femmes travaillaient dans le même temps plus que les hommes, s’occupant des enfants et devant assurer le travail avec les vaches, les cochons et les travaux domestiques. |
M-004 | A01 | élevage: transhumance | Présentation. Questions personnelles (date et lieu de naissance). Mode de vie des jeunes à Uztarroz. Les travaux dans la montagne avec la houe et les grands trajets derrière les brebis. Les hommes allaient avec les brebis pour la transhumance à la Ribeira et les filles allaient en France faire des espadrilles. Explication du mot “kota” et de ses dérivés. |
M-008 | A02 | Les hommes et les femmes travaillent beaucoup. A l’époque de sa jeunesse, c’était beaucoup plus dur qu’aujourd’hui. Travaux de sa jeunesse : sortir les traverses. Travail dur pour un salaire bas. | |
N-023 | A02 | ferme | La ferme dans laquelle vivent les deux frères est celle de Larratz de Teretxe. Ils descendent au village une fois par semaine, avant ils y allaient plus souvent. Lui préfère la ferme. Les travaux de la ferme : le matin se lever, s’occuper des animaux, sortir le lait pour le laitier. Le travail est dur, mais autrefois il était plus dur car il n’y avait pas de machines. Les animaux sont ceux qui donnent le plus de travail. Maintenant il a seulement deux vaches et quelques poules. La vie à la ferme a beaucoup changé. Autrefois ils mangeaient des galettes avec du lait et utilisaient le système du troc. Il serait possible de vivre aujourd’hui uniquement de ce que donne la ferme. |
N-052 | A01 | alimentation | Mode de vie : depuis qu’ils sont petits ils gardent les brebis. Ils emmenaient les agneaux et les veaux à la maison et ils les trayaient. Ils faisaient deux ou trois fromages, les laissaient sécher pendant deux ou trois autres mois et les vendaient. Ils les vendaient très bon marché. Ils les mangeaient avec des galettes. Ils tuaient un cochon et avaient de quoi manger pour toute l’année. Ils avaient aussi des poules et des oeufs. Ils plantaient du maïs, le récoltaient et l’emmenaient au moulin pour faire du pain. Son mari est charbonnier. Dans le grenier on conservait le maïs, les haricots, les pommes de terre et autres. On engraissait les cochons et on les emmenait à pied au marché de Santesteban. |
N-052 | A11 | échanges | Aujourd’hui il y a beaucoup de choses qui sont mieux aujourd’hui. Avant les fêtes du village avaient lieu une fois par an, mais il y avait de la musique sur la place également en d’autres occasions. Mais avant certaines choses étaient mieux qu’aujourd’hui : il y avait plus de respect vis à vis des autres. Ils rentraient à la maison plus tôt, mais ils sortaient aussi plus tôt pour les vêpres. Changements dans le monde des études et du travail. |
N-072 | A01 | anecdote | A dix-douze ans, l’homme travaillait dans le bois ou gardait les boeufs. Ce qu’il faisait quand il devait commencer à travailler même de nuit. Ensuite ils commencèrent à faire la route. La maison appelée "La cadena de Lizaso" (la chaîne de Lizaso). Ils prenaient l’eau à la fontaine mais lorsqu’il n’y en avait plus, ils la prenaient à la rivière. Une fois qu’il sortait avec la charrette, il dut aider la vache à mettre bas. Ce qui se passa avec le veau. La femme aussi dut aider son père à travailler avec la charrette. |
PP-001 | B01 | maison: noms | Il fait un voyage à travers les fermes, racontant des anecdotes sur les gens du coin. Il parle de ceux de Larrearen borda. De ceux qui étaient là à l’origine et de ceux qui y vivent actuellement : noces, maladies, restauration de la maison. L’un d’eux devait être joueur de pelote. |
S-007a | A01 | Age. Enfant, à huit ans il était déjà au travail, à garder les cochons dans la montagne. Il travailla là-bas durant neuf ans. Il se maria à vingt-huit ans et eut cinq enfants. | |
S-014a | A14 | anecdote | Chanson. |
SM-007a | A05 | Modes de vie d’aujourd’hui et d’hier. A présent les jeunes localement travaillent dans les usines. A propos des gens du village et de leurs activités professionnelles. Ils sont en train de restaurer les maisons du villages. | |
SM-007b | B03 | Le mode de vie a beaucoup changé, y compris au niveau de l’alimentation. C’était très difficile de voir de l’argent. Ils avaient du lait pour la maison, ils ne le vendaient pas. | |
