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Document | Fragment | Otros temas del fragmento | Sumario |
D-001 | A13 | échanges | Lesaka a beaucoup changé. Les femmes portaient le panier sur la tête, les gens conversaient dans la rue, ils ne se disputaient pas, il y avait davantage de solidarité. |
D-025 | A06 | village: Berroeta, situation | Les gens abandonnaient le village mais à présent il y a à nouveau des jeunes couples. Il parle de la situation et de la tranquillité du village. Aurevoir. |
EE-003a | A01 | route: neuve | Ils ont ouvert le tronçon de route qui passe en dehors du village d’Olague et plus personne ne passe par le village. La première voiture qui est passée par la nouvelle route. |
I-001 | A10 | Les villages de Basaburua Mayor et Basaburua Menor. | |
I-001 | A20 | Connaît-il des contes que racontaient ses parents… | |
I-001 | A09 | métiers: maire | Son père fut maire du village et de la vallée. Il circulait à dos de jument quand il devait se rendre aux réunions à Jauntsarats. |
I-001 | B11 | Maria parle avec une autre femme de certaines personnes. Elles parlent de ce que sont devenues des personnes qu’elles connaissaient et de leur santé. | |
I-001 | B13 | Elles parlent à nouveau d’autres gens. Un homme se mêle un moment à la conversation. Il se rendit à un endroit et il fit mauvais toute la semaine. Ils évoquent d’autres personnes. | |
I-001 | B14 | On est bien quand on est jeune et on devrait rester ainsi. Les bals d’une époque. Plus de cinquante personnes dansaient. A cette époque, on croyait qu’ils ne fallait pas sortir de la maison. | |
I-001 | B15 | plaisanterie - religion: foi | Maria parle avec l’homme du proverbe "Dieu étreint mais n’étouffe pas". Dieu aide ? |
I-001 | B16 | plaisanterie | Maria et l’homme se disputent à propos de fumer. |
I-001 | B02 | noms et prenoms | Sa mère naquit à Beruete. Les noms et prénoms de sa mère et sa famille. |
I-001 | B03 | Quand ils étaient petits, les parents ne racontaient pas d’histoires. Et même si la mère en racontait, elle-même ne les racontera pas. L’âge du père de la personne qui réalise l’entretien, où se trouve sa mère… | |
I-002a | A03 | La famille d’une femme qui mourut. Deux femmes demeurèrent à Burlada. | |
I-002a | A04 | Alimentation: Répas | Ont-ils rentré le foin ?(05.40”) Un homme qui fut hospitalisé, finalement il avait un cancer. Il n’a pas d’enfant. Ils racontent la dernière fois qu’il se trouva à la maison, il y a une dizaine d’années. |
I-002a | A05 | A présent, ils parlent de la tante Juana. Elle devait venir pour les fêtes de la San Fermin et du temps elle disait qu’en hiver il fait froid et en été trop chaud. L’âge de ses enfants. | |
I-002a | A07 | Seigneur | Santiago, celui qui fut son cinquième est mort cette année. Une de ses filles mourut d’un cancer en Amérique. A propos de sa famille. On faillit amputer Santiago des deux jambes, mais finalement ils ne lui en coupèrent qu’une.Saturnino fit de la contrebande, c’est lui qui travaillait et l’argent était pour Santiago. Ils étaient beaux-frères. Santiago avait une voiture, et celui qui avait une voiture à l’époque était un “monsieur”.Une fille de Santiago se maria avec un homme veuf. Avec ses revenus, il lui acheta sa fille. |
I-002b | B01 | Seigneur | Santiago disait que sa maison serait pour une de ses soeurs. Qu’il avait de l’argent et qu’il irait dans une résidence. |
I-002b | B03 | A propos de Maria qui prétend qu’elle veut aller dans une résidence et quand arrive le moment, qui ne veut plus. | |
I-002b | B05 | grotte | Ils ont parlé à la télévision d’une grotte qui se trouve dans les environs. Ils l’ont paraît-il agrandie, les sottises qu’ils font. |
I-002b | B06 | Julia, celle de Trampa vit à Auza. Un de ses fils et une de ses filles se sont mariés. | |
I-002b | B07 | Ils prennent le fromage et du vin et il y a quelques phrases à ce propos. Quelque chose au sujet d’une noce. | |
I-002b | B08 | Comment elle trouva Martine quand elle alla lui rendre visite à la résidence. Elle resta moins de temps qu’elle n’espérait. Elles ont le même âge, quatre-vingt deux ans.Autrefois, elle ne disait jamais son âge, elle avait toujours trente ans.martina lui raconta que Miguel avait fait pour ses petits-enfants. | |
I-013 | A02 | Autre enregistrement réalisé à Beruete. A propos de famille et de leurs maisons. | |
I-013 | A03 | A dix ans, il s’en fut vivre à Alkotz avec des oncles et ensuite il vécut à Lizaso. A propos d’une femme d’Alkotz, qui n’a pas appris le basque à ses enfants. | |
I-017 | A02 | Ils parlent de gens qu’ils connaissent tous. Ils font les présentations et lui disent dans quels secteurs travaillent leurs enfants. Ils entrent voir une maison qu’ils sont en train de restaurer. Ils voient le four, les escaliers, la cuisine, les chambres… | |
I-017 | A03 | Ils parlent d’un homme qui était domestique. Ils lui montrent sa maison: ils ont beaucoup de place, des meubles. Comment ils l’arrangèrent. | |
I-017 | A05 | maison | Le fils de l’une d’elles s’est fait une maison à Iraizotz, à mi-chemin de son lieu de travail et de celui de sa femme. |
I-017 | A06 | Ils lui disent d’aller leur rendre visite. Sa fille qui est enseignante voyage beaucoup. Elle travaille à l’ikastola d’Alsasua. | |
I-018 | B01 | Présentation muette. Ils ont toujours travaillé, ils n’ont pas étudié. Age. Une d’elles demeura avec le curé (Emilio Goldarazena) durant de nombreuses années. La plus jeune sort, l’autre non, en principe. Elle regarde la messe à la télévision et le curé vient à la maison lui donner la communion. | |
I-018 | B04 | euskara - famille: petits-enfants | Ils parlent de leurs petits-enfants. A la maison tous parlent l’euskara. A l’heure actuelle les jeunes sont différents. Elles n’allèrent pas à l’école mais elles savent lire. |
I-018 | B06 | Josu le petit-fils entre et ils parlent de lui avec lui. Il va à l’école d’Aranatz et parle très bien l’euskara. Il a huit ans et ses parents sont bascophones tous les deux. | |
I-018 | A01 | anecdote - accident | Le petit-fils parle des femmes, il dit qu’elles sont très travailleuses.Les vaches.L’accident qui arriva à un autre. |
I-020 | A01 | Ils parlent de personnes qu’ils connaissaient à l’époque où les enfants d’Engracia allaient à l’école, et qu’Orreaga connaît peut-être. | |
I-020 | A07 | religion: curés | Ils parlent du curé de là-bas. C’est le même pour plusieurs villages.Le cloître du village. |
I-021 | A02 | Ils évoquent la maison et Gerendiain : s’ils s’y sentent bien, si le village leur plaît. Les années passées là-bas. | |
I-021 | B07 | Elles n’ont jamais travaillé avec la quenouille. Cependant, certaines savent faire le fromage. Elles expliquent comment le fabriquer et le mot "gatzagia" (présure). Explication du mot "tripota". On le fait avec des tripes de brebis et elles expliquent comment le faire. | |
I-028 | A07 | A l’heure actuelle, c’est très différent. Il y a aussi des gens qui vont mal, mais il n’y a pas autant de problèmes pour manger. Le problème des appartements.Pourquoi ils ne se marièrent pas. Les mariés ne faisaient que travailler et ils n’avaient que de la misère. Eux sont célibataires et ils vivent bien. | |
I-028 | B03 | Les sept villages de la vallée de Anue. Les habitants de la vallée se réunissaient toujours à Olague. A dix-sept ans il se mit dans les "garçons". Le troisième et le quatrième jour ils allaient chercher des poulets et c’est une fille qui lui donnait. Ce sont eux qui payaient la musique. | |
I-028 | B04 | argent | A Ultzama il y a toujours eu beaucoup d’argent et de très grandes maisons. A l’époque il n’y avait pas autant d’argent qu’aujourd’hui. Ceux d’Ostiz ont toujours eu une réputation de goujats. |
I-029 | A04 | temps | Ils discutent du temps avec une femme qui vient d’arriver. Comment ils disent: pluie. |
