métiers: pâtre [40 resultados]
Document | Fragment | Otros temas del fragmento | Sumario |
D-008 | A01 | Amérique | Expérience de berger en Amérique. Il travailla en Californie et dans l’Idaho pour, finalement, revenir au Pays basque. |
D-055 | A01 | mode de vie - métiers: charbonnier | Vie quotidienne: il débuta comme berger mais comme cela rapportait peu d’argent, il devint charbonnier. Il raconte ses journées dans l’une et l’autre profession. |
D-064 | B01 | Amérique | La fête des 3, 4, et 5 juillet. Après avoir passé tout l’été en montagne, en septembre ils descendaient avec les moutons et les vendaient. Ils repartaient en montagne avec les brebis et ensuite se préparaient pour descendre à nouveau. |
I-028 | A03 | Amérique | Il dit qu’il était en Amérique. Il travailla comme tanneur, et aussi comme berger. Il y avait beaucoup de Biscayens. Ils se comprenaient bien. |
I-028 | A06 | Amérique | La vie de berger en Amérique était dure, surtout quand il y avait beaucoup de neige. Ils avaient de grands troupeaux de brebis. Ils travaillaient pour des patrons qui étaient le plus souvent américains. Il y alla plusieurs fois, et y resta cinq, huit et deux ans; Il partit à l’âge de trente huit ans. Au début, ce fut très dur, car ils ne connaissaient pas la langue. Ce qui advint quand ils arrivèrent à l’aéroport.Ils n’étaient pas habitués à voir des gens de différentes couleurs.Les péruviens aussi étaient bergers.Les chiens sauvages étaient pires que les loups pour les brebis.Les oncles d’Orreaga aussi sont partis là-bas et ils sont à Fresno. |
I-029 | A10 | mode de vie | Dans sa jeunesse avec le lait de brebis on faisait du fromage et on le vendait. Ils allaient à cheval le vendre dans d’autres villages. Quand il était dans la montagne il vivait seul dans les cabanes. |
I-029 | B01 | alimentation: fromage | (suite) Bergers. Quelques questions sur les chiens : maladies. Manière de les appeler: “toz, toz”. Ils jetaient du sel pour que les brebis mangent mieux.(04.20") Récipient pour faire le fromage. Présure. Caillé. Petit-lait. |
IR-011b | A01 | Amérique - métiers: campero | Présentation. Questions personnelles : date et lieu de naissance, sur la famille, travaux actuels et dans sa jeunesse. Il partit en Amérique en mille neuf cent soixante. Son frère aussi partit là-bas. Ce fut difficile car il ne savait pas l’anglais. La première fois il arriva dans le Nevada où il resta deux ans et demi avant d’aller en Californie. D’abord il fut berger puis “campero”. Il compare la situation des deux endroits. Comment il devint un jour berger en charge de deux mille brebis. Le travail de “campero” était très différent : ils devaient faire du pain, préparer le repas et le soir le dîner. Ils gagnaient davantage qu’ici. En été ils vivaient dans des tentes et en hiver dans des caravanes. Les autres bergers et “camperos” étaient de Navarre, Gipuzkoa et Pays basque nord et entre eux ils parlaient toujours en euskara. Ils avaient l’habitude de discuter et de jouer aux cartes. Ils ne se réunissaient pas avec les Américains. Il resta là-bas plus de huit ans et revint avec des doutes. |
IR-016 | A04 | Amérique | De nombreux jeunes partirent en Amérique et tous réussirent à devenir quelqu’un. Ils allaient faire les bergers sans connaître la langue, et celui qui travailla dans les montagnes ne l’apprit même pas. |
IR-018 | A03 | métiers: muletier | Jusqu’à l’âge de vingt ans il fut berger et muletier. En tant que gardien du bétail du village. Le charbon, les traverses et les "barrika oholak" (planches de barriques) étaient emmenées sur des boeufs jusqu’à la route et de là elles étaient transportées par des charrettes. Les charbonniers étaient généralement d’Améscoa. |
IR-022b | B04 | Il fut berger pendant deux ans à Abaurrea Baja. Il partait deux mois à Abodi et ensuite il restait en montagne garder toutes les brebis du village. Parfois il partait avec le valet mais il ne faisait pas de cour, de portes rustiques. Pendant un certain temps ils faisaient du fromage. Les propriétaires montaient et ce sont eux qui faisaient le fromage. Le travail ne lui semblait pas difficile, il était bien soigné et il mangeait bien. Mais au bout de deux ans ils prirent un autre berger. Il passait deux mois dans la bergerie d’Abodi, sauf les jours où ils devaient descendre tondre les brebis. | |
