Orreaga Ibarra
I-035
- Titre:
- Date d´entregistrement: 1992-5-8
- Propiétaire: Euskarabidea-mediateka
- Informateur / informatrice: Julia Goyenaga, Asunción Arce, Cándido Narváez
- Chercheur / chercheuse: Orreaga Ibarra
- Thème principal: Discussion libre, coutumes, lexique de l´agriculture.
- Temas: agriculture: moisson, divers, lessive, mariage, moulin, religion: funéraires, travail: des femmes/hommes
- Vue autorisée: Libre
- Publication autorisée: Limitée
- Qualité du son: Bonne
Ville | Dialectes | Cartes |
Fragment | Durée | Temas | Sumario |
A01 | 00:00:00 00:03:25 |
moulin | Les moulins qui se trouvaient aux alentours.les gens portaient le blé au moulin et là on faisait le pain. "Artoa" (talo-galette), mais (grain), son, tourbillon d’eau sale, vanne. |
A02 | 00:03:25 00:04:51 |
lessive | "Konporta" était aussi un grand récipient utilisé pour laver le linge. Dessus on posait une “espartana” (sac grossier fermé) et encore dessus, de la cendre. Toute la journée ils jetaient de l’eau chaude par-dessus. Le lendemain, ils portaient le linge à la rivière et après l’avoir rincé, il sortait totalement propre. |
A03 | 00:04:51 00:07:10 |
travail: des femmes/hommes | La lessive était une tâche réservée aux femmes, comme toutes les tâches domestiques. Il leur arrivait parfois de faire aussi les travaux extérieurs: au jardin, à sarcler, à faucher. |
A04 | 00:07:10 00:10:20 |
agriculture: moisson | Avant d’affûter la faux, il fallait polir le tranchant ("pikatu"). Ils avaient à la maison la pierre à affûter : au début elles étaient en bois, puis en métal.Pour couper le blé avec la faucille, le bois qu’ils plaçaient dans la main était la cassolette. |
A05 | 00:10:20 00:12:05 |
mariage | Pour les noces, ils allaient à Pampelune acheter les costumes ("galak ateratzera"). Ils emportaient aussi des arrhes : treize douros. Les voyages de noces se faisaient surtout à San Sebastian. Pendant les noces on jetait des pétards.Le déjeuner se faisait à la maison, comme pour les enterrements. |
A06 | 00:12:05 00:16:00 |
religion: funéraires | Comme pour les noces, pour les enterrements le repas se faisait à la maison, mais cette coutume a disparu. En plus d’avoir perdu un parent, devoir assumer pareil travail était exagéré.Il fallait donner aux curés un agneau pour pouvoir manger chez le curé, tandis que les autres gens du village allaient manger dans la maison du défunt.En plus il fallait préparer une entrée : soupe, pois chiches. C’était une dépense terrible. |
A07 | 00:16:00 00:17:39 |
divers | Le mardi de la Semaine Sainte, l’an passé, ils cambriolèrent sa maison. Et cette année, le même jour, on dut l’emmener à l’hôpital pour une hémorragie. |
Pista | Écoutez le fichier | Durée |
I-035-A | 17:45 |