SM-011 | A15 | maison: noms - métiers: ttun-ttuneroa | Présentaion : nom, lieu de naissance, âge. Aujourd’hui c’est son anniversaire (14 août). Le jour de sa naissance son père était en France où il jouait de la musique, il était joueur de ttun-ttun. Il allait aux Aldudes jouer de la musique. Mais il était paysan. Ils avaient des animaux à la maison. Elle a travaillé aux tâches domestiques. Le nom de sa maison : Ttun-tuneena. Mais le nom d’origine était Ernautena. |
SM-011 | A19 | Quand elle était jeune, la vie était plus dure que maintenant. En tant que femmes, c’était à elles que revenaient tous les travaux. | |
SR-009 | A01 | Présentation. Nom, âge, date de naissance. Ils étaient quatre frères. Enfants, quand ils sortaient de l’école ils partageaient les navets pour le bétail, allaient ramasser les pommes de terre ou travailler le bois. Ils s’occupaient aussi des cochons.En hiver ils allaient chez un ami. Quelquefois à Uharte ou Lakuntza. | |
SR-009 | A07 | travaux ménagers | Son frère partit à la guerre et elle travaillait le jour à la terre et le matin et le soir, elle allait à la montagne traire les brebis. Elle portait aussi les sacs de pommes de terre sur ses épaules.Quand son frère emmenait les brebis à la montagne, il mangeait en chemin le pain qu’il avait pour déjeuner et il n’en avait plus jusqu’au soir. Le soir sa mère lui faisait un chaudron de haricots rouges. Par la suite ils vendirent les brebis. Sans même nettoyer la maison, ils allaient nettoyer le bois avec les balais, "orbelketa". Pour manger ils prenaient de la ventrèche piquée sur le grill et ils le mangeaient. Le soir ils rentraient à la maison, mangeaient une grande assiette de pommes de terre et quelques tomates et ils allaient en courant au rosaireQuand son frère partit à la guerre, elle se levait à une heure du matin, prenait la charrette et allait à la montagne chercher du bois. A la mi-journée elle remplissait la charrette et rentrait à la maison.En été ils fauchaient les herbes.Ils vendaient des pommes grillées et des nèfles. |
SU-005 | A02 | Nom, lieu de naissance. Ils étaient sept frères. Ils vivaient de l’agriculture. Il travailla trois ans à Muneta et là-bas il apprit le castillan. | |
N-043 | A2 | Tout en allant à l’école ils s’occupaient des vaches et des cochons et travaillaient au jardin. Dans sa maison il n’y avait pas de femme, et l’homme était à l’extérieur, il a vu travailler les deux tant à l’éxtérieur qu’à l’intérieur. | |
I-007 | A1 | Il n’aimait pas faire les travaux de la terre, mais il les faisait : sarcler le mais, les pommes de terre, les haricots, le blé. Maintenant ils ont tout transformé en pâturage; Les soeurs devaient partir devant, pour que les frères puissent partir, après à la maison les femmes faisaient le travail.. C’était une grande ferme et ils étaient quatorze, mais quatre moururent. | |
I-039 | A01 | Ils étaient neuf frères et soeurs. A Urniza il ne reste plus personne. Il parlait en euskara avec sa tante et aussi avec ses parents. Avec ses frères et soeurs en castillan. Sa femme est de Sorogain. A Urniza ils avaient des vaches. Ils allaient à Erro tous les dimanches parce qu’à Urniza il n’y avait pas d’église. Ils y allaient à pied. A Orondritz, il y a sept ou huit familles : il n’y a pas de bascophones. Il sort tous les jours un peu. | |
I-043 | A03 | Ils faisaient du pain dans le four. Sa soeur raconte qu’ils étaient neuf frères et soeurs et l’un d’eux mourut à la guerre. Ils mangeaient des galettes de mais et du lard. Avant de faire le barrage, ils vivaient dans des bergeries et plus tard ils descendirent vivre au village. Les femmes faisaient alors les travaux d’intérieur et d’extérieur. Elles semaient le mais, les pommes de terre et le reste. | |
I-042 | A02 | ville | Aujourd’hui ils vivent assez bien dans le village. Il y a beaucoup de vaches et de brebis. Les autres travaillent dans des usines. Ils fermèrent l’entreprise Danone et aujourd’hui d’autres ont repris l’affaire sous un autre nom. |