SC-002b | A03 | Amérique | Les premiers villages qu’il connut en Amérique. La Californie a beaucoup changé : les pâturages ont disparu, le mode de vie et de travail a changé, les gens autrefois se contentaient de ce qu’ils avaient pour vivre. Les Basques de cette époque ne descendaient pas aux villages, ils restaient dans les montagnes. Un berger gagnait 85 pesos par mois, à l’époque de la crise le salaire descendit à 40. Même si les responsables voulaient les payer davantage, les banques ne leur donnaient pas. |
I-056 | A11 | Amérique | Il fut berger en Amérique pendant sept ans. Le patron était américain mais sa femme était biscayenne. Ces gens étaient très bons. Le majordome venait du Pays basque nord. Deux autres hommes s’occupaient des vaches à cheval. |
I-056 | B03 | Amérique | Il ne repartirait pas en Amérique. Ils partaient pour gagner de l’argent mais ils méritaient tout ce qu’on leur payait. Les gens de là-bas ne veulent pas s’occuper des brebis, ils préfèrent les vaches ou les chevaux.Tous les cinq jour ils voyaient le “campero”, c’était la seule personne qu’ils voyaient, ils étaient complètement seuls. En hiver il faisait très froid et en été très chaud. Les tempêtes étaient impressionnantes. |
SM-009 | A04 | Amérique | La vie de berger en Amérique : le nombre de troupeaux, les agneaux, les coyotes; |
SM-009 | A06 | Amérique | Quand ils étaient bergers en Amérique, ils demeuraient le plus souvent sur les chariots. |
SM-009 | A09 | Amérique - alimentation: pain | Comment ils faisaient le pain quand il était berger en Amérique. Ils faisaient un trou dans le sol de la taille du pétrin. Là, ils jetaient des braises et ensuite ils laissaient le pétrin à l´intérieur une heure durant. |
SM-010a | A06 | métiers: chevrier | Dans la plupart des fermes il y avait des brebis. Les brebis de toutes les fermes, sauf trois, étaient surveillées par un berger toutes ensemble, car elles étaient peu nombreuses. Le berger était invité à manger dans les fermes. C´est le chevrier qui sortait les chèvres. Chaque famille lui donnait de l´argent et de quoi se nourrir, en fonction du nombre de chèvres. |
I-092 | A02 | alimentation: fromage | Quand ils étaient bergers, ils dormaient parfois dans les cabanes, mais pas toujours. C´est aussi là qu´ils faisaient le fromage. |
SC-002c | A04 | Amérique | Sa vie de berger en Amérique. |
II-141b | A01 | élevage: brebis | Introduction et présentation : il y a encore des bergers qui passent tout l´été en montagne. "(2.30") Il est né et il vit dans la montagne. Les myrtilles; Maintenant il a peu de brebis. Il commença comme aide à onze ans. Il était dans la montagne jusqu´en février. S´il y avait de la neige, les brebis étaient dans la bergerie, sinon, à l´extérieur. Brebis et agneaux. Les grands troupeaux d´Ibañeta. |
II-034a | A02 | Guerre | Quand il fut prisonnier en Allemagne, il fut berger pendant un an et demi. Ils savaient qu´il était berger et c´est pour cela qu´ils le choisirent. Les vaches et les brebis étaient à l´intérieur et elles sortaient en avril. |
II-051a | A01 | métiers: pâturage | Présentation. Il est berger dans la bergerie depuis cinquante-six ans. Au début ils étaient davantage et chacun avait son poste. "Artzain nagusia" (le berger principal), celui qui faisait les fromages, "artzain mutila" (le berger), "neskatua" (le maître de maison), qui était cuisinier, "antsozaina" (?). Ils étaient en haut dix-sept jours durant et changeaient de poste en fonction de ce calendrier. Lukenak : les lucarnes ?. (07.45") Ils descendaient les fromages à dos de mulet. Ils faisaient les fromages jusqu´à la Madeleine. |
II-051a | A04 | jeu: urdanka | Les bergers aussi avaient leurs jeux : la pelote, "urdanka". Ils avaient aussi pour coutume de chanter. Parmi les bergers, il y avait aussi des improvisateurs. |