I-029 | A08 | village: réputation | Ceux de Ripa étaient surnommés “kokoak”. Ceux de Beruete et de Basaburua avaient la réputation d’être des brutes. |
I-029 | B02 | Le nettoyage est l’affaire des femmes. La nuit de Noël on tuait le cochon et les voisins venaient aider, puis partager le repas. | |
I-030 | B02 | Ils évoquent la résidence et la musique du moment. Rénovation de la résidence. | |
I-030 | B03 | Sanfermines | Ils allaient aux fêtes de la San Fermin. |
I-030 | B05 | foyer du vieillards | Ils parlent d’une femme. La promenade qu’ils font. Le dîner et ce qui suit dans la résidence. Le temps qu’ils ont passé dans la résidence. Comment il a connu l’oncle d’Orreaga.La vieillesse dans la résidence et la façon dont on s’occupe d’eux. |
I-030 | B06 | Leurs noms et âges. | |
I-031 | A04 | chanson | Autres chansons: en jouant à la corde (en castillan). |
I-031 | B07 | Les mots dont ils doivent se souvenir. Quelques dictons et coutumes. | |
I-032 | A10 | plantes | Ils parlent d’une plante. On la prenait au printemps pour fluidifier le sang. Maintenant il n’y en a plus. |
I-032 | A12 | Il est placé contre les maisons et les bergeries, en guise d’abri. “Kurtxinberoa” | |
I-032 | A02 | Ils parlent d’un homme de Beruete. Les relations qu’ils avaient avec les gens de Beruete. | |
I-033a | B10 | Ils évoquent une fille qui fut institutrice. | |
I-033a | B05 | Le Gouvernement de Navarre leur envoie des cadeaux.La meilleure accordéoniste d’Espagne se rend à la résidence. | |
I-034 | A04 | grammaire: lexique | Dans quels endroits ils utilisent "gibela" et "aitzina" ou "atze" et "aurre" pour dire: derrière et devant. |
I-034 | B02 | fêtes: fête des retraités | A Alkotz fut organisée une fête des retraités. Messe, repas et bal. |
I-035 | A07 | Le mardi de la Semaine Sainte, l’an passé, ils cambriolèrent sa maison. Et cette année, le même jour, on dut l’emmener à l’hôpital pour une hémorragie. | |
I-037 | B11 | religion: curés | Autrefois, il fallait donner des présents aux curés, aux instituteurs et aux médecins. Ceux qui donnaient étaient les propriétaires, pas les locataires. |
I-037 | B13 | abattage du cochon | On tue le cochon dans deux maisons seulement. A présent, on tue les veaux. |
I-037 | B08 | grammaire: lexique - animaux - agriculture: herbes | Queue de cheval, "kurtxila"("kaskilak" (gousses de haricots), "nunu", coeur, "suge mahatsa"("suge aza"(?).Animaux sauvages, chasseurs, "pututxe"(belette, crapaud, "lutriak"(anguilles, brebis mérinos. Solives, piliers, moine, trous profonds.Vessie de porc, vessie humaine, luciole, se moucher, serviette, bécasse, étoupe. |
I-038 | A01 | Ils s’habillaient en noir la veille de San Lazaro (Saint Lazare). | |
I-038 | A11 | grammaire: lexique | Les différentes manières de dire “ciseaux” selon les endroits : là ils les appellent “piruxak”. |
I-038 | A07 | La Vierge de Belate. Le temps de la Semaine Sainte. | |
I-038 | B10 | Ils parlent de gens dont ils disent s’ils savent ou non l’euskara. | |
I-038 | B04 | Ils parlent de la résidence et de la proportion d’hommes et de femmes. | |
I-044a | A02 | Il apprit l’euskara avec son grand-père. | |
I-057a | A07 | euskara | Age: 77 ans.Il ne savait pas le castillan jusqu’au moment de commencer l’école. La mère était de là et le père de Berasain. Les deux soeurs aînées moururent jeunes. Le frère mourut à la guerre et aujourd’hui seuls restent Juanita sa soeur, et lui. Le grand-père était de Gascue et la grand-mère de Lizaso. |
I-060b | B07 | Histoires concernant quelques personnes. | |
I-071 | A07 | Il a dix-neuf petits-enfants. Il ne va plus avec les animaux. Avant il avait quelques animaux et il travaillait comme paysan. | |
I-080 | A04 | enregistrements | Les enregistrements réalisés et il demande qui il pourrait encore interroger. |
I-080 | A05 | religion: curés | Ils rendirent hommage au curé. |
I-080 | B02 | euskara | La situation de l’euskara à Ultzama : elle empire, seuls les personnes âgées le parlent. Peu à peu la langue disparaîtra.Une fois il alla à Bilbao dans la montagne et se trouva avec de nombreuses personnes qui parlaient des basques différents.Ils évoquent un homme qu’ils connaissent. |
I-095a | A02 | Ils leur demandent quels sont les objectifs des chercheurs. | |
I-095a | A05 | Il travailla avec des gens du Baztan. Les fêtes avant la guerre. Ils ne se souviennent d’aucune chanson ou devinette. | |
I-095a | A07 | maison: noms | Il doit y avoir une chanson en euskara et en castillan à jouer à la guitare.Il leur demande quelle réputation ont ceux d’Esparza.Ils commencent à dire, en castillan, comment était le village avant la guerre.L’homme dit qu’aujourd’hui on enseigne pas l’euskara local. Ils font allusion à un livre dans lequel on apprend le roncalais.Le jour précédent, ils ont discuté avec le frère du locuteur d’aujourd’hui. Ils leur expliquent ce qu’ils font avec leur travail et leur demandent leurs âges. Le nom de la maison est Maizterra.Aurevoir. |
I-095b | B10 | Il leur demande quel est selon eux l’euskara le plus facile. | |
I-095b | B12 | Avant davantage de gens venaient de France voir leurs familles. Travailler en montagne à la carrière. | |
I-095b | B18 | Les bascophones du village et des villages environnants. | |
I-095b | B09 | A Garralda on leur raconta l’histoire de Joanes Iriarte et il leur demande s’il n’existe pas une histoire semblabe dans le village: ils lui disent un proverbe moitié en euskara, moitié en castillan. | |
A11 | Il y a quelque chose qui ressemble à un moulin pour sortir les pierres.C’est le dernier moulin d’Irissarry. C’était un travail comme un autre, mais ils étaient connus dans le village, car la farine était quelque chose de fondamental. | ||
A13 | moulin à eau | La mare a été vidée et le moulin arrêté. Il a ouvert le débit pour l’autre moulin. Ils avaient la maison sur place.Durant la guerre ils avaient des contrôles. Les autres moulins cessèrent de fonctionner il y a longtemps et le sien il y a quinze ans. Personne d’autre ne sait le faire fonctionner, il disparaîtra donc avec lui. Tous les moulins ferment les uns après les autres.Aurevoir et remerciements. | |
IR-008 | A17 | En fin de semaine il a dû y avoir un accident et un jeune homme est mort. | |
IR-008 | A18 | courses | On a besoin de gens pour aider à faire les foins et personne ne sort. Demain commencent aussi les cours pour les femmes. Dernier appel. Si personne ne venait, on l’emmènerait à Ezcároz. |
IR-008 | A20 | temps: beau temps | Avec du beau temps tout est plus beau. Avec du beau temps commencent à sortir les aliments du jardin. |
IR-008 | A05 | Appel pour se rendre au dîner qu’ils ont préparé pour les retraités à Garaioa. Hommage sera rendu aux plus âgés, et il y aura de la musique. | |
IR-008 | A06 | Réunion de la radio et appel à tous ceux qui souhaitent devenir membres. | |
IR-008 | B10 | jeu: des ca | Ils commencent la conversation en parlant du temps. Il est très rare de voir un beau mois d’avril.(24.10") A propos du championnat de mus : Karmele participe. Le dimanche suivant ce sera à lui de jouer contre ceux d’Orbara. Ensuite les gagnants de chaque vallée devront jouer entre eux. |
IR-008 | B11 | vers: courses | Un cours d’improvisation a commencé pour les enfants. Aurevoir. |
IR-008 | B04 | Joseba sort dimanche prochain. Aurevoir. | |
IR-008 | B05 | Joseba sortit et il paraît qu’il est en vacances. | |
IR-008 | B07 | jour: de la radio | Ils parlent en forme d’introduction. La journée de la radio : ils allaient donner un cadeau à Regina, mais son fils dut le prendre car, une fois de plus, elle ne vint pas. |
IR-008 | B09 | Dimanche l’Aberri Eguna a lieu à Pampelune. A Valcarlos il y a aussi une jolie fête l’après-midi. Les cours aussi commencent la semaine suivante. Joseba a du travail à Pampelune. Aurevoir. | |
IR-012 | B05 | Ils interrogent la petite-fille sur sa vie : où elle naquit et où elle réside, son travail, ses relations avec le Pays basque nord. | |
