école [59 resultados]
Document | Fragment | Otros temas del fragmento | Sumario |
D-001 | A02 | anecdote | Une fois, à l’école, le maître dut sortir et les enfants changèrent l’heure de la pendule. |
D-007 | A01 | anecdote - chanson - euskara/espagnol | Souvenirs d’école. Chanson sur la maîtresse et sa fille (00:00:39”). Organisation en fonction de l’âge et du sexe. Difficultés avec les langues (euskara - castillan). Anecdote du credo avec l’évêque Remigio Múgica. |
D-007 | A06 | anecdote | Cours du soir et anecdote concernant un événement qui se produisit avant Noël. |
D-044 | A04 | Il y avait deux écoles : une pour les filles et l’autre pour les garçons. Il y a quelques années ils en construirent une nouvelle où tous les élèves vont aujourd’hui. | |
D-064 | A02 | religion: catéchisme | Mauvais traitements et souvenirs douloureux de l’école. L’importance du catéchisme. |
D-068 | A05 | jeu: jeu de pelote - jeu: corde | Ils étaient six frères et soeurs et les deux garçons s’échappaient pour ne pas aller à l’école. A l’école, il n’y avait qu’une institutrice pour beaucoup d’enfants, et par conséquent elle ne faisait pas beaucoup attention à eux. Les garçons et les filles étaient toujours séparés, les uns jouant à la pelote, les autres sautant à la corde. |
D-079 | A02 | Il n’y avait pas d’école dans le village même. Les enfants de quatre villages allaient étudier à Eltso. | |
D-080 | A02 | Ils allaient à l’école quand ils le pouvaient. De nombreux enfants de tous âges y allaient. Au début, ils s’amusaient bien parce que le professeur somnolait souvent et eux jouaient à tuer le cochon. | |
I-001 | A11 | L’école était à Arrarats et ceux d’Igoa devaient se rendre là-bas. Tous y allaient ensemble et s’arrangeaient bien. | |
I-001 | A12 | anecdote | Les farces qu’ils lui faisaient à elle et à ses amis, à l’école. |
I-001 | A13 | L’institutrice était de Pampelune, elle parlait le castillan et ne les laissait pas parler en basque. Le système de l’anneau. | |
I-018 | B07 | Ils allaient à l’école d’Eltzaburu à pied. Ils emportaient leur nourriture dans un sac-à-dos et ils allaient ainsi à l’école le matin et l’après-midi. Ils allèrent plus tard à l’école d’Auza. Ils partaient de plusieurs villages à pied. | |
IR-005 | A11 | Dans les villages il y a de moins en moins de gens. Quand il était jeune il y avait beaucoup d’enfants. Ils allaient tous ensemble à l’école, garçons et filles. Il allait seulement deux heures à l’école le soir et beaucoup d’autre faisaient de même, parce que durant la journée il y avait beaucoup de travail à la maison. | |
IR-005 | B01 | mode de vie - élevage: troupeau des vaches | Présentation : entretien avec les personnes honorées cette année : Brigida commence. Quand elle était enfant le nombre d’habitants du village était deux fois plus important. On regroupait les vaches, toutes les vaches étaient réunies en deux troupeaux et les enfants les gardaient. Il y avait un maître et les autres, qui avaient une dizaine d’années, allaient l’aider. Ils allaient peu de temps à l’école, jusqu’à douze ans seulement. Ils étaient quatre frères. |
IR-005 | B15 | euskara - église | A l’école, le professeur parlait en castillan, bien qu’entre eux ils parlaient en euskara. A l’église tout se faisait en castillan.Elle raconte que Regina chantait et parlait à la radio, mais elle préfère le silence à la radio. |
IR-010 | A01 | Introduction et présentation. Les trois petites filles présentent leur travail et leur grand-père à la radio. (05.44") Questions personnelles : nom, famille, travail des parents. Ecole : ce n’était pas comme maintenant. Le plus âgé à l’école avant douze ans. Ils apprirent à écrire, à lire, à additionner, soustraire, multiplier et diviser. Il y resta jusqu’à neuf ans. | |
IR-011a | A01 | euskara - chaussure: galoches | Questions personnelles : quand et où il naquit, combien ils étaient dans la famille, d’où étaient ses parents. Il parlait en euskara avec ses parents et aussi avec ses enfants.Il alla à l’école jusqu’à l’âge de quatorze ans. Ils devaient parcourir plus de deux kilomètres à pied. Ils chaussaient des sabots : semelle de bois et dessus en cuir, très lourds. Plus tard apparurent les bottes. A l’école ils étaient plus de trente. |
