Orreaga Ibarra
N-033
- Titre:
- Date d´entregistrement: 1998-5
- Propiétaire: Euskarabidea-mediateka
- Informateur / informatrice: Leire Zabaltza
- Chercheur / chercheuse: Nerea Garcia
- Thème principal: Discussion libre : histoires de famille, mode de vie, études, parlers d´Etxaleku et Amaiur.
- Temas: anecdote, études, euskara, euskara: différents dialectes, famille
- Vue autorisée: Libre
- Publication autorisée: Limitée
- Qualité du son: Normal
Ville | Dialectes | Cartes |
Fragment | Durée | Temas | Sumario |
A01 | 00:00:00 00:09:42 |
études, famille | Leire se présente elle-même, ainsi que sa famille. Sa mère est d’Etxaleku, de la maison Txurdanea. La grand-mère était d’une autre maison riche. Le grand-père était d’Amaiur. Il sortit du séminaire et travailla comme secrétaire. Finalement il résida à Etxaleku et comme il devait vivre quelquepart il fut pensionnaire à Mainmilinea, la maison de la grand-mère. Il se maria avec la fille de la maison et ils partirent vivre à Txurdanea. Ils eurent neuf enfants, sa mère était la troisième.Aujourd’hui à Etxaleku ils ont seulement les grands-parents et un oncle, qui est maintenant le secrétaire. En dehors d’un qui vit à Valencia et un autre à Renteria, les autres vivent à Pampelune. Dans le village, le grand-père était secrétaire et la grand-mère avait un magasin, c’est pourquoi ils n’avaient ni bétail, ni terres. Tous les enfants étudièrent. De temps en temps ils se rassemblent tous dans le village, mais la grand-père est âgée, chacun apporte quelque chose à manger. Leire a deux autres frères, elle est l’aînée et elle étudia la philologie hispanique et la philologie basque. Fermintxo, le frère, étudia la pédagogie en euskara. Mais ce qu’il aime, c’est dessiner. Eñaut, l’autre frère, commença comme forestier mais ne termina pas. Ensuite il a été ici et là. |
A02 | 00:09:45 00:11:45 |
euskara: différents dialectes | On remarque une différence entre l’euskara d’Etxaleku et celui d’Amaiur (grand-mère et grand-père). Le grand-père a vécu durant de nombreuses années à Etxaleku et il a perdu beaucoup, mais on se rend compte qu’il est de l’extérieur. Il a perdu la forme “erran” (dire) et a pris le son fort de la “j”. Mais il dit toujours “bertze” (autre), “amaina” (amarena : de la mère). |
A03 | 00:11:45 00:15:00 |
anecdote, euskara | Son père est de Pampelune et les parents de celui-ci étaient hispanophones. La grand-mère était d’Etxauri et quand elle parlait en castillan elle utilisait quelques mots en basque. Le grand-père était de Garisoain. La grand-mère du grand-père était de Salinas de Oro et elle enseignait le catéchisme en euskara à une soeur du grand-père. Car il y avait des personnes bascophones à cette époque là à Salinas. |
Pista | Écoutez le fichier | Durée |
N-033-A | 21:07 |