IR-013 | A03 | Honoria a vécu à Aribe, Abaurrea Alta, Pampelune et Burlada. Les meilleurs souvenirs sont ceux d’Aribe, quand elle s’occupait d’enfants. Sa maison était un endroit très particulier "lagun maitea" (cher ami), les portes étaient toujours ouvertes. | |
IR-013 | B03 | Elle est malade mais très bien soignée. Elle envoie tous ses voeux à ceux de la vallée. | |
IR-013 | B04 | Elle pose différentes questions aux enfants qui vont nager à propos de la natation et d’autres activités qu’ils font. Chanson "Maritxu nora zoaz" (19.55"-20.42") | |
IR-015 | A05 | Quand elle était jeune à Aria il y avait bal, mais les filles ne faisaient pas la bringue et n’allaient pas aux fêtes de villages. Dans la maison Goiburu de Garralda ils faisaient magasin et pension, et elle alla y travailler. C’est là qu’elle connut son mari. | |
IR-015 | A06 | Elle est contente que les retraités reçoivent de l’argent sans travailler, parce qu’ils travaillèrent suffisamment. Elle est contente de sa vie et d’être capable d’être autonome. Ils récitent le rosaire pour les défunts. Aurevoir et remerciements. | |
IR-016 | B01 | Même s’ils sortaient la nuit, le lendemain ils devaient aller travailler. | |
IR-016 | B03 | Dans les fêtes elle dansait aussi avec les autres. Avant il y avait davantage d’habitants dans le village. Les familles étaient plus importantes, elles comptaient jusqu’à dix-douze enfants. | |
IR-018 | B02 | mariage | Il se maria à quarante ans. Ils voulaient attendre d’être riches, mais ils ne s’enrichirent jamais. Il continue à travailler parce qu’il se sent mieux. C’est lui qui s’occupe du jardin. |
IR-018 | B06 | Il perdit ses parents tout petit. Ils étaient six frères.Garralda fut complètement brûlé en 1898. Jeune, il n’eut pas beaucoup de temps pour jouer ni pour les fêtes, parce qu’il devait travailler. Au retour du service militaire il eut l’occasion de faire la fête. | |
IR-021 | A07 | religion | Il est content que ses petits-fils soient insoumis, pacifistes. Il est favorable à ce que le barrage d’Itoiz ne se fasse pas. Il pense que les jeunes d’aujourd’hui sont meilleurs qu’eux. Quand il était jeune ils avaient des querelles. La république arriva et chacun tira de son côté. Il espère dans les jeunes. Eux avaient foi dans la religion mais c’était surtout par peur. Il n’est pas facile d’accepter la jeunesse comme elle est à son âge. Aurevoir et remerciements. |
IR-023a | A01 | mode de vie - Guerre | Son nom et celui de la maison. Ils ont changé le repas du soir et la façon de danser. Ce qu’ils mangèrent ce soir là. Il débuta comme berger à six ans et ensuite travailla à Irati. Il travailla comme muletier avec six mulets transportant du charbon. Il fut trois ans à la guerre en Espagne, à Ceuta et Tetuán. Il fut aussi à Madrid. Il avait des taureaux et à la demande du gouvernement il alla à Madrid avec eux et y resta un an. Quand il rentra de la guerre, il se maria et se fit une maison et une bergerie. Il a été aussi à Paris. |
IR-023f | B07 | Quand il était jeune, ils se divertissaient mieux que les jeunes d’aujourd’hui. Avec plus de gaîté, en sifflant, en chantant même quand ils travaillaient avec le bétail. Aurevoir et remerciements. | |
IR-024a | A04 | Quelqu’un va très souvent jouer aux échecs. Elle a appris à jouer toute seule, sans l’aide de quiconque ni d’aucun livre. | |
M-007 | A01 | Ceux de Valcarlos clôturent les terres de leur secteur pour que les éleveurs de Baïgorry ne passent pas. Ils se plaignent de l’usage abusif que font certains. | |
N-067 | A03 | Ses soeurs étudiaient et l’une d’elles alla en Angleterre et se maria là-bas. L’autre partit à New York. Elle avait peur de sortir et se maria avec un espagnol. Sa vie changea beaucoup. Elle a vécu plus de vingt ans à Espinal et maintenant elle est fixée là-bas comme si elle était née sur place. | |
N-067 | A07 | Elle aime aussi les lettres mais elle n’en écrit que pour sa fille. Sa passion, ce sont les livres. | |
N-067 | B03 | Elle préfère Arnéguy à Espinal, car c’est son lieu de naissance. Le marché du lundi de Saint-Jean-Pied-de-Port. | |
N-068 | A05 | Ils parlent de l’âge. | |
N-072 | B01 | anecdote | Mode de vie, histoires de jeunesse : anecdote des fêtes de la San Fermin, ils allaient sans lanterne ni rien. |
N-072 | B02 | Ils parlent de quelqu’un qu’ils connaissent tous. | |
PP-001 | A01 | Ils évoquent quelques autres personnes. | |
PP-009 | A01 | Anecdotes concernant d’autres gens. | |
SD-004b | B04 | maison: noms | Ils parlent de connaissances communes. La nouvelle coutume de changer les noms des maisons. Age et santé. |
SH-003 | A01 | Nom, âge, comment il vit, l’infarctus qu’il eut il y a quatre ans, etc. A propos d’autres personnes. | |
SM-007b | B14 | Il a travaillé aussi dans le bois, mais il n’a jamais fait d’arcs. | |
SM-011 | A12 | Localisation des terrains des villages de la vallée de Burunda. Différences entre les baraques des différents villages : toutes étaient semblables, au début médiocres, elles s’améliorèrent par la suite. | |
SR-009 | B08 | Un jour ils lui dirent de ne pas s’aventurer à aller ramasser les haricots le lendemain avec eux; et bien sûr elle y alla. Au retour, il n’y avait rien de prêt pour le repas, car les grands-parents n’avaient rien fait. Ils avaient le téléphone public à la maison. Après avoir fait le repas, mangé et ramassé la table, elle restait seule à récolter les pommes de terre. Anecdotes survenues avec la femme âgée de la maison. | |
X-006b | A01 | religion: Adoration nocturne | Célébration du 50ème anniversaire de l’Adoration Nocturne d’Irurita. |
X-006b | A03 | LŽabbé Policarpo - publications | Publication des sermons du père Policarpo : "Hitz lauzko lanak" (en baztanais). Sa vie : études, travaux, voyages. |
X-023a | A01 | village: Baztan-Zugarramurdi | Il y a une discussion entre Baztan et Zugarramurdi sur l’appartenance de cinquante huit fermes et quelques terres communales. Le locuteur se sent de Zugarramurdi, c’est là qu’il est allé à l’école, mais il sait qu’il est de Baztan. Remerciements et aurevoir. |
I-033b | A5 | Il travailla d’abord dans une boulangerie. Ensuite le magasin fut vendu à un homme de Donostia-San Sebastian qui installa une scierie. Le même propriétaire installa aussi un élevage de bétail. | |
I-010 | A7 | Autre maladie qu’ont eu de nombreuses vaches vendues dans la région de Leon. | |
I-008b | B6 | Elles parlent de certaines personnes qui vivent dans un appartement. | |
I-008b | B3 | Elles parlent de quelques personnes. | |
I-008a | A8 | Le médecin ordonna un régime à quelqu’un. Il paraît que cette personne aimait beaucoup le fromage | |
I-008a | A9 | Les obsèques de son cousin médecin. Il y avait énormément de monde, la police était même là pour l’organisation. Au moment de la communion, ils chantèrent en basque. Il mourut d’une crise cardiaque. Son frère aussi était mort de la même manière. Ils parlent de sa famille. | |
I-008a | A6 | Le garçon a trente six ans et Maria se moque de lui et lui dit que sa jeunesse est en train de lui échapper et qu’il terminera comme la plupart des gens. Ils évoquent d’autres personnes. | |
I-008a | A1 | ||
I-007 | B4 | A présent elle préfère vivre en ville parce qu’au village il ne reste presque plus personne. Histoire d’une fille qui se marie. | |
I-007 | B7 | Ils ont rénové les rues mais elle n’aime pas le résultat. Elles sont plus propres mais maintenant il est très facile de glisser, on ne peut pas descendre avec des chaussures. | |
I-007 | A7 | Les jeunes qu’il y avait avant à Arrarats et autres histoires. | |
I-007 | A9 | L’institutrice était de Pampelune. | |
I-006 | B5 | Alors qu’ils commencent à fumer, ils passent à Maria, comme elle se trouve bien. Son avis sur Barcelone (où elle vit). Transport. Pour les personnes âgées tout est gratuit là-bas. Elle a quatre vingt trois ans, le huit décembre elle en aura quatre vingt quatre. Le médecin (une femme) lui dit qu’elle est comme une jeune fille. Autrefois ils ne savaient pas ce que c’était que de fumer. Qui fume dans sa famille. Ce que font ses petits-enfants, études et professions. | |
