Orreaga Ibarra
I-021
- Titre:
- Date d´entregistrement: 1990-8-3
- Propiétaire: Euskarabidea-mediateka
- Informateur / informatrice:
- Chercheur / chercheuse: Orreaga Ibarra
- Thème principal: A : discussion libre (herbes, déclin de l´euskara, "berorika" (traitement équivalent du vouvoiement "usted" en castillan), fromage). Questionnaire (lexique, syntaxe, verbe). B : discussion libre (métiers), différences entre les parlers locaux. Questionnaire : lexique, verbe.
- Temas: agriculture: herbes, anecdote, divers, euskara: différents dialectes, euskara: disparition, euskara: situation, euskara: usage, grammaire: lexique, grammaire: syntaxe, grammaire: tutoiement, vouvoiement, grammaire: verbes
- Vue autorisée: Libre
- Publication autorisée: Limitée
- Qualité du son: Bonne
Ville | Dialectes | Cartes |
Fragment | Durée | Temas | Sumario |
A01 | 00:00:00 00:05:35 |
euskara: différents dialectes | L’homme fut berger.La femme d’Alkotz travailla dans une maison de Burutain après avoir fini l’école, s’occupant des enfants et faisant les tâches domestiques.Il y en a aussi quelques autres de Beramendi et Eratsun.(03.08”) Les différences de basque d’un endroit à l’autre. |
A02 | 00:05:35 00:07:30 |
divers | Ils évoquent la maison et Gerendiain : s’ils s’y sentent bien, si le village leur plaît. Les années passées là-bas. |
A03 | 00:07:30 00:09:52 |
grammaire: lexique | On leur demande comment ils disent oncle, tante, parrain, chaussettes, queue de cheval. |
A04 | 00:09:52 00:11:20 |
euskara: disparition | Les deux frères furent à Mezkiritz pour acheter une vache.(10.37”) A Mezkiritz on parle peu en euskara. |
A05 | 00:11:20 00:25:07 |
grammaire: lexique | On leur demande comment se dit : prunes, soigner, rire, sourire, cuisine, plaine, porcherie, abeilles, ruche, se piquer, se pencher, agneau, j’ai très faim.Cette maison a de nombreuses fenêtres, bâton pour les animaux, visage, vent, vent du nord, vent du sud, pincement, aboyer, veste, à l’envers, sourcils, envoyer (les enfants à l’école), grosse chaleur, griller, lard, saucisse, txistorra, terterra (semblable à la txistorra, pour manger bouillie), graisse, deux fleurs, d’un à cinq, deux amis, bague, renard, serpent, lézard. |
A06 | 00:25:07 00:31:47 |
grammaire: syntaxe | Il était assis, il mourut, il commença par des tours, des hommes en nombre, beaucoup de choses, pas mal de gens, ces livres sont à nous, ces hommes sont jeunes, ma mère a un chien, ces choses sont neuves, ces bois, ces maisons, ces hommes ont fait cela, ces filles, ces vêtements, Comment s’appelle cette fille?, comment s’appelait cette maison ?, comment s’appelle ce village j’ai commencé à étudier, je vais commencer à tricoter, ils m’ont dit que les fêtes vont commencer, ils nous ont laissés aller à la fête, ils m’ont laissé faire ce que je veux, je vais le laisser faire cela, nous sommes tous partis à l’exception du plus jeune frère, ils ont tout mangé à l’exception des pommes de terre. |
B01 | 00:00:00 00:03:20 |
grammaire: syntaxe | Il cite les personnes qu’il a enregistrées. Il leur demande comment ils disent : nous avons obtenu deux balais, je me suis fait un nouveau tricot, la roue de la charrette. |
B02 | 00:03:20 00:07:30 |
agriculture: herbes, grammaire: lexique | Quand ils faisaient les foins, ils faisaient tout à la main. Ils chargeaient la "samatsa" (chargement de la charrette sans draps) et le reste ils le transportaient dans les draps. A la maison ils le conservaient dans le grenier à foin.Comment ils disent toit et sol.Il y avait aussi pomme de terre, mais, betterave et blé.(06.27”) Une autre femme entre, d’Etxarri-Aranatz. Ils parlent de ceux qu’ils ont connus là-bas. |