I-026 | A02 | ville | Ils ont toujours beaucoup travaillé. Une des femmes a une vacherie. Cette même femme, avec une autre famille, a une fromagerie. Age. Celui qui vit au village doit beaucoup travailler. Maintenant il y a six familles dans le village. Avant elles furent dix-neuf et il arriva souvent qu’elles fussent plus nombreuses. |
N-065 | A01 | jeunesse | Elle passa sa jeunesse chez un oncle qui était curé. Elle eut très peu de relations avec sa famille et elle ne pouvait même pas rester jouer après le catéchisme, car elle devait faire les travaux de la maison. On l’envoyait faire les commissions au secrétaire avec un tablier et elle avait honte devant les jeunes. Tout cela la marqua. Au début il y avait une servante avec elle, mais elle partit et à seize ans toute la responsabilité de l’église et de la maison reposa sur ses épaules. |
I-011 | A04 | Alimentation: maïs - alimentation: galettes - alimentation: petit-déjeuner | L’homme prend le petit déjeuner, le dîner et le goûter tous les jours à la même heure. Ce qu’ils prennent au petit-déjeuner. Ils n’ajoutaient pas de sel au lait. Ce qu’est la crémaillère. La femme, quand elle était jeune, mangeait des galettes de mais. Ils appellent le mais “maizea”. L’anecdote de l’instituteur de “torta y leche”. Comment la mère de la femme faisait les galettes de mais. Ils avaient beaucoup de mais. Les travaux qu’ils faisaient : les herbes, les brebis, coudre… |
I-053 | A05 | Elle naquit à Goldaratz il y a trente huit ans. Ils étaient sept frères. A la maison il y avait des vaches, des cochons, des poules et des lapins. Ses soeurs partirent tôt pour travailler ou étudier. Elle resta avec ses deux frères à faire les travaux de la maison. Elle préférait les travaux extérieurs aux tâches domestiques. A onze ans, avant d’aller à l’école, elle trayait les vaches. Elle labourait, ramassait le foin et les feuilles mortes. Elle resta au village jusqu’à l’âge de vingt ans, elle s’arrangeait bien avec ses frères mais pas avec sa mère. Une soeur de sa mère vivait aussi à la maison, qui faisait les travaux de l’étable. | |
SN-007b | A01 | Elle est de Latasa et elle vécut là-bas jusqu’à ce que, après la mort de son mari, le bétail commence à mourir. Alors elle vendit tout. Elle partit à Etxarren chez Marcelo, pour travailler à son service. Il y a cinq ans, elle partit à Lekunberri et depuis elle est allée ici et là. Nom et âge. Elle a toujours travaillé dans l’agriculture. Elle se maria avec un garçon rentré récemment d’Amérique. Il mourut dans un accident. | |
I-023a | A03 | Ils travaillaient aux foins et semaient et récoltaient le mais. | |
I-047 | A03 | Durant la guerre, il n´y avait pas autant de travail pour faire les foins, parce qu´ils n´en avaient pas autant. Ils n´avaient même pas de charrue à cette époque. Comment ils effectuaient les travaux des champs. | |
I-047 | A04 | anecdote - faim | Ils achetaient un kilo de raisin entre les trois et ils allaient les manger dans un endroit qu´ils appelaient Kuatropea. Manuel faisait des cuillères et les vendait là-bas. Le jour il travaillait aux champs et la nuit, il fabriquait les cuillères. Ils ont connu le manque. Ils souffrirent également de la faim après la guerre. Pour étoffer le pain, ils rajoutaient des pommes de terre à la pâte. Ils avaient un grand mulet. |
SM-006a | A02 | bois - travail: bois | Le père et le frère de Perpetua, Fermin lui-même et son père, travaillaient le bois dans la montagne. Il travailla dans le bois jusqu´à l´âge de trente deux ans. Normalement, le bois servait à faire du charbon. Ils étaient payés au mètre et ils l´envoyaient à Pampelune. |
SM-006b | A01 | agriculture - élevage | Elle est la femme de la maison Apesui. Avant, cela devait être la maison du curé. Là il ont toujours vécu du bétail et de l´agriculture. Ils cultivent la pomme de terre, le blé, l´avoine et la vesce. Ils vendent les agneaux, traient le lait et le vendent. Ils ont des vaches, des brebis et des juments. Ils rentrent l´herbe dans les silos et la laissent sécher. Les tracteurs ont remplacé les boeufs. Ils possèdent différents types de vaches : suisse et hollandaise. Pour les brebis, ils ont un chien. Son mari et son fils aussi s´occupent des brebis. |