IR-015 | A01 | jeunesse | Présentation. Questions personnelles : nom de la maison, âge. Son père mourut alors qu’elle était enfant. Petite on l’envoyait faire des commissions et elle connaissait tous les villages de la vallée. Les autres allaient travailler et elle aux commissions. Ils allaient à l’école jusqu’à l’âge de douze ans, mais elle allait faire les commissions. D’ Aria elle alla à Nabala travailler, elle s’occupait de deux enfants et aidait aux tâches domestiques. |
IR-016 | A12 | musique - religion: chapelet | Le soir, après avoir terminé le travail, ils récitaient le rosaire. Les jeunes leur faisaient l’école l’après-midi. Et dans le village il y avait quatre ou cinq accordéons, et tous les jours après la classe ils dansaient pendant deux heures. Il travaillait vingt heures sans salaire. Ils devaient tout faire à la main. |
IR-018 | B03 | anecdote | Le premier jour à l’école l’instituteur commença à montrer l’alphabet. Lui l’avait déjà appris à la maison avec ses frères. Et ils arrivèrent à la lettre "s", mais l’instituteur zozotait. Et quand il lui demanda de répéter, pour obéir il dit trois fois la lettre à la manière de l’instituteur et celui-ci se fâcha, et il commença à pleurer. Un frère alla vers lui et lui dit à l’oreille comment il devait prononcer. Il avait cinq ou six ans. |
N-052 | A04 | métiers - Amérique | Les enfants commençaient l’école à huit ans jusqu’à quatorze ans. Et ensuite, comme il n’y avait pas d’argent, ils travaillaient : dans la montagne, comme domestique, et beaucoup allaient en Amérique comme bergers. |
N-067 | A01 | euskara | Présentation. Quand Nizeta commença à l’école elle ne savait que l’euskara et à l’école ils devaient parler en français. La maîtresse les punissait : au premier qu’elle entendait parler en euskara elle donnait un petit objet. Si celui qui avait l’objet voyait un autre enfant parler en euskara il lui passait l’objet, et celui qui à la fin se retrouvait avec l’objet devait rester une demi heure supplémentaire. Elle resta à Arnegi jusqu’à ce qu’elle apprenne le français, ensuite elle alla à Saint-Jean-Pied de Port à la grande école. Là il fallait aussi qu’ils apprennent l’anglais et l’espagnol. Tous choisirent l’espagnol car ils l’entendaient en permanence à la frontière.Elle voulait continuer jusqu’au baccalauréat, mais ses parents, ne la laissèrent pas. La mère disait qu’une fille se perdait si elle n’apprenait pas à coudre et à faire les tâches domestiques. Elle voulait la liberté et c’est ce qui lui manquait. |
N-072 | A03 | Les enfants qui allaient à l’école d’Eltso venaient de quatre villages : Zenotz, Gerendiain, Urritzola et Eltso. C’est ainsi qu’ils se connaissaient tous. Ils parlent de gens qu’ils connurent à l’école. | |
N-072 | A05 | Même s’ils étaient capables de continuer à étudier, il n’y avait pas d’argent. Ils rentraient à la maison déjeuner. Ils étudièrent le catéchisme en euskara avec le curé, mais la maîtresse était républicaine et elle retira toutes les croix. | |
N-043 | A4 | Ils sortaient en récréation à onze heures et tous allaient en courant de l’école au fronton. Après une demi-heure, avant de revenir en classe ils allaient à l’église prier. A une heure les cloches sonnaient et ils allaient manger, pour revenir à nouveau à trois heures et rester jusqu’à cinq ou six heures à l’école.Quand elle avait quatorze ans, ils passèrent à l’école de Jauntsarats. Elle partit alors à Pampelune étudier. Elle y resta deux ans, passa le BUP et ensuite abandonné. | |
N-043 | A1 | Il alla à l’école jusqu’à l’âge de quatorze ans. L’institutrice était la seule qui parlait castillan. Mais en dehors de l’école ils parlaient exclusivement en euskara. Maintenant toutefois, c’est le contraire, ils étudient en euskara et à l’extérieur parlent castillan. A l’école seuls venaient les enfants d’Igoa, tous mélangés, garçons et filles. La seule hispanophone du village était l’institutrice, puisque même le médecin et le curé étaient bascophones. Mais c’était une femme gentille et elle se comportait bien avec les gens du village. | |