B03 | 00:07:30 00:10:37 |
anecdote, euskara: usage | Entre eux ils ne parlent absolument pas en euskara. Certains ont honte de cet état de fait. Quand ils étaient petits et qu’ils allaient à l’école, ils parlaient et étaient punis parce qu’ils devaient parler en castillan. A Alkotz, on leur donnait un poids d’horloge et ils devaient reste après la classe.Anecdote : une fois, une petite fille qui ne savait pas l’euskara resta après la classe avec le poids. |
B04 | 00:10:37 00:13:15 |
euskara: situation | Ils étaient six frères et soeurs et les parents parlaient mieux en euskara qu’en castillan. A ses frères on enseigna l’euskara et à elle, qui était la plus jeune, le castillan. Parce qu’à l’époque les personnes qui parlaient le castillan et les habitants des villes se moquaient des gens qui s’exprimaient en basque. Ensuite il apprit en écoutant, à l’oreille.La situation était différente d’un village à l’autre : à Eltso tout se faisait en castillan. A Eltzaburu et Auza tout en euskara, et à Larraintzar, en revanche, en castillan. |
B05 | 00:13:15 00:16:48 |
grammaire: tutoiement, vouvoiement | Ils utilisaient le tutoiement avec les gens de la famille et les amis. Avec le mari c’est le vouvoiement de politesse qui était utilisé. Il y avait trois catégories : la troisième personne (“berorika”), le vous de politesse (“zuketa”) et le tutoiement (“hiketa”).La troisième personne était la forme utilisée pour s’adresser au curé, aux parents et aux grands-parents, aux personnes plus âgées. Dans le Baztan, ils commencèrent avant à utiliser le vous de politesse avec les parents. |
B06 | 00:16:48 00:28:19 |
grammaire: lexique, grammaire: syntaxe, grammaire: verbes | On leur demande comment ils disent différentes choses : il eût mieux valu qu’il vint à l’heure, il eût mieux valu qu’il trouva du travail, j’ai du temps parce que mon mari fera tout à la maison, nous regrettions de ne pas l’avoir averti, il était content d’avoir dit la vérité, il eut de la peine de pas être revenu à la maison, il était préoccupé par ce qu’il avait fait, comme ils ne me donnèrent pas à manger je rentrai à la maison, comme il mange très peu il est extrêmement mince, les brebis lui manquaient, il lui manquait trois ans avant de prendre sa retraite, un enfant petit, serrure, je suis allé voir les vaches, il alla boire du vin, bien que je ne lise pas le journal je suis au courant de tout, bien qu’il n’ait pas beaucoup d’argent il est satisfait de son sort, il est très gros bien qu’il ne mange rien, nous, nous pouvons faire cela, vous aimez le vin, mes petits-enfants m’aiment, nous sommes ici, ceux-ci savent tout, ils ont de l’argent dans le porte-monnaie, je suis homme/femme (tutoiement), ils vont, j’apporte, j’emporte, j’aimais le pain, nous sommes d’Ultzama, je peux aller à la maison, il peut aller à la maison, ils peuvent aller à la maison, donne-moi le pain, sortez. |
B07 | 00:28:19 00:30:56 |
divers | Elles n’ont jamais travaillé avec la quenouille. Cependant, certaines savent faire le fromage. Elles expliquent comment le fabriquer et le mot "gatzagia" (présure). Explication du mot "tripota". On le fait avec des tripes de brebis et elles expliquent comment le faire. |
B08 | 00:30:56 00:31:46 |
grammaire: lexique | On leur demande comment se dit: demi-frère ou beau-frère et berceau. |
Pista | Écoutez le fichier | Durée |
I-021-A | 31:50 | |
I-021-B | 31:51 |