Orreaga Ibarra
I-042
- Titre:
- Date d´entregistrement: 1995-11
- Propiétaire: Euskarabidea-mediateka
- Informateur / informatrice: Graciosa Villanueva Labaien
- Chercheur / chercheuse: Orreaga Ibarra
- Thème principal: Discussion libre : famille, village, euskara, cuisine.
- Temas: alimentation, alimentation: boudin, alimentation: lait, alimentation: relleno, carnaval, divers, euskara, fêtes, Fêtes de Noël, mode de vie, ville
- Vue autorisée: Libre
- Publication autorisée: Limitée
- Qualité du son: Bonne
Ville | Dialectes | Cartes |
Fragment | Durée | Temas | Sumario |
A01 | 00:00:00 00:02:20 |
divers | Elle se présente ainsi que sa famille, ses parents, frères et soeurs. A la maison ils étaient nombreux et ils durent partir travailler. Elle fut servante durant neuf ans dans une maison à Aritzu et ensuite elle se maria à Burlata. |
A02 | 00:02:20 00:03:25 |
mode de vie, ville | Aujourd’hui ils vivent assez bien dans le village. Il y a beaucoup de vaches et de brebis. Les autres travaillent dans des usines. Ils fermèrent l’entreprise Danone et aujourd’hui d’autres ont repris l’affaire sous un autre nom. |
A03 | 00:03:25 00:04:35 |
alimentation, Fêtes de Noël | Quand il était jeune, à Noël il neigeait beaucoup. Ils mangeaient des haricots rouges, du poulet, des crèmes, du lait frit (sorte de flan). |
A04 | 00:04:35 00:08:20 |
alimentation: lait, fêtes | Le village est à vingt kilomètres de Pampelune. Il est petit, il compte une quinzaine de maisons, et les maisons de ceux qui viennent en fin de semaine. Les fêtes ont lieu à la fin de la semaine proche du huit septembre. Le vendredi soir ils font un repas tous ensemble et il y a un orchestre. Le samedi et le dimanche, chacun fête cela en famille. Pour les femmes cela représente beaucoup de travail. Les gens du village normalement vivent de l’élevage et vendent le lait. Avant, on l’emmenait à Gurelesa et maintenant ils l’emmènent à Copeleche à Pampelune. |
A05 | 00:08:20 00:09:30 |
carnaval | A Aritzu on ne fête pas les carnavals. Les gens vont à Olague, le plus grand village d’Anue. Là il n’y a pas de danse autochtone. |
A06 | 00:09:30 00:10:15 |
euskara | Elle croit que l’euskara d’Ultzama est plus clair que celui de Leitza. |
A07 | 00:10:15 00:00:00 |
divers | Elle aimerait vivre dans le village étant donné que sa famille vit là-bas. L’année passée, ils se firent une maison. Chaque fois qu’ils ont des vacances ils vont au village. |
A08 | 00:11:25 00:13:50 |
euskara | Dans le village, quand ils étaient petits, ceux qui aujourd’hui ont entre quarante et cinquante ans perdirent l’euskara, c’était l’époque de Franco. A l’école, ils avaient un maître de Cadreita et il les frappait pour avoir parlé en euskara. Elle apprit le castillan à douze ans. Maintenant les enfants vont à l’ikastola, que ce soit à Larraintzar ou à Burlada. Mais les enfants parlent l’euskara unifié. |
A09 | 00:13:50 00:18:50 |
alimentation: boudin, alimentation: relleno | Elle a toujours aimé la cuisine. Dans le village, on a coutume de préparer le “relleno”. Ce sont des tripes d’agneau que l’on nettoie bien avec du sel et du vinaigre. On les cuit et on les hache très fin avec un peu d’oignon, du jambon et de l’oeuf. On remplit les intestins de l’agneau et on fait cuire. Le sang aussi cuit. La “morcilla” se fait avec du cochon. Quand on tue le cochon, on bat le sang pour qu’il ne caille pas. On mélange avec de la graisse, du riz, de l’oignon, de l’ail, etc. Avant quand on tuait le cochon, on faisait la fête. Comment se prépare la “txistorra” (saucisse). Pour sécher le jambon, on le laisse dans le sel un jour et demi par kilo qu’il pèse. Ensuite on le sort et on lui passe du piment. |
Pista | Écoutez le fichier | Durée |
I-042-A | 18:58 |