I-007 | B14 | anecdote - anneau | S’ils parlaient en euskara on leur mettait un anneau. Les voisins firent une réunion et là on décida cette histoire d’anneau. Mais elles ne savaient que l’euskara et elles se passaient l’anneau des unes aux autres. La maîtresse ne la frappa jamais pour avoir parlé en euskara. Mais une fois elle dit à un garçon qu’il apporte des bâtons. Elle rompit le premier sur lui. Plus tard ce garçon devint moine. |
I-007 | B11 | anneau | Quand ils parlaient en euskara à l’école l’institutrice leur donnait un anneau. L’école était à Igoa et s’y rendaient ceux d’Igoa et d’Arrarats. |
EE-005a | A2 | Ils allaient peu à l’école, elle n’aimait pas du tout ça. Ils avaient un instituteur de Caparroso. Il était très difficile de le comprendre. Ils ne savaient pas le castillan. Une fois il la punit et elle ne revint plus à l’école. Aurevoir. | |
EE-003b | B1 | Elle naquit à Beruete et fit les durs travaux de la ferme. Elle a eu trois enfants et elle est veuve. Son mari était de Tolosa et elle vit actuellement à Pampelune. Filles et garçons allaient à la même école, ils étaient environ quarante cinq enfants. Ils ne les laissaient pas parler en euskara. A celui qui parlait en euskara ils donnaient une boule. Ils durent apprendre quelque chose, mais ils savaient très peu de castillan. Ils se passaient la boule les uns aux autres. Le maître d’école frappait celui qui ne voulait pas la prendre. Ils les obliger à rester là sans manger et en plus à la maison on leur disait qu’ils apprendraient plus facilement s’ils ne mangeaient pas. | |
I-036 | A03 | Dans le village, il n’y a jamais eu d’école. Elle alla à l’école à Olague. A Egozkue aussi il y a l’école, c’est plus grand que Leazkue. | |
I-014 | A04 | maladie - métiers: bonne | Sa mère était d’Arrarats, de la maison Mara. Parents. Elle vécut à Beurza jusqu’à l’âge de douze ans, quand elle s’en alla servir à Pampelune. Etant à Pampelune, le dimanche elle allait étudier avec des religieuses. Ce fut sa seule instruction. C’est alors qu’elle travaillait à Pampelune que commencèrent ses problèmes de jambe, conséquences du lustrage du sol à la brosse. Elle resta longtemps à l’hôpital dans le plâtre. Quand elle guérit, elle retourna au village. Puis elle repartit servir à Almandoz. |
I-026 | A06 | Quand elles étaient petites on n’allait pas à l’école plus de six ans. Ensuite le père d’une d’elles enseignait certaines choses le soir. Plus tard les enfants allaient à Oskotz. Certains étudièrent davantage, ils allaient le soir à Erice et Ciganda, car là-bas il y avait des instituteurs. Un homme boîteux du village donnait aussi des cours. Ils n’attachaient pas d’importance aux études. Le cas de la mère de l’une d’elles : elle aimait beaucoup lire et étudier, mais à cinq ans elle était à Pampelune dans la maison des horlogers Ezpeleta, s’occupant des enfants. De là elle partit à Añezcar comme servante et en sortant de là elle se maria. | |
I-060a | A12 | euskara | Il commença à aller à l’école à l’âge de six ans, à Pampelune. L’anecdote du premier jour. Le curé était bascophone, de Gaskue, et chez lui on parlait en basque. Dans le village, la majorité des gens parlait en euskara. Ils passèrent au castillan quand ils commencèrent à aller à l’école. |
I-024 | A10 | euskara - ikastola | (Abats, saucisses et boudins. “Bofada” (chaleur suffocante)). A l’ikastola ils emploient un euskara différent.et les parents ne comprenaient pas les enfants. Histoires de l’ikastola. |
I-004 | B02 | Elle alla à l’école dans le village même et commença à cinq ans. Jusque là elle ne savait pas un mot de castillan. Les institutrices étaient gentilles en général, sauf une. Elles étaient toutes hispanophones. Pendant la semaine elles vivaient dans le village et celles de la Ribera restaient jusqu’aux vacances. Elle alla à l’école jusqu’à l’âge de quatorze ans. Elle préférait traire les vaches, nettoyer l’étable, ramasser l’herbe etc., que de rester à l’école. | |
I-023a | A02 | Ceux du village allaient à l’école d’Ihaben. Elle alla à l’école après s’être mariée. | |
I-005 | A12 | divers | Ils supprimèrent la taverne de Mezkiritz, mais les jeunes arrangèrent la société, et c’est très bien. A Itsaso il n’y a plus d’école, tous les enfants de la vallée vont à Jauntsarats. |