SM-010a | A01 | métiers: chevrier | Antonio fut berger en Amérique. Il y resta treize ans. A son retour, il a toujours travaillé dans l´agriculture. Ils avaient des vaches, des brebis et des boeufs. Ils cultivaient du blé, de l´avoine et de la vesce. Ils avaient huit ou dix vaches rousses, et vingt ou trente brebis. Toutes les chèvres du village, cinquante, étaient ensemble et le chevrier les emmenait à la montagne et les descendait tous les jours. En plus du salaire de chevrier, les gens l´invitaient à manger chez eux. On buvait du lait de chèvre. |
SM-010a | A02 | Présentation de Rosa et José. Ils ont eu quinze enfants. Six garçons et six filles sont toujours vivants. Trois vivent en Amérique, dans le Nevada. Une autre en Italie et les autres tout près. Dans la famille de Rosa, on avait peu de terres. Ils étaient cinq frères. Elle a toujours vécu au village. | |
I-041 | A01 | école | A l´école en euskara étaient inscrits cinquante quatre enfants, de six à quatorze ans. Tous se trouvaient dans la même classe; Eux n´allaient pas du côté français quand ils étaient jeunes. Leur vie, c´était le bétail. |
IC-015b | A02 | Les jeunes d´ici travaillent dans les usines. Eux s´occupent de quelques vaches et brebis et il n´y a rien d´autre. Ils ont aussi quelques pommes de terre et un potager. | |
IC-015b | A10 | Il a des vaches. Ils vendent le lait, mais on ne leur paie pas correctement. L´aliment pour bétail leur coûte 22 peseta et demi, et on leur donne vingt-six pesetas pour un litre de lait. Les études d´Iñaki. L´homme vit avec la femme et le fils. Au village il n´y a pas de magasin, mais quelques camionnettes viennent jusque là. Le fils travaille sur place aux champs. | |
IC-015b | A13 | Les travaux de l´après-midi. Les jeunes sortent du village pour aller à Pampelune ou au Pays basque nord, mais eux ne sortent plus, sauf s´ils ont quelque chose de précis à faire. Les enfants du village. Ils vont à l´école à Erro. Puis ils jouent à la pelote ou à d´autres jeux. | |
IC-015b | A14 | Quand il était jeune, il n´y avait ni télévision, ni radio. La radio fit son apparition après la guerre dans quelques maisons. De même pour la télévision ou la voiture. Les choses ont changé. A cette époque, les familles étaient nombreuses et il n´y avait pas de travail pour tout le monde. A présent, les familles sont plus restreintes. | |
II-111a | A01 | école | (00.45") Présentation : présentation d´Anjel. Il a toujours vécu là et les jeux ainsi que les coutumes lui ont plu. Il alla à l´école de l´âge de cinq ans jusqu´à douze ans. Là il apprit le castillan et le français, et il aimait beaucoup aller à l´école. Ils allaient à l´école, au catéchisme, et ils jouaient à la pelote. Ils assuraient les travaux de la maison avant d´aller à l´école et le soir. Quelque 1200 personnes vivaient à Luzaide aux alentours de 1925. Ensuite vint la guerre et beaucoup de choses se perdirent. |
N-017 | A01 | élevage | Son grand-père fut domestique à Balentzixa et se maria avec la fille de la maison. Ils ont quelque cinq hectares de terrain : du mais, des fèves et des navets. Avant, ils avaient aussi du blé, mais plus aujourd´hui. Ils ont beaucoup de noyers, ils ne demandent pas de travail mais donnent beaucoup de fruits. Il les vend à la cidrerie Ilunpe d´Usurbil. Ils vendent aussi le lait. Ils construisirent une nouvelle ferme dans laquelle ils vivent actuellement. Autour, il y a très peu de fermes où l´on se consacre seulement aux travaux de la ferme. Lui partit travailler très jeune, chercher de l´argent. La plupart se sont mariés et sont allés ailleurs. Il croit que la maison devrait revenir à celui qui compte y demeurer plus tard, et non à l´aîné. Le matin, si ce n´est pas lui, c´est sa femme qui traie les vaches. Bien qu´il travaille en dehors de la maison, il rentre le soir et fait les travaux domestiques. Ses jours les plus tranquilles furent ceux qu´il vécut en tant que soldat. Depuis lors, il n´a pas eu de vacances. L´endroit, pourtant, est merveilleux. Ils traitent les vaches à l´ancienne. Ils les alimentent et les traient trois fois par jour. Et bien que les vaches n´aient pas de difficultés à s´accoutumer à le faire deux fois, le père si. |
