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Guerre civile [23 resultados]

Document Fragment Otros temas del fragmento Sumario
D-003 A17 carnaval - Sanfermines En raison de la Guerre Civile, Carnavals et fêtes de la San Fermin furent suspendus
D-016 A01 euskara Souvenirs de l’époque de la Guerre Civile: situation familiale, faim, situation de la langue basque, rôle de l’église, école.
D-016 A02 anecdote Anecdote se rapportant à l’époque de la Guerre Civile: ils jouaient du tambour à la porte de l’église habillés en soldats.
D-016 A03 Guerre civile - souvenirs, mémoire A la Barranca et Arbizu il y avait des volontaires carlistes. Bons souvenirs de la guerre.
D-016 A05 Jose Arbizu commence. Il fut volontaire durant la Guerre Civile.
D-016 A06 anecdote Souvenirs de la Guerre Civile: ils s’échappèrent. Quelques anecdotes.
D-016 A07 chanson Chanson de l’époque de la Guerre Civile (en castillan).
D-028 A01 La Guerre Civile ne changea pas Arantza, puisqu’aucune action de guerre ne parvint jusque là.
D-035 A04 moulin Histoires de la Guerre Civile. Ils ne souffrirent pas de la faim étant donné qu’ils possédaient un moulin.
D-035 A05 contrebande - anecdote - moulin - faim Anecdote datant de l’époque où ils faisaient de la contrebande. Objets passés en contrebande. Eux aussi souffrirent de la faim car les derniers moulins furent fermés. Il partit comme soldat à l’âge de 20 ans.
D-035 A08 anecdote - faim A présent Encarnacion débute sa présentation. Comment elle vécut pendant la Guerre Civile : à sept ans, ils durent l’emmener dans une autre ferme. Anecdote se rapportant au moment où ils retournèrent à l’école. Ils affrontèrent la famine en rassemblant de la nourriture entre tous.
D-043 B01 anecdote En revenant de Ronceveaux, au col d’Ibañeta, il rencontre quatre chanoines et il leur dit ce que le secrétaire de Ziordia avait fait. Ce qui advint lorsqu’il posa seulement un genou à terre durant la messe. Histoires de la Guerre Civile. Le bâton servait de siège, de bâton et pour tirer des coups de feu.
IR-007 B02 guerre: soldat Les soldats étaient dans les maisons jusqu’à ce qu’on leur fît des baraques, mais les filles du village ne voulaient rien savoir d’eux. Durant la guerre il y eut aussi les volontaires carlistes.
M-005 A06 l fut soldat pendant sept ans. D’abord à l’époque de la guerre civile et ensuite il fut aussi sur le front des Asturies, à Valence, Madrid, Cartagena… Il a un très mauvais souvenir de la guerre.
I-066a A7 Ils préféraient mourir que tomber entre les mains de la Garde Civile, car ils leur infligeaient de sévères corrections.
II-110b A01 Seconde Guerre Mondiale Présentation. (02:00") Il naquit à côté de Bilbao en 1931, mais à cinq ans il dut partir de là. D´abord ils partirent à Bilbao en laissant leur mère là-bas, à Santander. De là dans un bateau transportant du charbon, ils arrivèrent à Bordeaux. De là, eux partirent au Pays basque, à Donibane Garazi-Saint-Jean-Pied-de-Port. Les trois frères partirent ensemble. Sa mère de Bilbao se rendit à Santander et de là, en Normandie. A Bilbao entrèrent d´abord les Marocains. Ensuite, les Allemands furent là-bas, ce sont eux justement qui bombardèrent Gernika et les alentours. Quand ils entrèrent dans sa maison à l´époque de Franco, peut-être parce qu´il y avait un drapeau basque sur la porte, ils jetèrent toutes les choses par la fenêtre. La même chose arriva chez ses grands-parents. Ils arrivèrent à Donibane Garazi le jour de la Saint Jean. Ils étaient six enfants quand ils arrivèrent à la Citadelle. Là il y avait une quinzaine d´enfants. Pour s´en occuper, il y avait des médecins, des infirmières, des instituteurs et autres. Les plus petits étaient comme lui, ils avaient cinq ans et les plus âgés avaient dix-sept ans. Quand Franco entra, celui qui était président d´Euskadi, Aguirre, organisa tout pour faire sortir les enfants et les vieux du Pays basque. Lui et son frère restèrent deux ans et demi à la Citadelle. Ceux qui furent là-bas se réunissent une fois par an pour faire un repas. (14:30") Durant la guerre, 34 000 personnes quittèrent le Pays basque pour d´autres pays européens, ils envoyèrent même des enfants en Russie. (15:45") La Citadelle n´était pas un endroit aménagé, il n´y avait ni eau ni lumière. A l´époque des Allemands, ce fut une prison. Les petits pouvaient étudier aussi en euskara et en castillan. Il alla ensuite à Getaria-Guéthary et là, il étudia dans la première ikastola. A la Citadelle, il n´y avait pas de mauvais traitements et lui, en plus, avait un frère aîné. Le bombardement de Gernika eut lieu le 26 avril 1937 et eux arrivèrent à Donibane en juin 1937, et donc ils étaient dans leur village. Cette atmosphère est gravée dans la tête d´un enfant et maintenant chaque fois qu´il entend la sirène des pompiers, il se souvient de cela.
IC-016a A02 euskara
IC-001 A08 Pendant la guerre civile, il y eut beaucoup de misère. Son mari allait la nuit chercher du blé. Son mari et son beau-père furent dispensés d’aller à la guerre.
IC-006a A10 La guerre civile. Il ne souhaite pas à son pire ennemi d’avoir à aller à la guerre. La bataille du pont du Jarama.
IC-017a A03 L’oncle travaillait dans les Hauts-Fourneaux de Biscaye. La guerre le surprit ici, en vacances, et ils le fusillèrent. Il naquit en 1939. La guerre amena des conflits entre parents d’une même famille.
IC-017a A06 (Un autre homme entre dans la conversation). Pendant la guerre il fut à Tolosa, au mont Kalamua, à Arrate… Il avait du mal à comprendre les Biscayens, mais il comprenait bien le parler de Durango. A cette époque, il ne savait pas le castillan, maintenant il en sait un peu plus, mais il parle mieux en euskara. L’euskara le plus agréable est celui d’Etxarri et celui qui se parle de Zumarraga jusqu’à la région de Donostia/San Sebastian. L’euskara d’Oñati est confus et pas très agréable. Les Biscayens sont prétentieux mais ils ont bon cœur ; en revanche, les Guipuzcoans sont rusés.
IC-010b A02 (En fond, on entend des coups de marteau) Pendant la guerre civile il ne partit pas au front parce qu’il était l’aîné. Il n’a pas fait de contrebande. Dans la vallée de Erro, il n’y a pas d’avenir parce qu’il y a peu d’industries et peu d’artisanat. Les jeunes s’en vont travailler à Pampelune et à Zubiri.
N-058 A02 Pendant la guerre, le village se vida. Ils durent travailler énormément mais ils avaient de quoi manger.