I-006 | A3 | Ils évoquent Jenovia Oskotz. Il l’enregistra et elle leur montra comment faire le fil, les couvre-lits et les fichus. Elle vit seule. | |
EE-005b | B1 | Son fils est prisonnier politique. Lui est d’Igoa mais il y a longtemps qu’il vit à Burlada. Il y a huit ans qu’il est en prison. Maintenant il est en grève de la faim, depuis dix-neuf jours. Dans quel était il se trouve. Il devrait y avoir davantage de soutien de l’extérieur. Manifestation. Pétition du père d’un prisonnier politique. Remerciements et aurevoir. | |
I-039 | B07 | Ils ont des vaches et ce sont les enfants qui les emmènent. | |
I-039 | B08 | contrebande | De là à Burlata, à pied, il faut compter trois heures par la montagne. Avant, là-bas, on pratiquait beaucoup la contrebande. |
EE-002b | B1 | Sorties en montagne : elles commencèrent il y a trois ou quatre ans. Au début, ils partaient seulement le dernier dimanche de la semaine culturelle de Basaburua. Plus tard, ils commencèrent à y aller plus souvent. Certaines excursions qu’ils ont faites réunissent des gens de Basaburua, Imotz, Bizkarreta-Gerendiain et Irurtzun, treize personnes. Le week-end prochain ils doivent aller à la neige skier. Ils iront à Arette. Tous ne savent pas skier. Lui commença à skier il y a treize ans. Il y a toujours plus de monde.Certains ont l’équipement mais d’autres le louent. Ils iront en voiture. | |
I-039 | B03 | Ils avaient des pommes de terre. Ensuite ils le vendirent au Gouvernement. | |
I-039 | B04 | A propos de gens qui vivent ou ne vivent pas à Ardaitz, Urniza, Gurbizar et Larraingoa, et des maisons de ces villages. | |
I-039 | A02 | Il fut soldat à Barcelone et bien que la ville soit belle, il ne vivrait pas là-bas. Il y resta trente quatre mois. Durant cette période, les autres accomplissaient les travaux de la maison. Il n’a pas appris l’euskara à ses enfants, mais il ne regrette pas. | |
I-039 | A03 | Ils allaient beaucoup à Ardaitz. Les noms des maisons d’Ardaitz. Seules huit personnes vivent encore là-bas. A Urniza, il n’y a plus personne. La maison d’Urniza n’était pas à lui, ils étaient locataires. | |
I-036 | A14 | euskara | A propos de l’euskara des uns et des autres. Le curé aussi est bascophone, d’Iraizotz. Avant on travaillait plus que maintenant. Dans le village il n’y a pas d’enfants. A Egozkue, l’euskara s’est perdu. A Iragi on parle encore euskara. |
I-036 | A12 | Son frère eut trois thromboses dans la tête, mais il est bien. Avec le curé aussi ils parlent en euskara. | |
I-036 | A01 | euskara | Elle parle euskara à la maison, mais les enfants ne l’apprennent pas. Elle a des parents à Lintzoain et à Bizkarreta-Gerendiain et elle avait coutume d’aller là-bas pour les fêtes. Elle s’y rendit à pied plus d’une fois, même seule. |
I-036 | A02 | Ils sont en train de restaurer l’église. | |
I-036 | A04 | Elle est célibataire et vit avec sa soeur et sa belle-soeur, la femme de son frère. Ils ont beaucoup de travail avec les vaches. Enclos. | |
I-036 | A05 | Ils parlent des maisons et des gens des alentours. | |
I-042 | A01 | Elle se présente ainsi que sa famille, ses parents, frères et soeurs. A la maison ils étaient nombreux et ils durent partir travailler. Elle fut servante durant neuf ans dans une maison à Aritzu et ensuite elle se maria à Burlata. | |
I-042 | A07 | Elle aimerait vivre dans le village étant donné que sa famille vit là-bas. L’année passée, ils se firent une maison. Chaque fois qu’ils ont des vacances ils vont au village. | |
EE-006c | A08 | A cette époque les gens bougeaient plus d’un village à l’autre. Ils se déplaçaient pour des parties de pelote, des fêtes, de la musique. Ils allaient à pied jusqu’à ce qu’apparaissent les bicyclettes. Ceux de Lantz ont la réputation de “sudur luze” (long nez). | |
EE-006c | A04 | Ils avaient souvent des altercations avec ceux d’Olague. | |
I-015 | A06 | foyer du vieillards | A propos de la discipline de la résidence (maison de retraite) de Gerendiain : elle doit être assez stricte. |
I-014 | A08 | A propos de certaines personnes. | |
I-014 | A06 | Ses enfants. Une de ses filles est professeur de musique. | |
I-026 | B05 | maladie | Ils ne savent ni lire ni bien compter et certaines choses leur posent des difficultés. Mais cela ne signifie pas qu’ils n’aient pas une bonne tête. Une fois, il lui arriva de perdre la tête et de rester ainsi un an : après avoir eu sa dernière fille, elle resta alitée durant neuf mois et demi. |
I-026 | B03 | anecdote - famille | A propos de ses neveux. Ils aiment beaucoup le village. Quelques anecdotes sur la famille : poissonnerie, études et autres péripéties. |
I-026 | A04 | médecine: intervention chirurgicale | Une femme fut opérée de l’oeil. Aujourd’hui elle a été à nouveau chez le médecin à Hendaye. |
I-026 | A05 | Dans le village seules deux maisons ont du bétail. Elle a six fils mais tous vivent à l’extérieur. En bas de sa maison se trouve l’école. | |
I-026 | A01 | Ils parlent de différentes personnes. Comment Orreaga est allée à Muskitz. | |
N-065 | A05 | ville | Dans le village, c’est après la messe et le rosaire que l’on se rassemblait le plus. L’oncle célébrait la messe l’après-midi et ensuite ils restaient à discuter. Elle alla vivre à Irurtzun quand elle se maria. Les différences entre le village et Irurtzun. Ce qui changea dans sa vie une fois mariée. |
I-016b | A04 | mariage | A propos d’une noce qu’ils célébrèrent dans le village. |
I-016b | A02 | Au sujet de Mezkiritz et Espinal. | |
I-011 | B05 | Le fils était en train de travailler et sa remorque s’est cassée. (L’homme va au rosaire). | |
I-011 | B01 | A propos d’autres gens. | |
I-011 | B03 | âge | A propos d’une autre femme : elle n’a plus tout à fait sa tête. Age. |
I-011 | A09 | Au sujet de la vie personnelle d’Orreaga. A propos des architectes. Maintenant les maçons ont plus d’argent que les architectes. | |
I-011 | A03 | A propos des garçons qui installèrent le bar. | |
I-011 | A02 | nom: Orreaga | A propos du nom “Orreaga”. |
I-012 | A11 | A propos de la maison et du village. Un cheval mourut de la peste équine. | |
I-012 | A09 | Ils parlent du curé. Sa famille et autres histoires. La famille Errandonea d’Itsaso. La femme colombienne. | |
I-012 | A01 | euskara | Qui parle en euskara et avec qui. Au sujet d’une famille qui avait coutume de parler castillan à la maison. |
II-001a | A03 | métiers: charbonnier | En plus de travailler le charbon, il fit aussi du fauchage. Ensuite il recommença à travaille le charbon. Il fit une petite meule à charbon pour montrer aux enfants. |
I-073a | A08 | enregistrements | A propos des enregistrements qu’ils ont faits. Qui ils enregistrèrent à Ilarregi. |
I-016a | A01 | A propos de l’euskara et des enregistrements. | |
I-024 | A01 | famille | Il parle de ses fils. Deux vivent à Pampelune. |
I-004 | B12 | ville - garçons/filles | Il y avait deux autres filles de son âge dans le village. Elles partirent avant elle travailler à Leitza. Tous ceux du village, garçons et filles, se retrouvaient ensemble, c’est pourquoi les filles n’étaient pas amies intimes. Amies oui, mais pas intimes. Il y avait d’autres filles plus jeunes qu’elle fréquentait lorsque les autres quittèrent le village, en plus de fréquenter les garçons. Le frère avait une fiancée depuis qu’il était très jeune et elle voyait bien qu’un jour ou l’autre il se marierait. Alors que ferait-elle au village ? Elle aimait étudier mais comme elle était la plus jeune fille, ils la retenaient. Elle resta au village vingt ans, et pleura quand elle partit parce qu’elle savait qu’elle ne reviendrait pas. |
I-004 | A01 | Orreaga raconte quelque chose sur quelqu’un qui fit un voyage. | |
