Irulegi Irratia
II-168a
- Titre:
- Date d´entregistrement: 2000-05-29
- Propiétaire: Euskarabidea-mediateka
- Informateur / informatrice: Henri Aritxabalet "Coyos"
- Chercheur / chercheuse:
- Thème principal: Sa vie.
- Vue autorisée: Libre
- Publication autorisée: Limitée
- Qualité du son: Bonne
Ville | Dialectes | Cartes |
Fragment | Durée | Temas | Sumario |
A01 | 00:00:00 00:16:00 |
Guerre, mode de vie | Présentation. Il naquit à Barkoxe/Barcus en 1920 dans la maison Coyos. Ils étaient deux frères et deux sœurs. Il passa sept ans à l’école, jusqu’à l’âge de quatorze ans. Ensuite il commença à travailler dans l’agriculture, à la maison. Ses sœurs apprirent à coudre et à cuisiner. (06:00”) Puis la guerre éclata. Il y avait aussi d’autres jeunes de Soule. Entre Basques ils parlaient en euskara. Quand il rentra à la maison il se consacra à l’agriculture. La guerre dura jusqu’en 1945 : peu de nourriture, du pain noir… Les Allemands de la guerre. (12:55”) Durant la guerre il n’y avait pas de fêtes dans le village. Quand elle se termina en 1945, une grande fête fut célébrée. Il avait alors vingt-cinq ans. Par la suite, il s’est toujours consacré à l’agriculture et il a vu l’évolution. Il avait aussi des brebis et en été il les emmenait au port. Il se maria en 1954 alors qu’il avait trente quatre ans. Il a eu cinq fils. |
A02 | 00:16:00 00:19:45 |
, | Dans sa jeunesse, il participa à des mascarades et des pastorales. La pastorale de 1952, en hommage à Topet-Etxahun. |
A03 | 00:19:45 00:23:38 |
chanson | Chanson. |
A04 | 00:23:38 00:27:05 |
fêtes | Il n’allait pas beaucoup aux fêtes des autres villages, car il devait y aller à bicyclette. Il avait deux heures de route. Les accordéonistes jouaient et on buvait du vin. (25:35”) Les piques des mascarades. |
A05 | 00:27:05 00:31:10 |
euskara, radio | L’euskara est en train de disparaître. Avant, en famille, on ne parlait qu’en euskara. (28:40”) Comment étaient les chansons des fêtes de l’époque. A présent il allume la radio très tôt et il entend des chansons nouvelles. A propos des radios. |
A06 | 00:31:10 00:34:41 |
chanson | Chanson. |
A07 | 00:34:41 00:47:02 |
divers, euskara | Les amis qu’il a aujourd’hui. Certaines infirmières savent l’euskara. Il lit en euskara comme en français. Il comprend mieux le souletin que l’euskara unifié. Il est intéressé par la culture. Il ne joue pas de musique mais il était danseur. Actuellement, la plupart des groupes de danses sont composés de filles. Son professeur de danse. A propos des pastorales et des fêtes. A Maule/Mauléon on entendait du français, de l’euskara, du castillan parce que beaucoup d’Espagnoles travaillaient dans les usines d’espadrilles. (45:50”) Aurevoir. |
Pista | Écoutez le fichier | Durée |
II-168a-A | 47:03 |