Inaki Camino
IC-017a
- Titre:
- Date d´entregistrement: 1998-07-30
- Propiétaire: Euskarabidea-mediateka
- Informateur / informatrice:
- Chercheur / chercheuse: Iñaki Camino
- Thème principal:
- Vue autorisée: Libre
- Publication autorisée: Limitée
- Qualité du son: Mauvaise
Ville | Dialectes | Cartes |
Fragment | Durée | Temas | Sumario |
A01 | 00:00:00 00:05:17 |
légende | (La locutrice est une femme âgée. Elle entend très mal. Parfois elle parle en castillan). Anecdote à propos de la Saint Michel. Les plantes médicinales peuvent être utilisées en fonction de la maladie. Toutes les herbes ont une utilité, mais nous ne savons pas à quoi sert chacune d’elles. Les gens vivent plus longtemps aujourd’hui. Maintenant la médecine fait beaucoup de progrès. |
A02 | 00:05:18 00:07:01 |
euskara: différents dialectes | (Locuteur différent, homme). L’euskara des Biscayens est difficile. Son grand-père et deux oncles travaillaient en Biscaye. |
A03 | 00:07:02 00:07:43 |
Guerre civile | L’oncle travaillait dans les Hauts-Fourneaux de Biscaye. La guerre le surprit ici, en vacances, et ils le fusillèrent. Il naquit en 1939. La guerre amena des conflits entre parents d’une même famille. |
A04 | 00:07:44 00:08:42 |
fêtes | Avant, les fêtes étaient différentes. Les gens dormaient plus ou moins pendant les fêtes. Le lendemain matin et après déjeuner, ils faisaient le passe-rues. Ils profitaient bien des fêtes parce qu’il y avait peu d’occasions de se divertir. |
A05 | 00:08:43 00:13:30 |
mode de vie | Il a fait plusieurs métiers. Il a été marin, deux mois après avoir embarqué, il se blessa. Il passa quatre-vingt jours dans un hôpital à l’étranger. Dans le village, ils faisaient des travaux agricoles et de l’élevage : s’occuper des juments, des cochons, des vaches, des brebis ; et cultiver le mais et le blé. Le travail était dur mais ils le faisaient avec plaisir. Tout se faisait à la main. Avec les filles, ils étaient timides. Il a aussi travaillé en forêt à faire du bois et à ramasser les feuilles mortes pour faire du compost. Il a connu la fabrication du charbon, mais il n’a pas travaillé dans ce secteur. |
A06 | 00:13:31 00:22:40 |
Guerre civile | (Un autre homme entre dans la conversation). Pendant la guerre il fut à Tolosa, au mont Kalamua, à Arrate… Il avait du mal à comprendre les Biscayens, mais il comprenait bien le parler de Durango. A cette époque, il ne savait pas le castillan, maintenant il en sait un peu plus, mais il parle mieux en euskara. L’euskara le plus agréable est celui d’Etxarri et celui qui se parle de Zumarraga jusqu’à la région de Donostia/San Sebastian. L’euskara d’Oñati est confus et pas très agréable. Les Biscayens sont prétentieux mais ils ont bon cœur ; en revanche, les Guipuzcoans sont rusés. |
Pista | Écoutez le fichier | Durée |
IC-017a-A | 22:44 |