N-042 | A01 | A l´école, tous les enfants étaient de la campagne, il n´y avait pas d´enfant des villes. Ils mangeaient à l´école. Quand ils sortaient, ils faisaient les travaux de la maison. A neuf ans, elle fit sa communion et partit comme servante. Elle partit parce qu´elle le voulait, pas parce que ses parents l´envoyaient ailleurs. Elle resta deux ans dans une maison, puis partit dans une autre. Elle alla à Donostia-San Sebastian et resta là-bas. Ensuite, sa soeur se maria et elle partit à Urnieta. Elle resta avec eux et se fiança là-bas. Elle n´aimait pas les fêtes. Elle n´apprit même pas à danser. Ils sortaient faire un tour la veille et ensuite, à la maison. Ensuite elle se maria et partit à Hernani où elle a passé cinquante cinq ans. A l´époque ils étaient onze et maintenant elle vit seule. | |
X-011a | A02 | divers | Manuel passa trente six ans à la ferme. Ce n´était pas une bonne ferme et il partit travailler à Doneztebe. Agustin vécut à la ferme jusqu´à ce qu´il parte soldat, à vingt ans. Il partit à Santander préparer le service, et cela se passa bien. Au retour, il partit travailler, sa hache sous le bras, à Irati et dans les montagnes françaises. Ensuite il entra à l´usine. Il est célibataire. Margarita partit à quatorze ans travailler comme servante, à Doneztebe. Ensuite elle alla vivre là-bas. Felipe resta à la maison vingt-huit ans. Il se maria et ils ouvrirent un magasin à Doneztebe. Jusqu´à son mariage, il travailla dans la montagne. |
PP-033 | A02 | anecdote | Quelques anecdotes à propos d´un homme qui était très amusant. Histoires de jeunesse. Les familles de cette époque étaient plus nombreuses. Anecdotes. Réparation du toit de la maison. Autres anecdotes au sujet de son père qui était charbonnier. (18:30") Histoires de l´époque de la guerre. |
D-012 | A06 | Ils vendaient du bois, mais pas du charbon. | |
SM-006a | A02 | bois - travail: bois | Le père et le frère de Perpetua, Fermin lui-même et son père, avaient l´habitude de travailler le bois dans la montagne. Il travailla le bois jusqu´à l´âge de trente deux ans. Le bois, normalement, était destiné à faire du charbon. On les payait au mètre et le bois était envoyé à Pampelune. |
SK-001b | A02 | école | Il naquit à Luhuso-Louhossoa de parents basques. Son père naquit à Baigorri et sa mère à Ustaritz. Il apprit l´euskara quand il était petit. Il ne fut pas élevé par ses parents car sa mère était malade et le médecin ne voulait pas qu´il restât avec elle. Ils l´envoyèrent à Baigorri et il fut élevé par une famille. Ensuite, il resta avec ses grands-parents à Ustaritz. Là il alla à l´école. Ses grands-parents ne parlaient jamais en français. Ses parents moururent quand il avait sept ans et il vécut avec un oncle. Celui-ci se maria avec une femme béarnaise, et à la maison ils ne parlaient qu´en béarnais, de sorte qu´il oublia l´euskara. Ensuite il alla au séminaire et là on ne parlait absolument pas en euskara. |
II-129b | A01 | divers | Présentation. (03:10”) Au bar il y avait toujours du monde. A l’époque il n’y avait que du vin et de la limonade. Les jeunes avaient coutume de chanter. |
II-146a | A01 | divers | Manex vit dans la maison Ametsa de Sare. Il a écrit de nombreux chants et couplets versifiés. (01:48”) Il naquit à Sare en 1917. Ils étaient quatre frères et une sœur, et il est le seul survivant. Le père était charpentier et la mère était au foyer. Il alla à l’école de Sare jusqu’à l’âge de douze ans. Il reçut le certificat et sa mère l’emmena à Donibane. Là elle le laissa travailler. C’était dur mais les Basques étaient habitués à cela. A dix-huit ans il entra dans la marine pour trois ans. (05:50”) Il vivait à Paris et se maria avec une jeune de là-bas. C’est dommage. Le fils ne sait pas l’euskara et c’est impardonnable quand on est fils de Basque. |
II-168a | A01 | Guerre | Présentation. Il naquit à Barkoxe/Barcus en 1920 dans la maison Coyos. Ils étaient deux frères et deux sœurs. Il passa sept ans à l’école, jusqu’à l’âge de quatorze ans. Ensuite il commença à travailler dans l’agriculture, à la maison. Ses sœurs apprirent à coudre et à cuisiner. (06:00”) Puis la guerre éclata. Il y avait aussi d’autres jeunes de Soule. Entre Basques ils parlaient en euskara. Quand il rentra à la maison il se consacra à l’agriculture. La guerre dura jusqu’en 1945 : peu de nourriture, du pain noir… Les Allemands de la guerre. (12:55”) Durant la guerre il n’y avait pas de fêtes dans le village. Quand elle se termina en 1945, une grande fête fut célébrée. Il avait alors vingt-cinq ans. Par la suite, il s’est toujours consacré à l’agriculture et il a vu l’évolution. Il avait aussi des brebis et en été il les emmenait au port. Il se maria en 1954 alors qu’il avait trente quatre ans. Il a eu cinq fils. |