SM-001b | A02 | ville | Mezkiritz est un village dense. Txorrondo est un des quartiers, l´endroit où elle est née. Il n´y avait pas de maître d´école et le curé du village, don Manuel Lusarreta Erro, fut leur enseignant pendant trois ans. Il y avait cinquante quatre enfants. |
SM-006a | A06 | anecdote - euskara | Fermin est allé peu à l´école. Le maître frappa un élève avec la règle et l´enfant mourut. Il frappa l´enfant avec la règle sur l´épaule, et il semble que le coeur sortit de sa place. Ce même instituteur frappa un autre garçon et celui-là aussi tomba malade. Le maître était d´Aezkoa et il ne connaissait pas l´orthographe. Ensuite, c´est Don Manuel, le curé, qui fit l´école. Ces deux là n´étaient pas contre l´euskara. Le suivant, Martinez, les punissait lorsqu´ils parlaient en euskara. |
I-041 | A01 | mode de vie | A l´école en euskara étaient inscrits cinquante quatre enfants, de six à quatorze ans. Tous se trouvaient dans la même classe; Eux n´allaient pas du côté français quand ils étaient jeunes. Leur vie, c´était le bétail. |
I-091a | A03 | euskara | Elle apprit l´euskara toute petite, car ses parents étaient bascophones. Zilbeti était un village très bascophone. Ensuite, ils eurent une institutrice de Pampelune durant de nombreuses années et elle ne voulait rien entendre qui puisse ressembler à de l´euskara. C´est ainsi que la langue se perdit beaucoup. Ses frères n´apprirent pas l´euskara. Ils étaient de la maison Juan Cruz. |
II-111a | A01 | mode de vie | (00.45") Présentation : présentation d´Anjel. Il a toujours vécu là et les jeux ainsi que les coutumes lui ont plu. Il alla à l´école de l´âge de cinq ans jusqu´à douze ans. Là il apprit le castillan et le français, et il aimait beaucoup aller à l´école. Ils allaient à l´école, au catéchisme, et ils jouaient à la pelote. Ils assuraient les travaux de la maison avant d´aller à l´école et le soir. Quelque 1200 personnes vivaient à Luzaide aux alentours de 1925. Ensuite vint la guerre et beaucoup de choses se perdirent. |
N-042 | A04 | A l´école ils avaient un livre et un cahier, mais on leur apprenait le catéchisme et les travaux manuels, à coudre et à broder. | |
X-011a | A04 | travail: salaire | Ils sont restés très peu de temps à l´école. En hivers, ils y allaient un peu mais en été, il y avait beaucoup de travail à la maison. Aujourd´hui ils savent lire et écrire. Agustin : ils se levaient pour traire les brebis, ils allaient couper l´herbe avec la faux et ils y restaient jusqu´à l´heure du repas. Il en fut ainsi pour lui de l´âge de onze ans jusqu´à ce qu´il partît comme soldat. Margarita commença à neuf ans à faire les travaux domestiques chez le patron, car ils étaient locataires, et elle y resta trois ans. Ensuite, elle travailla comme servante jusqu´à son mariage à vingt-deux ans. A l´époque on n´était pas payé comme maintenant, pendant ces trois années il ne lui donnèrent rien. Le premier salaire de Felipe fut à la Députation, à quinze ans. Il s´y rendit en culottes courtes et ils le renvoyèrent chez lui mettre des pantalons longs. Ils lui donnaient douze pesetas par jour, dans le canal de Sunbilla dix-huit. Ensuite dans la montagne, il recevait environ mille deux cents pesetas par mois. Felipe alla à l´école jusqu´à l´âge de quatorze ans. Il aurait aimé continuer les études mais ils ne pouvaient pas. Il partit à la montagne à dix-sept ans et là, oui, il lui arriva des catastrophes. Agustin gagnait mille pesetas par mois et il économisait même contre son gré, puisqu´ils n´avaient que le dimanche après-midi de libre. Felipe, une fois, passa deux cent cinquante huit jours sans descendre de la montagne une seule fois. Ils ne mangeaient que des fèves. Le dimanche après-midi, ils goûtaient un peu : morue et pommes de terre frites avec un peu de tomate. Ils finissaient par devenir des sauvages. Margarita n´a pas connu la misère. Manuel non plus, car à la ferme, ils avaient plus de possibilités. Ils apportaient du pain d´Ultzama à dos de mulet. Agustin, dans la montagne, ne mangeait pas non plus autre chose que des fèves. Il travailla dans la montagne pendant huit ans. Dans la montagne et en Amérique on se faisait de l´argent, parce qu´on ne le dépensait pas. Ils se souviennent de la jeunesse difficile, mais en hiver ils restaient trois mois à la maison et vivaient confortablement. |