I-023b | B07 | fêtes | Les fêtes d’Itsaso ont lieu à la Santa Cruz, le 14 septembre. |
I-023a | A09 | euskara | A l’école ils avaient toujours un instituteur hispanophone. Il y a beaucoup de personnes bascophones d’Ultzama à Villava et elle parle avec eux. |
I-023a | A04 | A propos des enregistrements d’Orreaga. | |
I-023a | A05 | Elle préfère vivre dans le village qu’à Villava, parce qu’il y a beaucoup de voitures et c’est plus dangereux. L’âge. Si l’on a de l’appétit, même à son âge on peut être bien. | |
I-023a | A01 | euskara | Elle naquit à Itsaso et elle a vécu là jusqu’à l’âge de douze ans. A présent elle vit à Atarrabia-Villava avec une de ses filles, mais elle sait peu de castillan. Les enfants de son fils savent l’euskara mais la père peu. Elle perdit sa mère quand elle était petite. |
I-005 | A09 | Le travail d’enseignante d’Orreaga. Elèves d’Itsaso.Les gens vont à Pampelune. | |
I-005 | A12 | école | Ils supprimèrent la taverne de Mezkiritz, mais les jeunes arrangèrent la société, et c’est très bien. A Itsaso il n’y a plus d’école, tous les enfants de la vallée vont à Jauntsarats. |
I-005 | B01 | La distance d’Irurtzun à Pampelune, et d’Ultzama à Pampelune. | |
I-011 | A01 | Orreaga raconte à Victoriano que quand elle alla à Itsaso elle alla à la société. | |
I-005 | B07 | élevage: vaches - voitures | Ils utilisent beaucoup de nourriture pour le bétail et dépensent beaucoup d’argent pour cela. Manger à l’extérieur coûte cher. Ils viennent de finir la traite des vaches à dix heures. Ils ont environt trois machines dans chaque maison. Lui vendit toutes les vaches qu’il avait quand ils l’opérèrent. Avant il accompagnait toujours le bétail en voiture. Maintenant il dort dans la voiture. Il eut un accident. |
I-005 | B04 | Il a beaucoup travaillé, mais il a aussi gagné de l’argent. C’est pourquoi maintenant, le moment est venu d’en profiter. | |
I-077b | B03 | Certaines plaisanteries sur l’enregistrement. Une des femmes qui est là est de Berastegi. L’interlocuteur est très bien conservé. | |
SN-007a | A06 | religion: San Urbano | Ils avaient de la dévotion pour San Urbano et ils allaient à Gaskue. Il soignait les rhumatismes et le 25 mai on faisait une fête. Elle n’avait pas coutume d’y aller, elle s’y rendit seulement quand fut inaugurée l’église. |
I-068a | A12 | euskara: basques | Il n’y a pas beaucoup de bascophones à Urritzola. Le village le plus bascophone d’Ultzama doit être Auza. Quelques bascophones des alentours. “Ils ont dû faire le travail” |
I-025 | B04 | Histoires du propriétaire et des maisons. Histoires concernant la santé. | |
I-036 | B06 | Avant ils n’avaient ni eau, ni lumière. | |
I-019b | A01 | euskara: basques | Elle dit sans cesse qu’elle ne sait pas l’euskara. A propos d’autres personnes bascophones. Son mari mourut il y a deux ans et Don José María l’emmena à la résidence. Il y a une autre femme d’Ultzama mais elle ne veut pas parler avec Orreaga. A propos des enregistrements et des personnes bascophones d’Ultzama avec lesquelles Orreaga pourrait s’entretenir. Elle rencontrera des gens d’Ultzama à la résidence de Gerendiain. |
I-056 | A14 | Il a attrapé un mauvais rhume. Son nom est Meltxor Bizkarrondo de la maison Lopitxenea. | |
I-056 | B08 | route | Maintenant les gens meurent par accident. Accidents de voitures. La route de Olague. A propos de certaines routes. |
I-046 | B02 | Ils cultivaient le blé, l´orge, l´avoine, la vesce. Trois jeunes filles sont venues avant poser des questions. Comment il dit : Je crois qu´elles vivent à Pampelune. | |
I-046 | B03 | souvenirs, mémoire | Ceux de cette maison étaient aussi "kutxagile" autrefois, le père et le grand-père. Quelques détails à leur sujet. Histoires de familles. |
SM-001b | A01 | Présentation d´elle et de son mari. Elle est originaire de Mezkiritz et son mari d´Irurita. Comment elle fit la connaissance de son mari, par l´intermédiaire d´une tante qui vivait à Bozate. Elle vécut douze ans à Irurita, trois ou quatre ans à Pampelune, et le reste du temps à Mezkiritz. | |
SM-006a | A01 | Les dialectes basques de Mezkiritz et d´Irurita. Fermin donne son nom et son âge. | |
SM-006a | A09 | La maison Martin Lorenzo était celle de Fermin. Mais elle s´effondra. Avant cela, la mère et la soeur moururent. La mère travaillait à nettoyer le linge pour les autres. Son père était un très bon travailleur et il travaillait toujours avec le père de Perpetua. Finalement, il perdit la tête. Fermin n´a qu´une fille. A propos de la vie après le mariage. | |
SM-009 | A01 | ville | Il a eu trois enfants. Felipe, le plus jeune fils, est marié et il a une fille. Le nom de la maison est Adamenea. Les plus vieux voisins du village. Des religieuses auraient fondé le village. Autrefois, il n´y avait pas de fontaine et un Basque de retour d´Amérique en fit installer une. A présent, l´eau des maisons vient de Lastur. |
SM-009 | A08 | Il avait vingt-cinq ans quand il apprit ces chansons. Maintenant il en a quatre-vingt huit. | |
SM-009 | A10 | service militaire | Ils tiraient au sort pour savoir qui irait au service militaire. Il devint obligatoire en 1912. Ensuite, il travailla à la maison, comme paysan. Ils ne faisaient pratiquement pas de contrebande. |
SM-009 | A11 | Il revint d´Amérique pour consoler ses parents. Ils rénovèrent la maison. Combien touchaient les ouvriers de chaque corps de métier par jour. La vie était dure à cette époque, car il n´y avait pas de machines. Les différentes espèces de vaches. Les chevaux. On gagnait davantage avec le bétail qu´avec la terre. Les gens tiraient de l´argent de la contrebande. Le brabant et la houe. Il a bêché deux potagers cette année. | |
SM-010a | A07 | charbon | Ses fils allaient faire le charbon. |
SM-010a | A10 | La maison s´appelle Eloi Iriarte. Estefania naquit à Abaurrepea. Elle apprit l´euskara dès son plus jeune âge avec sa mère. Son père était charpentier et maintenant ses fils sont charpentiers. | |
SM-010a | A12 | métiers: menuisier | Ils allèrent d´Abaurrepea à Agoitz. Les fils travaillèrent comme charpentiers dans une fabrique, mais ils souhaitaient se mettre à leur compte. L´aîné commença à travailler comme assistant avec un homme d´Erro et finalement il acheta l´atelier. Alors ils partirent tous vivre là-bas. |
I-041 | B01 | ville | On faisait le pain à la maison tous les huit jours. A présent, le village compte peu d´habitants et ils sont vieux. A propos de certains d´entre eux. |
I-041 | B03 | Bien qu´elle n´ait pas eu à tuer la brebis, il lui est arrivé de la travailler. | |
I-041 | B05 | anecdote | Elle n´a pas entendu parler de phénomènes étranges ou liés à la sorcellerie qui aient eu lieu dans le village. Durant la guerre, ils prétendirent avoir vu des maquis dans la forêt, mais ils ne passèrent pas par le village. Le médecin Samaniego allait au village. Ses frères naquirent à Pampelune. Sa mère fut malade et on l´emmena à l´hôpital. Avant, de nombreux enfants mouraient. |
I-041 | B08 | euskara | Différences entre les mots "mendia" (montagne) et "oihana" (forêt). Entrée, fenêtre. Le travail de sa fille. A propos de parents bascophones. Quand ils entendent parler en euskara dans la rue ils se retournent. |
I-091a | A01 | métiers: fabricant de cuillers | Son mari s´appelait Inozenzio et il était du village. La maison s´appelle "Moña". Inozentzio et Felipe faisaient des cuillères. Ensuite, Felipe partit en Amérique. Ils transportaient le buis à dos de mulet de Sakarte et de la région d´Aurizberri. Marcos aussi faisait des cuillères. |
I-040 | A04 | fêtes - tabac | Les fêtes durent quatre jours. Mais au village, il y a moins de jeunes à présent. A propos de certaines personnes du village. Le jour de la Fête-Dieu, deux couples allaient en France par la montagne. Là-bas ils dansaient. Il a toujours fumé, au moins un paquet par jour. |
