coutumes [12 resultados]
Document | Fragment | Otros temas del fragmento | Sumario |
D-065 | A01 | chanson: Urgoiena urbarrena | Satrustegi est parvenu à récupérer la tradition de “ur goiena ur barrena”, comme cela se faisait autrefois à Urdiain. En raison d’altercations dans le village, elle s’était perdue ou un peu modifiée. La veille du jour de l’An, avec les premières eaux de la nouvelle année, on se rendait chez le curé pour demander un gâteau en chantant. Seuls l’obtiendraient les premiers arrivés. |
I-038 | B15 | Le jour des Rameaux, on plaçait sur les portes des maisons et dans les champs des croix faites avec des branches de pommiers, et bénies le jour des Rameaux pour que les souris n’entrent pas. | |
SH-003 | A18 | chanson: Urgoiena | A son époque, la tradition de "Ur goiena" était perdue. Ils n’allaient pas de maison en maison offrir de l’eau. Ils faisaient seulement la symbolique de l’eau neuve et de l’eau ancienne.Le Jeudi Saint, les garçons allaient de maison en maison récupérer des casseroles. Ensuite, c’était à qui les casserait le premier à coups de pierre.Lui n’a pas connu de jour précis où l’on mît le feu aux outres en traversant tout le village. |
SM-011 | A25 | A la Sainte Croix, le 3 mai, on bénissait les terres avec de l’eau bénite. On mouillait l’aubépine avec de l’eau bénite et c’est avec cela qu’on bénissait les terres.Le jour des rameaux, les rameaux étaient bénis. L’eau bénite était du Samedi Saint. Les petites croix qui étaient placées dans les entrées étaient des rameaux bénis. | |
SN-007a | A09 | Fêtes de Noël - religion: Jeudi saint - religion: Saint Blaise | Le jour de Nöel on amenait des bûches pour Dieu, la Vierge et San José et pour chaque personne de la maison. On ne laissait pas le tronc offert à Dieu se consumer entièrement. Avec ce qui restait, une fois le feu éteint, le jour des rois on passait la fumée dans toutes les chambres. Le Jeudi Saint, le cierge offert au Saint était conservé toute l’année pour avoir de quoi manger. Le jour de San Blas, on gardait le pain et l’eau bénite toute l’année. La veille des Rois on jetait des cartes pour Dieu et la Vierge et les autres à chacun pour savoir qui serait le Roi. Quand sortait le roi des épées, on sortait à la fenêtre en disant “Vive le roi/la reine”. La veille des Rois on sortait avec les sonnailles. |
SN-007a | A08 | religion: Saint Jean | Le jour de la San Juan, ils emportaient des fagots d’herbe à l’église pour qu’elle soit bénie. Et ensuite, on les plaçait sur les portes pour être protégés de la foudre. Ils allaient aussi à une fontaine et l’eau devait être à la maison avant que le soleil ne se lève. La fontaine se trouve entre Anoz et Anocibar, et elle s’appelait “Angiriturri”. La veille au soir on faisait du feu dans chaque maison et on sautait en disant “Ogi (e)ta ardo Nafarrora, giri-giri martxo egun dela San Juan bezpera” (Pain et vin pour la Navarre, giri-gir martxo (?), aujourd’hui est veille de la Saint Jean). Le jour de Santa Lucia on allait à l’ermitage et on écoutait la messe. |
SM-001b | A04 | religion: Saint Jean | La veille de la Saint Jean, on faisait un feu avec les herbes bénies par Saint Jean l´année précédente. Tout en sautant, les gens disaient "dehors la gale", "dehors le maire", ou d´autres formules semblables. La veille de la Saint Jean, ils recueillaient de l´eau de la fontaine. Avec la rosée, ils se dénudaient à moitié et se roulaient dans l´herbe. Un garçon naquit "infirme" et ils firent une fente dans un chêne. La nuit de la Saint Jean, ils l´emmenèrent à cet endroit. Deux Jean s´y rendirent et, tout en prononçant trois fois la formule : "Don Juan, karrak Juan, Biba San Juan", ils passèrent l´enfant par la fente. Aujourd´hui, ce garçon a six enfants. |
IR-004 | A02 | croyances | |
IR-004 | A08 | ||
N-007 | A03 | Une fois par an, ils devaient communier, quand ils le faisaient le curé leur donnait un ticket, et s’ils n’avaient pas le ticket, la mère avait honte. Ensuite, la mère retournait le ticket au curé avec une demi-douzaine d’œufs. | |
N-007 | A05 | Parfois la bande allait ramasser les châtaignes, ils les faisaient griller sans la poêle et les mangeaient. | |
SM-012b | A04 | Aux obsèques, les parents du défunt portaient des cierges et du pain à l’église, en guise d’offrandes. A la moitié de la messe, le curé recevait le pain, celui qui faisait l’offrande coupait le pain en morceaux et tous prenaient un morceau à la sortie de la messe. A l’occasion de la célébration funéraire, on faisait un grand repas auquel se rendait beaucoup de monde. Ils racontaient aux abeilles de la maison que quelqu’un de la maison était mort. |