IC-016a | A06 | euskara - travail | |
IC-016a | A07 | fêtes | |
IR-014a | A04 | grammaire: lexique | |
IR-023d | A04 | lin - métiers: tisseuse | |
IR-020 | A04 | ||
IR-020 | A06 | travail: | |
IC-002b | A02 | euskara: disparition | |
IC-003a | A03 | ||
IC-012 | A09 | ||
IC-006a | A04 | ||
IC-001 | A01 | Il travaillait aux champs et en forêt avec les vaches. Son père aussi travaillait en forêt avec les vaches, il faisait du bois pour les maisons. Les radeaux passaient sous le pont. | |
IC-001 | A12 | Ses enfants viennent une fois par an, en été. En été et durant la semaine sainte, beaucoup de gens viennent au village. Elle regarde la messe à la télévision. Maintenant les femmes ne vont plus travailler la pomme de terre. Elle n’a pas connu la messe en euskara parce qu’aucun curé ne savait l’euskara. Ils n’ont jamais manqué de nourriture, ils n’ont pas connu la misère. Elle alla à l’école jusqu’à l’âge de treize ans. | |
IC-001 | A14 | Elle lit seulement le catéchisme et les grands titres du journal. Maintenant toutes les maisons sont aménagées et ont une salle de bains, mais ce n’était pas le cas jusqu’à très récemment. Avant, on vendait seulement le vin dans une certaine ferme et il est arrivé que les hommes se réunissent là-bas et jouent au mus. A Otsagabia, il y a beaucoup de gardes civils. Ils n’ont pas eu de problèmes avec eux. Ses parents parlaient toujours en euskara. Nom et âge de la locutrice. | |
IC-002c | A04 | Avant les hommes touchaient quatre pesetas pour chaque journée de bêchage. Par la suite vint le brabant et plus tard le tracteur. Elle n’a pas utilisé la houe, mais son mari si. Elle fit la connaissance de son mari en se promenant, au bal et à l’église. Un fils est resté à la maison, les autres ont dû partir parcequ’au village il n’y avait pas de travail. La famille se réunit à l’occasion des fêtes. Elle passe l’hiver à Pampelune. Avant ils mangeaient du cochon. Dans le village, il y avait trois ou quatre tueurs, ils tuaient le cochon en novembre. | |
IC-003c | A04 | Il a toujours été berger dans la montagne depuis l’âge de cinq ans. Il est resté peu de temps dans le village. Dans les fêtes, quatre ou cinq danses et terminé. Il a toujours bien mangé et a bu peu de vin. Il a peu fréquenté les filles. | |
IC-004a | A02 | Ils allaient souvent en France car son mari avait de l’argent là-bas. En France ils achetaient des choses pour la maison. Les gardes laissaient passer la vaisselle mais pas les vêtements, c’est pourquoi ils les amenaient en contrebande. Quand son mari mourut, un homme dans lequel il avait confiance la laissa sans l’argent de son mari et elle se trouva dans une situation économique difficile. Elle-même passait de la farine en contrebande pour la maison. Elle a tenu un bar. | |
IC-016b | A01 | (Ils parlent très bas) Le bétail et les travaux de la ferme. Ils vivent de l’élevage. Ils font du fromage de brebis. Avec leurs enfants ils parlent toujours en euskara. Maintenant ils sont en train de faire les foins. Le mot “barautsi” (prendre le petit-déjeuner). Le jardin et le lait sont pour la maison. Ils vont à Pampelune ou à Huarte faire les courses pour toute la semaine. A la maison ils tuent quelques brebis ou agneaux. Ils apprirent le castillan à l’école. Ils s’expriment mieux en euskara. Ils faisaient du charbon et le transportaient à dos de mulet jusqu’à Pampelune. Les femmes aidaient à décharger les sacs dans les rues, et ce qu’elles touchaient pour ce travail servait à leurs dépenses. A Iragi on estime l’euskara mais pas à Eugi. A la maison ils parlent toujours en euskara. A Esteribar l’euskara s’est perdu. L’euskara qu’ils apprennent à Pampelune est difficile. Le meilleur euskara est celui de Navarre. Avant à Eugi ils ne parlaient qu’en euskara, maintenant plus rien. Dans les villages voisins, on parle peu en euskara. | |