I-040 | B03 | anecdote | Il connaît Mezkiritz mais pas les gens de là-bas. Le jour précédant les fêtes, ils laissaient les vaches sur la montagne Ipete. A A propos de certaines maisons et de certaines personnes du village. A propos de quelqu´un qui est en Amérique. A propos d´un couple qui se maria et eut des enfants déficients. Les mariages entre parents. |
I-048 | A07 | Il est en train d´oublier l´euskara. | |
I-048 | A08 | danse | Il dansait beaucoup. Et il gagna même quelques concours. Il y a sept ans, il fut hospitalisé. Ils lui firent subir un traitement et comme il prit plusieurs kilos, il ne peut plus danser. |
I-048 | A09 | élevage: bétail | Il a eu du bétail. |
I-048 | B02 | alimentation: café | Perpetua dit qu´ils récoltaient aussi le café. |
I-048 | B04 | corde | Bilurra : corde faite avec de l´osier. |
I-048 | B09 | maison: noms - métiers: médecin | Le docteur Samaniego avait la réputation de faire très mal. Deux cas. Il vivait à Bizkarreta-Gerendiain. Les maisons de Bizkarreta-Gerendiain. A propos de certaines personnes du village et des restaurations de maisons. |
I-048 | B14 | métiers: secrétaire - respect | Aujourd´hui, il y a moins de respect qu´autrefois dans les relations entre les personnes. Avant, on respectait beaucoup le secrétaire. |
X-031 | A01 | Les produits perdent son activité. | |
X-031 | A02 | Annonces d´achat et de vente. | |
IC-003b | A03 | Il a de l´arthrose à la hanche. | |
IC-015b | A01 | service militaire - temps | L´hiver a été rude cette année. Il est toujours resté au village, il a déménagé d´une maison à une autre quand il s´est marié. Il fit son service militaire à Zaragoza et Pampelune. |
IC-015b | A03 | Il connaît Donostia-San Sebastian et c´est très différent. Il a une soeur à Lesaka. Le temps est très rude en hiver. | |
IC-015b | A06 | La grand-mère est maintenant très âgée. (10.15") Ils sortent les patates de la terre. | |
IC-015b | A08 | Ils ont un chien de berger. Il n´y a pas de bar. | |
IC-015b | A16 | Ils évoquent Donostia-San Sebastian. A propos du mot "mina" (mal, douleur). | |
IC-015b | A20 | tabac - élevage: aliment | Il fume deux paquets de cigarettes par jour. Ce qu´ils dépensent chaque mois pour le fourrage. |
I-092 | A06 | Une maison aux coins rouges avait une fenêtre où résidèrent de nombreux libéraux et carlistes. Mais ils la supprimèrent. Il y avait une chocolaterie, mais ils la laissèrent aussi s´effondrer. | |
II-130b | A03 | dantzari | Martin était un très bon danseur. Il a même gagné quelques prix. Il se rendit à Barcelone avec Faustino. Ils apprirent aussi des danses souletines. Alors qu´il avait vingt-trois ans, il mourut de l´appendicite. |
SC-002c | A03 | Il a seize ans et il a appris l´euskara. Il joue de l´accordéon et connaît les danses de Luzaide. Il a un prix qu´il a gagné à Luzaide. | |
SK-006a | A02 | libre | Présentation du livre sur la toponymie de Pampelune. |
IR-014b | A04 | Pendant treize ans elle resta travailler dans un hôtel, quand elle était célibataire. Une fois mariée, elle cousait à la maison. Comment elle apprit la couture. | |
X-008e | A01 | clauses abusives | On trouve des clauses abusives dans de nombreux contrats. Exemples : contrats de téléphone, clauses qui refusent le droit à la dévolution pour un magasin, dans les contrats immobiliers… La loi en vigueur depuis 1994 et quelques exemples : les clauses qui créent l´inégalité, celles qui suggèrent des pénalités abusives, celles qui donnent au commerçant le droit de changer le prix… Selon lui, au moment de signer un contrat, les gens ne prêtent pas l´attention nécessaire à ces clauses. Le plus important est que les gens sachent qu´il existe une loi qui défend les consommateurs contre ces abus. |
X-015b | A07 | amendes | Là-bas, les sanctions pour conduite en état d´ébriété sont plus sévères. A propos des fêtes et de la société (association) d´Aniz. Là aussi, les Basques se réunissent dans certains endroits pour souper et jouer au mus. Ils parlent toujours de choses d´ici. Aurevoir. |
X-011a | A02 | mode de vie | Manuel passa trente six ans à la ferme. Ce n´était pas une bonne ferme et il partit travailler à Doneztebe. Agustin vécut à la ferme jusqu´à ce qu´il parte soldat, à vingt ans. Il partit à Santander préparer le service, et cela se passa bien. Au retour, il partit travailler, sa hache sous le bras, à Irati et dans les montagnes françaises. Ensuite il entra à l´usine. Il est célibataire. Margarita partit à quatorze ans travailler comme servante, à Doneztebe. Ensuite elle alla vivre là-bas. Felipe resta à la maison vingt-huit ans. Il se maria et ils ouvrirent un magasin à Doneztebe. Jusqu´à son mariage, il travailla dans la montagne. |
X-011a | A12 | société | Tous les matins, Margarita parcourt sept kilomètres à pied. Ensuite, elle fait les travaux domestiques et ils vivent tranquillement. Agustin a un jardin et il se promène, là et ailleurs. (74:00") Arkupe n´a aucun accord avec les municipalités. La moitié de son local est payée par le Gouvernement de Navarre et l´autre moitiés par eux. Aurevoir et remerciements. |
N-075 | A01 | Autrefois, Ustaritz était la capitale du Labourd, et même si maintenant c´est Bayonne, il y a toujours là-bas une empreinte culturelle. Elle voulait connaître la Navarre et avec sa soeur, elle commença à voyager. Plus elle découvrait la Navarre et plus elle l´aimait. Elles étaient amies de Barandiaran et celui-ci leur proposa de faire un travail. Elles le firent sur Aria de Aezkoa et demeurèrent à Garaioa. Tout comme sa soeur, elle se maria avec un garçon de Auritz. Quand elle se maria, elle avait vingt-cinq ans et elle partit vivre à Pampelune. | |
N-075 | A03 | Dans sa famille, on a toujours été à l´extérieur. Mais dans son village, ils ont toujours été paysans et meuniers. Bien que sa mère fût de Donostia-San Sebastian, et que son père naquit aux Philippines, ils ont toujours été très basques. | |
N-075 | A05 | euskara | Elle est restée aussi à Auritz. Là-bas aussi on parle en euskara. Il y a une femme du Pays basque nord qui s´est mariée et qui vit là-bas. Sa soeur aussi vit là-bas, ainsi que la mère du mari, bien qu´elle soit de Baztan. Elle est traductrice. Mais elle a plus de difficultés avec l´euskara qu´avec les autres langues. Selon elle, la famille est ce qu´il y a de plus important et comme elle croit que ce que les parents peuvent donner aux enfants, personne d´autre ne peut le donner, elle est maîtresse de maison. |
IC-002a | A05 | Les coutume sont très différentes aujourd´hui. A propos de certaines personnes. | |
II-078b | A01 | religion: curés | Présentation : Le père Iratzeder parle du père Lertxundi. (02:15") Le père Lertxundi était de Ciboure. Son père d´Orio et sa mère d´Ascain. Les arrière-grands-mères de leurs deux familles (du père Lertxundi et du père Iratzeder) étaient parentes. Quand il avait dix-huit ans, Lertxundi décida de se faire ordonner. Ils l´envoyèrent à Jérusalem et il y resta six ans. Il était déjà musicien. Il étudia les vieux chants de là-bas. Il revint en 1939. Ici aussi il commença à recueillir les chansons de village en village. En 1947, il publia son grand livre "Kantikak" (Cantiques). Il repartit à Jérusalem et y resta cinq ans. A son retour, il fit la Passion. |
II-078b | A03 | Réponse de Lertxundi à la lettre écrite par Iratzeder lui disant le travail qu´il y avait à faire sur les chansons en euskara. | |
II-078b | A08 | euskara: apprendre l´euskara | Bien qu´il fît aussi des harmonisations, il préférait celles à une voix. Le peuple chantait d´une seule voix et il avait toujours le peuple à l´esprit. En 1967 eut lieu une grande assemblée d´ecclésiastiques à Zumarraga. Le père Lertxundi avait préparé le livre de messes pour toute l´année et les chansons. Mais ils commencèrent le travail de traduction en euskara, laissant cela de côté, même si ensuite ils prirent quelques chansons faites par lui. Ceux du Pays basque sud ne surent pas valoriser letravail qu´eux-mêmes avaient réalisé. |
