lessive [12 resultados]
Document | Fragment | Otros temas del fragmento | Sumario |
D-003 | A01 | mode de vie | Mode de vie. Comment ils faisaient la lessive. Explication du mot “kuela” (semblable à une barrique de bois). Comment ils nettoyaient le linge de couleur. |
D-053 | A01 | mode de vie | Lessive : d’abord on savonnait le linge à la fontaine et on descendait à la maison. On posait sur la pierre une toile très épaisse, sur laquelle on étalait de la cendre. Puis on arrosait d’eau de plus en plus chaude, eau chauffée auparavant dans le chaudron. Cette eau sortait par le jet pour être à nouveau chauffée. Le jour suivant, on ramenait le linge à la fontaine pour le rincer. |
I-001 | B09 | Le linge était lavé à la main, au lavoir. Du fait que l’on utilisait la cendre, le linge était encore plus propre. L’eau était chauffée continuellement, en commençant par la faire tiédir jusqu’à l’amener à ébullition pour ensuite la verser par le tuyau. Dans la partie du haut, on mettait un drap pour que la cendre ne passe pas, et d’en haut on commençait à verser l’eau par le tuyau, de façon à ce qu’elle parvienne au bac de pierre où se trouvait le linge.Après avoir lavé le linge blanc, on passait au linge bleu ou de couleur que l’on nettoyait dans la même eau. | |
I-035 | A02 | "Konporta" était aussi un grand récipient utilisé pour laver le linge. Dessus on posait une “espartana” (sac grossier fermé) et encore dessus, de la cendre. Toute la journée ils jetaient de l’eau chaude par-dessus. Le lendemain, ils portaient le linge à la rivière et après l’avoir rincé, il sortait totalement propre. | |
IR-015 | A04 | moulin | Elles faisaient la lessive avec des cendres. Elles savonnaient le linge et le frottaient. Ensuite elles le mettaient dans le seau. Elles chauffaient l’eau dans le chaudron, de plus en plus. Elles mettaient la cendre dans le seau dès le départ. Elles devaient aller au lavoir du village pour rincer. Le maïs était moulu au moulin de Garralda pour faire le pain. |
PP-009 | B08 | maison: noms | Arotzenea : quelques renseignements sur ceux qui vivaient dans la maison. La fille allait de maison en maison faire la lessive. Ils lui donnaient trois pesetas. |
I-007 | B6 | Elles faisaient la lessive avec des cendres. Elles utilisaient une lessiveuse pour laver le linge. Ensuite elles allaient à la fontaine le rincer. Le savon était “Lagarto” et “Chimbo”. Durant la guerre elles le faisaient elles-mêmes avec du suif. Elles le mettaient sur le feu avec d’autres choses et quand il épaississait on le sortait et on le laissait refroidir. Ensuite on le coupait en morceaux. Pour laver le linge on chauffait de l’eau et on la versait, toujours plus chaude. Elles lavaient aussi au lavoir. Maintenant ils l’ont supprimé. | |
II-003b | A01 | eau - métiers: pâturage - alimentation: fromage | Présentation : Des femmes ont aussi travaillé comme bergères dans les montagnes du Pays basque. (02:45") Elle a été bergère à partir de 1933. Son mari était d´Amezketa mais il était berger ici. Elle resta quatre ans en Amérique et quand elle revint, elle acheta les brebis. Elle eut trois fils. Pourtant, elle a passé quarante huit ans à Irupil en tant que bergère. Ils montaient les vivres grâce aux mulets. Le passage du mulet aux boeufs. Elle s´occupait de la traite des brebis. A deux, ils trayaient soixante dix brebis et faisaient cinq fromages, quatre le matin et un autre le soir. Ils n´avaient même pas d´eau dans la cabane. Ils avaient la voiture et amenaient l´eau dans des bidons. Quand il pleuvait, ils recueillaient l´eau à l´aide d´un long morceau de bois. Autrement, pour faire la lessive, ils prenaient le mulet, lui mettaient un bidon de chaque côté et allaient en voiture. Ensuite, ils envoyaient le mulet tout seul à la cabane et eux restaient avec les brebis. Ils descendaient le fromage et tout le reste avec le mulet. Elle apprit à faire le fromage avec son mari. La différence entre le fromage d´avant et celui d´aujourd´hui (17:30"). (19:25") Cela ne lui coûta pas d´élever ses enfants. Ils restaient avec plaisir tout seuls à jouer. Pendant la période scolaire, ils restaient avec leur grand-mère à Donibane toute la semaine. Elle restait à la maison tout l´hiver avec les enfants mais en été, elle montait toujours à la cabane. En hiver, elle restait à Eiheralarre car c´est là qu´ils avaient les pâturages. (24.05") Anecdote : son mari tomba malade et elle dut faire tous les travaux. Ils n´eurent jamais d´employé pour faire le travail. Elle est restée plus d´une fois toute seule avec les brebis. Elle a fait beaucoup de voyages en haut, en bas, mais elle n´a été que deux fois sur le mulet, et les deux fois elle est tombée. Il ne passait pas grand monde en haut d´Irupil. Pour les bergers d´Irupil, les fêtes d´Orbaitz étaient très importantes. Elle a de très bons souvenirs. Tous se connaissaient. Selon elle, bien qu´elle soit une femme, le travail qu´elle fit en tant que bergère était du très bon travail. Un de ses fils est devenu berger, d´abord ici et ensuite en Amérique. Elle ne croit pas qu´aujourd´hui il y ait de jeunes femmes prêtes à vivre de ce métier, comme elle la fait elle-même. (46.05") Aurevoir. |
IR-023d | A05 | alimentation: pain | |
IR-023d | A01 | ||
SN-002a | A06 | Ce qu’est le “xurrute” : une pierre ronde qui a une pointe avec une rainure. On lavait le linge dans le “xurrute”. Le linge était placé dans un chaudron appelé “bexko”. On ne lavait pas le linge dans la maison, on le savonnait seulement à l’intérieur quand il faisait mauvais temps. | |
SN-002a | A10 | A force de laver autant de linge, leurs mains étaient écorchées. Pour faire la lessive, elles utilisaient de la cendre. Dans toutes les maisons on faisait la lessive de cette manière. |