IC-017a | A05 | Il a fait plusieurs métiers. Il a été marin, deux mois après avoir embarqué, il se blessa. Il passa quatre-vingt jours dans un hôpital à l’étranger. Dans le village, ils faisaient des travaux agricoles et de l’élevage : s’occuper des juments, des cochons, des vaches, des brebis ; et cultiver le mais et le blé. Le travail était dur mais ils le faisaient avec plaisir. Tout se faisait à la main. Avec les filles, ils étaient timides. Il a aussi travaillé en forêt à faire du bois et à ramasser les feuilles mortes pour faire du compost. Il a connu la fabrication du charbon, mais il n’a pas travaillé dans ce secteur. | |
N-001 | A01 | Son nom et son origine. Ils vivaient de l’agriculture et de l’élevage. Quand elle était petite, en sortant de l’école ils allaient au fronton jouer au point. Elles étaient en concurrence avec les garçons pour voir qui prendrait le fronton le premier, et les filles gagnaient toujours. Ensuite, elles aidaient à la maison et allaient au rosaire. De là elles sortaient jouer, et ensuite rentraient à la maison pour le souper. Au fur et à mesure qu’elles grandissaient, on les emmenait aider aux champs ou s’occuper du bétail. Le dimanche elles allaient à la messe et l’après-midi, se promener sur la route. | |
I-054b | A01 | Un frère de la locutrice travailla pour les chemins de fer de la Bidassoa. Les frères de la locutrice sont morts. Un parent alla voir la sœur que la locutrice avait en Amérique. Sur le coup de l’émotion la sœur fit un infarctus et mourut peu de temps après. La locutrice a été couturière. Elle est allée à l’école des religieuses. Dans cette école, il n’y avait pas de garçons, seulement des filles. Dans l’atelier de couture, on lui donnait une peseta par jour, et en plus un petit-déjeuner, le repas de midi et le goûter. Chez ses parents, ils étaient dix, ils étaient locataires. Elle se maria à trente ans, elle eut quatre enfants, dont un qui mourut. | |
N-004 | A03 | Arantza est le village de Navarre qui a le plus de fermes. A une époque, beaucoup de gens partaient à l’extérieur travailler, en France, à Paris, au Pays basque français ou dans les Landes. Quand l’usine de laminage fut construite, les gens y entrèrent pour travailler et ils ne dûrent plus partir. Presque tout le monde à Arantza est bascophone et parle l’euskara. | |
N-008 | A01 | Présentation. Ils font le fromage à la maison. Ses parents étaient toujours dehors parce que sa mère vendait du fromage en Gipuzkoa et son père était camionneur. Quand elle était petite, c’est sa grand-mère qui s’occupait d’elle. A l’école, ils parlaient toujours en castillan, mais dans la rue en euskara, parce que le curé faisait tout pour que l’euskara ne se perdît pas, c’est ainsi que l’euskara a pu être conservé à Arbizu. Quand elle avait treize ans, elle vint étudier à Pampelune et depuis lors, c’est là qu’elle vit. Elle vend du fromage au marché municipal. Elle est mariée mais son mari n’est pas bascophone. Ils ont deux filles qui vont à l’ikastola. Dans le village de son mari, à Ihabar, ils ont unemaison où ils passent l’été. A Ihabar l’euskara a disparu en quelques années, mais maintenant les enfants apprennent en euskara au collège d’Irurtzun. | |
N-041a | A01 | Vie à la ferme. Enfant, il devait aller à l’école en parcourant à pied trois ou quatre kilomètres. De retour de l’école, il aidait à la maison en donnant à manger aux animaux. Le dimanche, il allait à la messe avec des chaussures en mauvais état jusqu’à la porte de l’église, et là il mettait les bonnes chaussures. | |
N-048 | A01 | Elle aimait l’école mais y alla peu parce qu’elle devait aider à la maison. Ils avaient peu de choses mais vivaient heureux. Le moment de distraction, c’était après le rosaire, quand les garçons et les filles se retrouvaient. A cette époque, il y avait plus de joie et on donnait plus de valeur aux choses. Elle a toujours aimé s’habiller et bien se préparer. Elle est reconnaissante envers sa mère parce qu’elle était très exigeante quand il s’agissait de nettoyer la maison. Elle aimait beaucoup aller aux fêtes, mais elle devait d’abord terminer les travaux de la maison et ceux des champs. | |