II-078b | A10 | chanson | Ce que Lertxundi écrivit en 1947, quand il entendit les nouvelles chansons. (32:00") Chant de messe. (33:13") La suite de ce qu´il écrivit en entendant les nouvelles chansons. |
PP-033 | A01 | A propos d´un jeune qui n´était pas heureux au village et qui partit à Barcelone, et de sa famille. | |
PP-033 | A03 | anecdote | Sur la famille. Les frères et soeurs. Antonio se rendit à Errementenea comme domestique et il se maria avec une fille qui grandit avec cette famille. Ils opérèrent la femme et après être revenue à la maison, elle tomba dans les toilettes et mourut. Histoires de Feliziano, Emiliano, Hilario et leurs femmes et anecdotes sur le travail. Le plus jeune frère alla au séminaireà l´âge de vingt et un ans. Anecdotes du séminaire. |
PP-033 | B01 | anecdote | Sa mère vint comme servante à sept ans. La maîtresse de la maison où elle se trouvait attrapa la gangrène dans une jambe et quand ils lui dirent qu´il faudrait l´amputer, elle dit qu´elle préférait mourir. Cette femme mourut et sa mère eut à s´occuper de ses dix enfants. Elle resta dans cette maison jusqu´à ce qu´elle se marie à dix-neuf ans. Les parents de son mari avaient un domestique et une servante, mais au lieu de les aider, ils se comportèrent très mal et ne leur laissèrent rien. Davantage d´histoires au sujet de la famille. Les oncles partirent en Amérique en 1930. Comme la guerre arrivait, ils voulurent emmener leurs neveux avec eux. Mais ils ne voulurent pas laisser les parents tout seuls et l´un d´eux resta ici. Anecdotes au sujet de la famille d´ici et celle de là-bas. Les maris et les femmes des frères et soeurs. |
N-039 | A01 | Quelqu´un est en train de jouer du piano. (15:00") Ce que faisaient et font les gens qui étaient dans la maison. (19:00") A propos de ceux qui sont en train de manger. | |
N-039 | B02 | Les activités organisées par l´association Etxebeltz de Erratzu : Conférence sur l´émigration. Les intervenants furent Mikel Aranburu et Alberto Aldai. Seize personnes participèrent au concours de peinture, parmi elles deux enfants. Le premier prix fut pour Javier Igoa, de Lesaka, et le second pour Paz Unkiano, d´Hernani. Les membres du jury. Samedi prochain, il y aura une conférence sur la mycologie avec l´intervention de Xabier Lazkibar de la société Arantzadi. Le dimanche, le groupe "Pequeño Teatro" (Petit Théâtre) présentera une oeuvre. En dehors du concours de peinture, toutes les activités se sont faites en euskara. | |
N-039 | B03 | Ils ont recommencé à faire de la gymnastique. Cette année, aucun homme n´y va. (25:20") Un accident eut lieu sur le pont d´Arraioz. Il n´y eut pas de blessé grave. Ils sont en train de faire le fronton. Histoire drôle. (30:00") A propos de la foire d´Elizondo. | |
X-005a | A02 | voyage - handicapés | Programme de vacances pour handicapés. Ils ont différentes possibilités : l´Italie, Paris et Benidorm. Ils peuvent y aller seuls ou avec un accompagnateur. C´est la même coordination qui organise. L´"inserso" a organisé le programme de vacances pour le troisième âge. Cependant, le gouvernement de Navarre organise les séjours en stations thermales. Le système de réservation de places a changé pour les voyages de l´inserso. |
I-055 | A05 | euskara | Ils n´avaient pas coutume d´aller à Igoa. Ils allaient à Ilarregi, Auza, Larraintzar, Alkotz… Je suis fan de cela (j´aime beaucoup cela). L´euskara unifié et les différents euskaras. L´euskara d´Egozkue et Leazkue est semblable à celui de Lantz. |
S-004b | A01 | discours | Discours de Satrustegi à l´occasion de son entrée à l´Académie de la Langue Basque "Euskaltzaindia". (49:40") Chanson. |
SD-001b | A03 | anecdote | A Albisturrenea, la famille vivait sans hommes. A propos de cette famille. A propos des hommes qui passèrent par cette maison. A propos d´un homme qui mourut dans la cabane et ses obsèques. |
SD-009a | A01 | agriculture | Présentation par lui-même. Comment il apprit la musique et à jouer du txistu. Il se maria à vingt-quatre ans et se chargea de l´auberge que tenaient ses parents. Il a un fils et une fille, et deux petits-enfants. (03:35") La plupart des gens de Sare vivent de l´agriculture. Comme cela rapporte peu, les enfants travaillent à l´extérieur, dans des entreprises. |
SD-009a | A04 | études | Il alla à l´école à Ataun. L´instituteur était aussi du village et il ne savait pas grand chose. Il était âgé et n´avait aucune méthodologie concrète, mais il avait un grand coeur. Il était nationaliste. Il leur parlait toujours en euskara. Ses successeurs, en revanche, leur interdisaient de parler en euskara. Ensuite, il alla au séminaire à Donostia-San Sebastian et resta là-bas douze ans. Au début ce fut difficile, car il ne savait que l´euskara. A vingt-quatre ans, il décida de continuer. Il aimait étudier et partit à Paris. Il étudia la philosophie et la sociologie et fit une thèse sur le problème nationaliste du Pays basque. Depuis lors il vit à Bayonne. (20:40") Le Notre Père en euskara. |
D-012 | A05 | anecdote - temps: inondations | Sa soeur ouvrit le salon de coiffure et elle alla à Tolosa l´aider. L´autre soeur tenait un bar et elle resta là ensuite pendant onze ans. Après la guerre, il y eut des inondations à Tolosa et ils emmenèrent aussi les animaux. Les maisons où ils ont vécu. |
D-012 | A02 | Le père était fils d´une femme célibataire et il fut élevé dans une autre maison. Ils amenèrent une fille et un garçon à la maison et finalement les deux se marièrent (ceux qui furent ses parents). C´est le curé qui lui a donné son prénom. L´une d´elles est également fille de femme célibataire et elle se maria à seize ans avec celui qui était domestique chez elle. | |
D-012 | A03 | Elle avait l´habitude de garder les vaches. Pendant la guerre aussi. Ensuite, elle travailla aussi comme bergère. | |
SS-002b | A01 | métiers: musicien | Ses parents étaient basques, les deux d´Urdiain. Mais les parents de sa mère étaient d´Ameskoa. Ils ne savaient pas l´euskara. Elle apprit le castillan parce que les cousins de sa mère, ceux d´Ameskoa, leur rendaient souvent visite. Mais les gens d´Urdiain ne savaient pas le castillan et ne l´apprenaient que quand ils allaient à l´école. L´instituteur était bon et quand il se retira, ils allèrent le trouver et lui proposèrent quelque chose en échange du service rendu, et il ne demanda pas plus de 200 pesetas par an. (03:25") Pendant les grandes fêtes, les joueurs de tambourinss allaient faire la quête dans toutes les maisons du village. Quand ils perdirent les élections municipales, ils jetèrent le tambourin. A ce moment là déjà, Miguel Jose savait jouer du txistu. En l´espace de deux années, les choses s´oublient et à nouveau tout le monde est content avec celui-ci. |
SM-006a | A01 | Euskara de Mezkiritz et d´Irurita. Fermin dit son nom et son âge. | |
X-020a | A03 | faim: grève de la faim | Les vingt-huit maires qui sont en grève de la faim font des "poteos" (tournée des bars) à l´eau, afin que tout le monde voie qu´ils sont là. Ils sont allés à Donostia-San Sebastian visiter les prisonniers mais ils ont eu quelques altercations avec la police autonome basque. D´abord ils sont allés à l´hôpital voir les prisonniers et ensuite, ils se sont rendus à la prison de Martutene. Là ils ont joué du txistu et ont chanté et les prisonniers sont sortis aux fenêtres. Mais quand ils sont allés du côté du quartier des femmes, la police autonome est arrivée et ils ont arrêté le maire de Lezo. Les autres sont allés se plaindre et ils l´ont libéré. Ils sont rentrés et pour changer d´ambiance, ils sont allés faire le "poteo" à l´eau à Altsasu. Les maires continueront leur grève de la faim jusqu´à samedi. |
II-123a | A05 | A propos de l´affaire Maurice Papon. | |