X-015b | A01 | Amérique | A dix-neuf ans, il partit travailler comme berger en Amérique en compagnie d´un garçon de Gartzain et d´un autre d´Arizkun, avec un contrat de trois ans et demi. Ils prirent le train à Bilbao pour aller à Madrid. De là, ils allèrent en avion à New-York, et de New-York à Los Angeles. Une femme basque était là pour l´accueillir et à partir du jour suivant, il commença à travailler seul. En hiver, les bergers se réunissaient davantage, mais en été, il ne voyait que le "campero" une fois par semaine. Au début ce fut très dur, la solitude était terrible. Ensuite, la nuit il laissait les brebis toutes seules et il retrouvait les autres bergers; Il dut apprendre à tout faire : nettoyer, faire la cuisine, coudre… Le contrat se termina et il rentra à la maison. Il accomplit les travaux de la maison, mais il n´eut pas de chance avec le bétail et il repartit en Amérique. Avec un contrat semblable, mais dans un autre endroit. Cette fois, il connaissait le travail. Il a toujours aimé les brebis. Quand le contrat se termina, le patron lui fit les papiers de telle façon qu´il était résident. Alors, il retourna à nouveau à la maison. Après deux années passées chez lui, il partit pour la troisième fois et resta là-bas. Maintenant il a davantage d´amis là-bas et ici il s´ennuie. |
X-015b | A03 | Amérique | En Amérique il a des brebis mais il ne travaille pas comme berger. Il se lève tôt et donne à manger aux brebis. A neuf heures, il a terminé. Ils prennent un bon petit déjeuner et ils sont libres jusqu´à deux heures. A la mi-journée ils donnent à nouveau à manger aux brebis et à cinq heures ils sont libres à nouveau. |
SC-007a | A02 | maladie - Amérique | Juan Kruz se rendit l´année passée au Pays basque. Il le trouva changé et constata que l´euskara s´était perdu en de nombreux endroits. Il partit en Californie en 1925. Il avait alors trois frères là-bas et ils étaient nombreux à la maison. D´autre part, il y avait la coutume de fuir le service militaire de l´ Espagne. Pour ces deux raisons, il partit en Californie. D´abord il alla à New-York et de là, en Californie. Ses deux frères n´étaient pas loin et son cousin le conduisit jusqu´à eux. Les premières années furent très dures car il ne connaissait même pas la langue. Il eut son premier problème de santé en décembre 1950. Il eut une attaque cardiaque. Il fallut beaucoup de temps avant qu´il ne récupère totalement. En 1952, il retourna acheter des brebis et continua pendant quatre ans, mais quand il travaillait dur, il souffrait. Le médecin lui dit de ne pas vendre les brebis mais d´embaucher quelqu´un pour faire le travail difficile. Ensuite, il travailla comme acheteur de laine. |
SC-007a | A04 | Amérique - animaux: coyote | Il commença à travailler avec les brebis en 1930. Ces années là furent mauvaises, la pire étant 1934. Ils partirent ailleurs, firent huit cents kilomètres à pied et en train. Le Gouvernement les obligea à supprimer un pourcentage de brebis, parce qu´il y en avait trop. Les terres traversées durant ce voyage n´étaient que désert et montagnes. Ils partirent avec les brebis et il fallait une autorisation du gouvernement pour passer par certains endroits. Ils obtinrent leur objectif parce qu´ils surent mesurer la charge, d´autres durent faire demi-tour et perdirent ce qu´ils avaient. Traversant la sierra Nevada, ils se rendirent à Fresno et louèrent des vignes pour alimenter les brebis. Ils connurent beaucoup de mauvaises années. Les terres les plus sèches étaient pour le bétail et s´il ne pleuvait pas, il n´y avait pas de nourriture. Ces dernières années, ils ont porté de l´eau en camions jusqu´aux endroits où se trouvaient les brebis. Le berger a beaucoup d´ennemis en Amérique. Avant, ils contrôlaient les coyotes, on pouvait leur mettre du poison et des pièges. Mais maintenant, c´est interdit et leur nombre va en augmentant. Un ami qui alla dans l´Idaho dut retirer les brebis car il ne pouvait rien faire contre les coyotes. Ils mangent surtout les agneaux. Il y a beaucoup d´associations de défense des coyotes, parce qu´ils disent que les brebis ne disparaîtront jamais, les coyotes si. Une anecdote. Les coyotes se trouvent n´importe où et ils vont même dans les villes. On en a vu dans les rues de Los Angeles. Beaucoup mériteraient de manger de la viande de coyote, à la place de l´agneau. |