II-069a | A01 | religion: curés | Présentation : le locuteur passa toute la période de la guerre prisonnier et il connut alors l´ancien président Mitterrand. (01:46") Il naquit en 1907 à Ozta. Il alla à l´école jusqu´à l´âge de douze ans. Le père était soldat et comme ils étaient six frères et soeurs, il dut laisser l´école. Ils étaient paysans et avaient des brebis. Dans le village, ils étaient quarante quatre enfants. Ils jouaient à la pelote. Ils devaient parler en français. Tous suivaient le curé. Il a de bons souvenirs de l´enfance. Mais jamais il n´apprit à danser, ils jouaient seulement à la pelote, parce qu´ils devaient servir le curé et celui-ci ne les laissait pas danser. |
IC-002a | A06 | Le curé du village faisait la classe aux plus petits, catéchisme compris. Ensuite, il eut aussi un autre instituteur, mais il dut travailler et là se termina son expérience de l´école. | |
II-086a | A01 | Présentation. (01:55") Martin naquit à Macaye en 1909 dans la maison Iberria. Il resta dans cette maison jusqu´à l´âge de huit ans. Ensuite, en 1917, le propriétaire donna la maison à un neveu. Il alla très peu à l´école. C´était l´époque de la guerre et il dut travailler. Malgré tout, il a appris à lire et à écrire. Sa mère lui apprit à lire en euskara pour apprendre le catéchisme. Il allait à l´école deux fois par semaine. Les enfants de paysans âgés de sept ou huit ans devaient travailler au lieu d´aller à l´école. Ils devaient apprendre le français obligatoirement, mais lui l´apprit en dehors de l´école. | |
D-012 | A01 | anecdote | Un jour où il ne pleuvait pas, elle dit à sa mère qu´elle devait aller à l´école en espadrilles. Ensuite il commença à neiger et pour ne pas abîmer les espadrilles, elle y alla pieds nus. L´époque de l´école. Quand elle fit la communion, elle apprit des prières et reçut des cadeaux. Elle quitta l´école à douze ans. Alors qu´elle avait onze ans, elle alla à Urnieta chez son oncle et sa tante et de là elle allait à l´école à Hernani. Ensuite, elle revint à la ferme. Les travaux sur place. La chaux se faisait aussi dans la montagne. |
SK-001b | A02 | mode de vie | Il naquit à Luhuso-Louhossoa de parents basques. Son père naquit à Baigorri et sa mère à Ustaritz. Il apprit l´euskara quand il était petit. Il ne fut pas élevé par ses parents car sa mère était malade et le médecin ne voulait pas qu´il restât avec elle. Ils l´envoyèrent à Baigorri et il fut élevé par une famille. Ensuite, il resta avec ses grands-parents à Ustaritz. Là il alla à l´école. Ses grands-parents ne parlaient jamais en français. Ses parents moururent quand il avait sept ans et il vécut avec un oncle. Celui-ci se maria avec une femme béarnaise, et à la maison ils ne parlaient qu´en béarnais, de sorte qu´il oublia l´euskara. Ensuite il alla au séminaire et là on ne parlait absolument pas en euskara. |
II-135b | A01 | Présentation : le premier Aberri Eguna (Jour de la Patrie basque) eut lieu à Itsasu/Itxassou en 1963. En 1962, il y eut un Aberri Eguna non officiel autour de Mixel Labèguerie. (04:49") Gratien naquit dans la maison Ukazberoa le 12 septembre 1914. Il était le troisième fils. Il alla à l’école à Itsasu/Itxassou jusqu’à ce qu’il commence à travailler à l’âge de douze ans. Les parents morts à la guerre. Les écoles n’étaient pas en euskara. L’école des garçons et celle des filles étaient séparées. On lui donna un certificat. Il quitta l’école avant d’avoir douze ans et fit la communion, avant de se consacrer entièrement au travail. Ensuite arriva le moment de faire le service militaire. | |
IC-014a | A16 | Les enfants d’Aezkoa, Auritz, Orreaga et de la vallée d’Erro viennent à l’école de Garralda. Avant aussi, ils venaient de Luzaide/Valcarlos, mais ensuite ils ouvrirent une école sur place. | |
N-064 | A02 | Il alla peu à l’école parce qu’il devait aider à la maison. Les frères et sœurs plus jeunes furent davantage scolarisés parce que les aînés avaient commencé à gagner de l’argent. | |
II-087a | A06 | escuela: en la escuela - infancia | |
II-056b | B06 | infancia - oficios:sirvienta | |
II-088b | B10 | jeunesse - école: études - | |
II-088b | B15 | jeunesse - bertsolaris: Xalbador - escuela nocturna | |
II-162b | B08 | école:études | |
II-060b | B10 | métiers:boucher |