Orreaga Ibarra
N-074
- Titre:
- Date d´entregistrement: 1998-4
- Propiétaire: Euskarabidea-mediateka
- Informateur / informatrice: Regina Argiñena
- Chercheur / chercheuse: Aitor Goikoetxea Azpiroz
- Thème principal: Discussion libre : souvenirs d´école.
- Vue autorisée: Libre
- Publication autorisée: Limitée
- Qualité du son: Bonne
Ville | Dialectes | Cartes |
Fragment | Durée | Temas | Sumario |
A01 | 00:00:00 00:10:04 |
euskara: attitude vers lŽeuskara | Pour avoir parlé une fois en euskara, l’instituteur la frappa très fort et l’envoya à la maison le nez en sang. Le grand-père se fâcha très fort et interdit au maître de recommencer à frapper sa petite-fille. Par la suite, elle s’entendit très bien avec d’autres instituteurs, même s’ils ne savaient pas l’euskara, parce qu’elle aimait l’école et qu’elle prenait plaisir à étudier. Elle allait aux cours du soir, même si on n’y admettait pas les filles. Le mauvais souvenir qu’elle garde de cette époque de l’école, c’est le fait qu’on l’ait punie pour avoir parlé en euskara. Le curé, qui était de Eritz, les punissait aussi s’il les entendait parler en euskara. Ils ont eu aussi des curés agréables. |
A02 | 00:10:05 00:18:06 |
euskara: attitude vers lŽeuskara | Les jeunes d’aujourd’hui ont trouvé une ambiance agréable autour de l’euskara. Dès qu’ils entendaient la première cloche de la soirée ils allaient en courant à la maison, abandonnant ce qu’ils étaient en train de faire.Jeux : “kuketan”, “laparriketan”, “txerribistan”, saut à la corde. En sautant à la corde, ils chantaient en castillan car ils ne connaissaient pas de chanson en euskara. Ils n’avaient aucun livre en euskara. Ils vécurent une époque très dure pour l’euskara. |
Pista | Écoutez le fichier | Durée |
N-074-A | 18:06 |