religion: curés [20 resultados]
Document | Fragment | Otros temas del fragmento | Sumario |
D-052 | A03 | grammaire: titre de beroriketa | On s’adressait aux curés d’une manière particulière. Il est fait mention de l’utilisation de la 3ème personne ("berorika") mais il n’y a pas d’exemple. |
D-062 | A14 | L’église n’a pas été réformée. Bien qu’aujourd’hui encore on respecte le curé, autrefois on le respectait bien davantage. Il y avait toujours au moins deux curés qui se relayaient. | |
I-017 | B04 | Ils sont très satisfaits du curé. Il est bascophone. Ils le comparent à son prédecesseur. | |
I-020 | A07 | divers | Ils parlent du curé de là-bas. C’est le même pour plusieurs villages.Le cloître du village. |
I-037 | B11 | divers | Autrefois, il fallait donner des présents aux curés, aux instituteurs et aux médecins. Ceux qui donnaient étaient les propriétaires, pas les locataires. |
I-080 | A05 | divers | Ils rendirent hommage au curé. |
SM-011 | A29 | Le curé qu’il y avait avant dans le village et qui fut renvoyé, Pérez de Obanos, était d’Ibero. Celui d’Arraioz était Juan Etxenike. Un autre était José Luis Elcano. | |
I-010 | A10 | anecdote | Le curé est de Lizaso, très humble et bascophone. Ils parlent d’autres curés. L’autre jour Orreaga fit la connaissance des curés d’Arrarats et Lizaso. Anecdote. |
I-008a | A5 | A propos du curé : il est d’Itsaso, mais il y a trente six ans qu’il est au village. Il ne sort jamais de chez lui et ne parle jamais à personne à l’exception des domestiques. Les curés précédents étaient avec les gens du village, il y en avait même un qui jouait à la pelote avec les jeunes. Quand elle était jeune, elles se mettaient sous la soutane du curé, et lui était content. Le curé actuel n’a même pas de télévision et elle se demande ce qu’il peut bien faire toute la journée chez lui. | |
I-007 | B12 | A Igoa il n’y a pas de curé, c’est celui d’Arrarats qui s’y rend. Le dimanche ils n’ont pas de messe. Maintenant il y a des voitures mais avant le curé allait à pied. | |
I-007 | A3 | Le curé d’Arrarats. Dans ces villages on voit de nombreux curés en soutane. | |
I-007 | A5 | Le curé qu’ils ont ne sort pas de la maison et ne parle pas avec les gens du village. Le curé d’avant avait un jardin et des abeilles. Et il avait l’habitude de pêcher et de chasser. | |
I-007 | B1 | Le curé ne les laissait pas danser enlacés. Le curé du village d’Orreaga fit une fenêtre dans l’église pour voir les filles quand elles allaient se promener avec les garçons. S’il voyait une fille, le jour suivant il refusait la communion à sa mère. Si elles se faisaient des tresses, le curé leur débitait un sermon parce qu’elles étaient trop jolies. Maria raconte comment le curé leur disait qu’elles détruisaient le village. | |
I-016b | A03 | anecdote - ville | L’homme sonne les cloches à six heures et ils entrent à six heures et demi. Les personnes qui se rassemblent à la porte de l’église. Ils ont connu six curés. Il donne des explications à propos des six. Il y a cinquante ans, il y avait plus de trois cents habitants dans le village. Lui en a vu mourir une centaine. Anecdote :le même jour il y eut une communion et un décès. |
I-041 | B07 | Le curé vivait dans le presbytère. Il avait une servante. A présent, c´est le curé d´Ilurdotz qui va au village. Il a un neveu curé à Gasteiz-Vitoria. | |
IC-015b | A12 | Personne n´est satisfait, tout le monde se plaint. Maintenant ce n´est plus le cas, mais avant, le curé avait beaucoup de pouvoir. Autrefois, les anciens étaient très respectés. Maintenant, il n´y a plus aucun respect. | |
II-069a | A01 | école | Présentation : le locuteur passa toute la période de la guerre prisonnier et il connut alors l´ancien président Mitterrand. (01:46") Il naquit en 1907 à Ozta. Il alla à l´école jusqu´à l´âge de douze ans. Le père était soldat et comme ils étaient six frères et soeurs, il dut laisser l´école. Ils étaient paysans et avaient des brebis. Dans le village, ils étaient quarante quatre enfants. Ils jouaient à la pelote. Ils devaient parler en français. Tous suivaient le curé. Il a de bons souvenirs de l´enfance. Mais jamais il n´apprit à danser, ils jouaient seulement à la pelote, parce qu´ils devaient servir le curé et celui-ci ne les laissait pas danser. |
II-078b | A01 | divers | Présentation : Le père Iratzeder parle du père Lertxundi. (02:15") Le père Lertxundi était de Ciboure. Son père d´Orio et sa mère d´Ascain. Les arrière-grands-mères de leurs deux familles (du père Lertxundi et du père Iratzeder) étaient parentes. Quand il avait dix-huit ans, Lertxundi décida de se faire ordonner. Ils l´envoyèrent à Jérusalem et il y resta six ans. Il était déjà musicien. Il étudia les vieux chants de là-bas. Il revint en 1939. Ici aussi il commença à recueillir les chansons de village en village. En 1947, il publia son grand livre "Kantikak" (Cantiques). Il repartit à Jérusalem et y resta cinq ans. A son retour, il fit la Passion. |
IC-005a | A06 | Les curés disaient toujours comment ils devaient se comporter les uns envers les autres, et ils se respectaient vraiment mutuellement, à présent ce n’est pas ainsi. | |
X-007b | A01 | Comment le locuteur est devenu prêtre. Etudes préalables et activité professionnelle. Etudes à Rome. Les nouveaux curés vont généralement à Rome étudier parce que les professeurs du séminaire du diocèse de Pampelune sont âgés. Le locuteur obtint à Rome d’être licencié en théologie fondamentale et à présent il prépare la thèse de doctorat. |