N-066 | A01 | temps | De moins en moins de monde va à la messe. (02:00") Il fait vraiment mauvais et le printemps a du retard. Le mode de vie a beaucoup changé. On ne trouve pas non plus de gens pour discuter tranquillement. Autrefois on mangeait des cerises en mai. (05:30") A propos de certaines personnes du village. (12:05")A propos des devoirs scolaires : l´enregistrement, et la collecte de vingt-cinq variétés de légumes, avec les fleurs et tout. |
N-066 | A02 | agriculture: greffes | Comment ils faisaient les greffes. Ils entouraient les arbres de bouse de vaches et de toile. (17:45") On oublie les coutumes et les savoir-faire. Tout a changé. |
X-023b | A02 | (10:15") Ils voulaient que la Forêt de Bertiz soit inscrite sur la liste des forêts d´Europe et pour cela elle doit répondre au critère suivant : ne pas avoir été aménagée durant des années. A cause de cela, ils s´opposent au Gouvernement de Navarre qui veut nettoyer cette forêt. | |
X-023b | A03 | UEMA | Les municipalités regroupées au sein de l´association UEMA ne sont pas contre le castillan, quand elles doivent l´utiliser elles le font, mais elles veulent fonctionner en euskara. Elles sont en zone bascophone et souvent, elles rencontrent la situation inverse : vouloir recevoir un service en euskara et ne pas pouvoir. Cette année, la journée de UEMA aura lieu à Zeanuri. Le programme est le suivant : acte officiel, musique, sports basques, repas populaire, clowns, bal… |
X-023b | A04 | route | Les motifs pour supprimer les péages. A propos de l´autoroute qui traversera la Navarre. Marche en montagne de Durango à Zarautz. |
XH-001 | A01 | chanson - bon mot | (03:35") Cette semaine, la radio Xorroxin sera à l´ikastola. Aujourd´hui ce sont les enfants de 4ème niveau qui feront l´émission. Chacun se présente. (12:10") Calendrier des activités : Sainte Agathe, "Orakundea", Carnaval… Conseils pour s´occuper des animaux domestiques. Blagues. Chanson. |
XH-001 | B01 | adivinette | Félicitations; (17:40") Concours : devinettes. |
XH-023 | A04 | Félicitations avec des chansons dédicacées. | |
SK-001a | A02 | Azkue | Comment Laffite rencontra Azkue. Les travaux qu´il fit pour lui. Opinion sur Azkue : les erreurs que provoqua sa non maîtrise du français, il n´était pas linguiste. Mais on lui doit beaucoup. Parfois il voulait faire le travail trop rapidement. Quel homme il était : il était simple et bien qu´il connût des problèmes d´argent, il n´était pas du tout égoiste. Quand il fit sa connaissance, il était déjà âgé. Lorsqu’il s’agissait d’évoquer des thèmes ayant trait à la grammaire, il s’animait et avait un bonne mémoire. Il vivait immergé dans son monde. |
SK-006b | A02 | La conférence de presse sur les déclarations de Miguel Sanz et la réponse au recours déposé après le refus, en 1990, d´attribuer une licence à la radio "Euskal Herria Irratia". | |
II-129b | A01 | mode de vie | Présentation. (03:10”) Au bar il y avait toujours du monde. A l’époque il n’y avait que du vin et de la limonade. Les jeunes avaient coutume de chanter. |
II-129b | A07 | Les enfants d’aujourd’hui ont de l’argent dès le départ et tout ce qu’ils veulent. Il ne faut jamais avoir honte de ce que l’on a fait, ce qui a été vécu est vécu et il faut en sourire. (44:20”) Aurevoir. | |
II-146a | A01 | mode de vie | Manex vit dans la maison Ametsa de Sare. Il a écrit de nombreux chants et couplets versifiés. (01:48”) Il naquit à Sare en 1917. Ils étaient quatre frères et une sœur, et il est le seul survivant. Le père était charpentier et la mère était au foyer. Il alla à l’école de Sare jusqu’à l’âge de douze ans. Il reçut le certificat et sa mère l’emmena à Donibane. Là elle le laissa travailler. C’était dur mais les Basques étaient habitués à cela. A dix-huit ans il entra dans la marine pour trois ans. (05:50”) Il vivait à Paris et se maria avec une jeune de là-bas. C’est dommage. Le fils ne sait pas l’euskara et c’est impardonnable quand on est fils de Basque. |
II-146a | A03 | anecdote | Il a écrit une centaine de vers. Ce sont ses amis qui l’ont découvert, lui écrivait pour lui-même. Il est triste que les jeunes ne sachent pas l’euskara, ni rien du Pays basque, mais plus triste encore que les adultes n’aient pour tout cela aucun intérêt. Pour lui, cela vaut la peine d’essayer de faire quelque chose. Les premiers vers qu’il sortit : il fit dix vers pour expliquer leur vie quand ils étaient prisonniers à Miranda. Il raconte comment ils sortirent. |
II-168a | A07 | euskara | Les amis qu’il a aujourd’hui. Certaines infirmières savent l’euskara. Il lit en euskara comme en français. Il comprend mieux le souletin que l’euskara unifié. Il est intéressé par la culture. Il ne joue pas de musique mais il était danseur. Actuellement, la plupart des groupes de danses sont composés de filles. Son professeur de danse. A propos des pastorales et des fêtes. A Maule/Mauléon on entendait du français, de l’euskara, du castillan parce que beaucoup d’Espagnoles travaillaient dans les usines d’espadrilles. (45:50”) Aurevoir. |
IC-016a | A08 | ||
IR-019 | A02 | ||
IR-020 | A05 | ||
IR-020 | B01 | ||
IC-004b | A01 | ||
IC-012 | A01 | ||
IC-012 | A08 | grammaire: lexique | |
IC-006a | A02 | ||
IC-005a | A07 | Il n’a pas de permis de conduire, quand il était jeune, il n’y avait pas de voiture. S’il était jeune aujourd’hui, il passerait le permis et il irait là où il veut avec sa voiture. | |
IC-002c | A05 | Le chemin de Muskilda. Il y a longtemps qu’elle n’est pas montée à pied. Son fils l’emmène de temps en temps en voiture. Cette côte est très mauvaise pour les personnes âgées parce qu’elle est très raide. L’itinéraire de l’enquêteur. La locutrice a peur que quelqu’un se moque d’elle en écoutant l’enregistrement. | |
IC-002c | A07 | Peu de voyages. Le bois vient des forêts communales et privées. Irati est une communauté de vallées. Les autres personnes bascophones du village. Dans sa jeunesse, il y avait beaucoup de travail et peu de distractions. | |
IC-004a | A04 | Quand elle était à Abaurregaina, pendant que les patrons faisaient la sieste elle allait ramasser les champignons avec la fille d’un carabinier. Elle ne se souvient pas des prières et des vieilles chansons, seulement de celle-ci : "ogi zerutik etorria zu zera gure poz guzia" (pain tombé du ciel, tu es toute notre joie). Les choses, et aussi l’euskara lui-même, s’oublient si elles ne s’utilisent pas. Elle ne veut pas qu’on la prenne en photo parce qu’il lui semble qu’elle va paraître laide. | |
IC-009a | A07 | Les travaux du jardin. Les rideaux de la cuisine ont noirci à cause de la fumée du feu. Une échelle qu’ils avaient installée récemment dans la maison s’est cassée et ils ont fait une réclamation. Ils viennent d’arranger la maison Maixterrena d’Orbara et ils ont mis une échelle semblable. | |
IC-009a | A09 | L’enquêteur a sa voiture abîmée et ils lui en ont prêté une autre. Faire réparer la voiture coûte très cher. | |
IC-010a | A02 | ||
N-002 | A03 | Ils étaient très religieux. Ils se rendaient aux ermitages, pas pour faire la fête, mais pour prier. Ils emportaient un gâteau à la messe, en guise d’offrande. La messe était en latin et le sermon en euskara. A Aldatz vivaient quelques familles riches qui avaient plusieurs domestiques. Le dimanche, les hommes jouaient au mus au bar. La première fois qu’ils virent une voiture, ils furent stupéfaits de la force qu’elle avait. Son mari fut dispensé d’aller à la guerre parce qu’un secrétaire bien connu l’envoya à la maison. A présent la vie est plus facile que quand elle était jeune. Les jeunes d’aujourd’hui sont plus joyeux que ceux d’autrefois. | |
N-030 | A04 | Il naquit dans la ferme d’Etxebertze. La mort de son frère aîné : dans la ferme il y avait beaucoup de puces et à cause de cela, le frère dormait dehors. Il semble qu’il prit froid et mourut d’une pneumonie. Bien qu’il fût malade, ils ne se plaignait pas parce qu’il semblait que cela lui fît honte. Le locuteur a célébré récemment ses noces d’or. |