N-058 | A01 | Elle commença à aller à l’école à six ans et la quitta à quatorze ans, parce qu’elle devait aider à la maison. Les tâches quotidiennes : se lever, arranger la maison, aider son père avec le bétail ou aux champs. Ses parents étaient très stricts et il fallait toujours leur obéir. Elle se maria à l’église de Leitza, après être restée fiancée pendant quatre ans. Ils allèrent trois jours à Pampelune en voyage de noces. Ils eurent six enfants et onze petits-enfants. | |
N-062 | A01 | Présentation : nom et lieu de naissance. Où se situe Lizarraga. Lizarraga est la capitale d’Ergoiena. Il commença à aller à l’école à l’âge de cinq ans. Il alla à Pampelune étudier pour le baccalauréat. A Pampelune, il étouffait parce que les appartements lui paraissaient petits et qu’il ne pouvait pas jouer dans la rue. Quand il était au village, ils jouaient sur le fronton et dans la forêt. | |
SM-012a | A02 | A Abaurrepean, on cultive la pomme de terre, le blé, l’orge et beaucoup d’herbe. Il y a beaucoup de vaches, mais ils ne vendent pas de lait, ils font de l’élevage de veaux. Peu de gens vivent au village. Des familles entières ont émigré à Pampelune et il n’y a pas de filles parce qu’elles ne veulent pas rester au village. | |
SN-002a | A05 | En rentrant de l’école, elles allaient au ruisseau laver le linge. Elles n’avaient pas le temps de jouer. Le dimanche, elles rentraient à la maison avant la tombée de la nuit. | |
I-051 | A01 | (On entend faiblement) Il est d’Ezkurra et vit sur place. Il se consacre aux travaux de charpente dans le bâtiment. Il restaure des maisons anciennes. L’équipe est composée du père et des quatre frères. En fin de semaine et durant l’été, il aide à faire le jardin et les foins à la maison. Le village est en train de se vider, les jeunes vont vivre à l’extérieur, il n’y a pas de magasins. Il aime beaucoup aller à la chasse. Rares sont les palombes qui passent depuis qu’ils ont installé les moulins à vent. | |
I-045 | A01 | Le père mourut jeune à cause du typhus. Ils avaient une modeste boutique et le père encaissait les taxes. Il alla à l’école. Il se maria à la maison pour rester avec sa mère. La dispersion des frères et sœurs quand ils grandirent. A l’école tout était en castillan. | |
N-077 | A01 | Présentation. Bien que née à Iruñea-Pampelune, elle passa environ dix-huit ans à Elbete. Là-bas elle travaillait à faire les foins, à soigner le bétail et à trier le mais. Au début, dans le village on la considérait comme une étrangère, et ensuite, à 22-23 ans, quand elle repartit à Iruñea-Pampelune, on la considéra comme une paysanne. Etant donné qu’elle avait passé beaucoup de temps dehors, au soleil, elle était brune de peau, et on l’appelait “gitane” à Iruñea-Pampelune, et “belarrimotza” (oreilles courtes, sobriquet méprisant utilisé dans la montagne pour désigner les étrangers) à Elbete. Il n’y avait pas de distractions, mais ils en profitaient bien pendant les fêtes. Elle préfère les fêtes d’Elbete à celles de Pampelune. Elle conserve des amis au village, mais maintenant elle parle en castillan avec eux. A l’école les enfants de tous les âges étaient dans la même classe avec la maîtresse. L’euskara unifié est différent et elle ne le comprend pas, peut-être que la langue unifiée est mieux. | |
N-002 | A01 | Présentation. Sa mère mourut lors d’un accouchement. Ils étaient paysans. (A partir de 3’15” et jusqu’à 6’35” il y a beaucoup de bruit). Un homme riche du village amena au village un instituteur et une institutrice qui étaient fiancés. Les garçons étaient dans une école avec le maître, et les filles dans une autre avec la maîtresse. Elle eut deux prétendants, celui qu’elle choisit alla se présenter à son père. Ils allaient dans les fêtes des villages environnants, à pied, et à la tombée de la nuit, ils rentraient à la maison. Ils dansaient seulement des jotas. | |
II-176b | A01 | Présentation. Quand il avait 13 ans, il partit à Esnazu et à 24 ans, en Amérique. Il vit là-bas et de temps en temps, il revient à Urepel. Le mode de vie des paysans d’autrefois : tout se faisait à la main car il n’y avait pas de tracteurs. | |
ATBO-001 | A01 | jeunesse - infancia | |
ATBO-001 | A02 | eau - hygiène |