Orreaga Ibarra
N-023
- Titre:
- Date d´entregistrement:
- Propiétaire: Euskarabidea-mediateka
- Informateur / informatrice:
- Chercheur / chercheuse: Xabier Lasarte
- Thème principal:
- Temas: anecdote, contrebande, euskara, ferme, mode de vie
- Vue autorisée: Libre
- Publication autorisée: Limitée
- Qualité du son: Mauvaise
Ville | Dialectes | Cartes |
Fragment | Durée | Temas | Sumario |
A01 | 00:00:00 00:01:18 |
euskara | Age. Il a toujours vécu dans le village. C’est là qu’il apprit l’euskara et il sait peu de castillan. La guerre débuta quand il était au collège et ensuite il est aussi toujours resté au village. |
A02 | 00:01:08 00:07:40 |
ferme, mode de vie | La ferme dans laquelle vivent les deux frères est celle de Larratz de Teretxe. Ils descendent au village une fois par semaine, avant ils y allaient plus souvent. Lui préfère la ferme. Les travaux de la ferme : le matin se lever, s’occuper des animaux, sortir le lait pour le laitier. Le travail est dur, mais autrefois il était plus dur car il n’y avait pas de machines. Les animaux sont ceux qui donnent le plus de travail. Maintenant il a seulement deux vaches et quelques poules. La vie à la ferme a beaucoup changé. Autrefois ils mangeaient des galettes avec du lait et utilisaient le système du troc. Il serait possible de vivre aujourd’hui uniquement de ce que donne la ferme. |
A03 | 00:07:40 00:10:15 |
contrebande | A l’époque de sa jeunesse ils ne faisaient rien d’autre que de la contrebande. Café, quelques bicyclettes, cuir, ferraille et objets de valeur. On gagnait davantage ainsi que de toute autre manière. Finalement cela allait jusqu’au fils du sergent. |
A04 | 00:10:15 00:12:40 |
anecdote, contrebande | Ils ne l’attrapèrent jamais, mais il lui arriva de tomber et de se casser la clavicule. Il y avait souvent des coups de fusil et ils tuèrent deux hommes. |
A05 | 00:12:40 00:14:51 |
contrebande | Aujourd’hui aussi cela se fait mais pas comme autrefois. Autrefois, quoi qu’il arrive, on leur payait au même prix ce qu’ils passaient. A l’époque des amandes, ils passaient des sacs qui pouvaient peser jusqu’à cinquante kilos. Ils ne passèrent pas beaucoup d’objets de valeur sur le dos, mais ils passèrent bien quelque montre. |
Pista | Écoutez le fichier | Durée |
N-023-A | 14:56 |