SC-011b | A01 | Amérique | En 1957, il partit comme berger. Au départ, c´était dur, surtout de ne pas pouvoir faire la fête le dimanche après-midi. Il commença avec trois mille cinq cents brebis. Il resta trois ans et demi avec deux patrons différents. Son contrat commença en 1956. Il devait rester là-bas trois ans. Les Basques se réunissaient beaucoup. Il y avait dix-huit ou vint mille brebis dans ces prairies et tous les bergers étaient basques. Le second patron le payait davantage. On leur retirait les taxes du salaire. |
IR-019 | A01 | Amérique | |
IC-003c | A01 | Maintenant il serait mieux aux fêtes de Pampelune avec des jeunes filles. Le travail de berger. Il est berger depuis l’âge de cinq ans. A présent, personne ne veut être berger et il ne reste que des vieux. Il a quatre-vingts ans. | |
IC-014a | A10 | (L’homme parle) En hiver, ils passaient quatre mois en France avec les brebis, et l’été dans les cabanes du col. Maintenant on ne va plus en France, parce qu’il y a des problèmes avec les Français. | |
IC-014a | A12 | Le métier de berger est difficile si on le fait contraint et forcé. Si on le fait avec un tant soit peu d’envie, cela se passe bien. Les variantes “aberastu” et “abrastu” (s’enrichir). Les bergers de Roncal et de Salazar ont coutume d’aller dans les Bardenas passer l’hiver, en revanche ceux d’Aezkoa vont en France. Les brebis d’Aezkoa sont sont du type “latxa” (laine commune), celles de Roncal et de Salazar du type “txurra” (à jarre). Ils n’ont jamais mélangé le lait de brebis avec le lait de vache. | |
I-052 | A01 | Dans la maison il y avait beaucoup de gens et il n’y avait pas d’usines, c’est pourquoi il dut partir. D’abord il alla à Irati et ensuite en France travailler dans la montagne parce qu’on y gagnait davantage d’argent. De là, il passa en Allemagne où il travailla dans une usine. Ensuite, suivant le conseil d’un ami qu’il connut en France, il partit en Amérique, en Californie, comme berger. Ce travail était très dur, il restait seul longtemps et fatigué par le travail, il partit à Los Angeles travailler dans un abattoir avec deux de ses frères. Maintenant qu’il est revenu ici, le travail de berger lui plaît ici parce que les montagnes sont petites et les déplacements courts. | |
A01 | Dans la maison il y avait beaucoup de gens et il n’y avait pas d’usines, c’est pourquoi il dut partir. D’abord il alla à Irati et ensuite en France travailler dans la montagne parce qu’on y gagnait davantage d’argent. De là, il passa en Allemagne où il travailla dans une usine. Ensuite, suivant le conseil d’un ami qu’il connut en France, il partit en Amérique, en Californie, comme berger. Ce travail était très dur, il restait seul longtemps et fatigué par le travail, il partit à Los Angeles travailler dans un abattoir avec deux de ses frères. Maintenant qu’il est revenu ici, le travail de berger lui plaît ici parce que les montagnes sont petites et les déplacements courts. | ||
I-027 | A02 | Candido était berger et il avait un chien très bon. Ce que faisait le chien et comment Candido le dressa. | |
II-164a | A01 | La vie en montagne. Le travail. Les bergers des montagnes faisaient le fil avec la laine noire, et avec le fil des chaussettes. Ils gonflaient la laine à la main. Ils faisaient le fil en enroulant la laine autour d’un morceau de bois appelé “trabela”. Ils faisaient des chaussettes sans semelle. C’est le berger qui était avant lui dans cette bergerie qui lui apprit à les faire. | |
II-164a | A03 | De mai à décembre, il demeurait dans la montagne. Il passait là-bas les meilleurs jours de l’année, mais il ne regrette pas parce qu’il aime la montagne. Certains étés, il a gardé plus de 300 vaches dans la montagne, qui n’étaient pas à lui. Dans la montagne il allait toujours à pied ou à dos d’âne. Maintenant il n’est pas tous les jours dans la montagne. Maintenant il a compris que les brebis n’ont pas besoin que le berger passe toute la journée avec elles. De temps en temps, rarement, il se réunissait avec d’autres bergers pour manger et jouer. Ils jouaient rarement au mus. Lui-même ne l’a pas fait, mais des bergers se retrouvaient dans des endroits appelés “pilota”, se lançant mutuellement une pelote. | |
II-005a | A02 | vie - travail: des femmes | |
II-005a | A04 | alimentation: fromage |